Chapitre 4 - Laissés pour compte

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Lorsque j'ouvris les yeux, quelque chose semblait avoir changé. La luminosité habituel de la chambre était différente. Pourtant le ciel dehors semblais toujours aussi gris, un vrai temps de Novembre. Je sautais de mon lit pour jeté un œil par la fenêtre et lorsque j'ouvris celle-ci, un vent glacial s'engouffra dans la chambre, me faisant frissonner. Je me penchais quand même par la fenêtre et découvris la ruelle couverte d'une fine couche blanche. La pluie de la veille avait gelée pendant la nuit.

Lorsque je descendis les escaliers, je constatai que tante Ana était déjà parti au salon de thé, sûrement avait-elle souhaitée ouvrir plus tôt aujourd'hui, en prévision du temps.

Je me surprenais à savourer cette indépendance et cette solitude que pouvais m'apporter Ananaba. Même si en contre partis elle souhaitait ma présence au café pour l'aidé le plus possible.

J'avalais quelques gorgées de jus de pommes. Pommes récoltés très récemment par le père de Yumi dans sa récolte. C'était d'ailleurs le meilleur jus que j'avais pu boire à ce jour. La prochaine fois que je croiserais les parents de Yumi faudrait que je pense à les complimentés.

Quoi qu'il en soit, je jetais un œil à la pendule accroché dans la cuisine et réalisa que j'allais être en retard si je continuais à rêvassée ainsi. J'attrapais mes affaires, mon téléphones et mes précieux écouteurs.

Je lance ma playlist du moment : The weeknd. J'évite le verglas sur la chaussé et part en direction du centre ville. Le café de tante Ana ce situe à une vingtaines de minutes à pieds de la maison, je n'avais pas intérêt de traînée. Et avec toute cette glace, il n'étais pas prudent que je prennent la voiture d'Ananaba, et puis j'adore marcher de toute façon. Cela m'aide à réfléchir et remettre mes idées en place. Et à peine j'eus réalisée que j'étais déjà arrivé devant le café, que je remarquais l'attroupement de personnes sur le trottoir. C'était encore des danseurs de rue en pleine représentation. Ça attirait toujours du monde ses trucs là, et je devais avouer que certains avait un réel potentiel. Pourtant cette fois il y avait bien plus de monde, les gens semblaient limite hystérique. Je stoppais une personne qui marchais devant moi pour lui demander ce qu'il ce passais.

_C'est BTS ! Ils son la ! En ville !! C'est incroyable !

La fille repartis très vite vers le groupe. Je soupirais profondément et me rapprochais du groupe, avec l'espoir d'atteindre mon lieu de travail, me hissant t'en bien que mal parmi la foule de personne. Soudain tout le monde ce recula, je pouvais enfin passé et j'aperçus les danseurs, un en particulier attira mon attention. C'était le garçon de l'aéroport, oui c'était bien lui, je pouvais le reconnaître entre mille. Pourtant je n'eus pas le temps de m'attarder sur mes pensées que le bruit de crissement de pneu sur ma droite attira mon attention. Une voiture qui venais de dérapé sur le verglas fonçais droit sur le trottoir où ce tenaient les danseurs. La plus part eurent le réflexe de ce reculer le plus possible, mais évidement il restait un dernier idiot qui se rendit compte que trop tard de la situation. Sans réfléchir, je me jetais en avant sur le garçon alors que la voiture arrivais dans notre direction et fini ça course encastré dans le mur d'en face.

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Lorsque J-Hope releva la tête et vis la voiture à quelques mètres de lui foncé dans ça direction, il resta pétrifié. Puis il sentit un poids le faire basculer en arrière. Son dos et sa tête percutaient avec violence le sol glacé. Dans un grondement métallique et une averse de verre brisé, son cerveau essayait encore un peut de comprendre ce qu'il se passait, tendis que son cœur battait à la chamade, résonnant jusque dans ses oreilles. Le souffle court et les yeux grand ouvert Jung Hoseok observa mon corps qui le serrait au sol dans une étreinte de fer, puis il entendis des cris tout autour de lui, plusieurs personnes hurlait son nom. Mais ce qu'il perçus le plus était la voix proche de son oreille, une voix basse et affolée.

[ BTS ] A Moment Of Eternity - PART 1Où les histoires vivent. Découvrez maintenant