Quelques Imagifs Marvel X Reader sortis tout droit de la tête d'une folle !
Nan sérieux regardez ma photo de profil et osez me dire qu'il ne me manque pas une case !
Sinon, vous pouvez laissez des commandes un peu partout tant qu'elles sont visibl...
TOC TOC TOC ! C'est qui ? C'est l'autre ! Qui ça l'autre ? L'autre partie de l'histoire imbécile !
Voilà... rendez-vous en bas !
Enjoy🖤
Tu avais cru à son retour vers toi. C'était ton partenaire après tout. Mais non, ce n'était pas lui, juste une bande d'inconnu habillés de manières plus qu'approximatives...
Mais durant un quart de seconde une étrange lueur avait parcouru ton regard. Une lueur d'espoir. Soit, une étincelle d'humanité. De l'humanité ? Mais comment cela était-ce possible ? Hydra avait veillé à ce que tu perdes toutes traces de ton humanité, de ta joie de vivre, de ton ressentie et de ton instinct primère. Tout. Tout était partie avec l'eau du bain, comme on dit grivoisement. Tout avait disparue avec ce satané lavage de cerveau.
Pourtant, tout au fond de toi tu ne pouvais nier ce petit pincement au coeur que tu avais ressenti quand tu t'étais aperçus que ce n'était pas lui. Tu ne pouvais nier le fait que pendant un dizième peut-être même ne serait-ce qu'un centième de seconde tu y es cru.
Cela voulait-il dire que le traitement invasif et désastreux d'Hydra avait ses limites et une durée limitée ?
Tu n'eus pas le temps d'y réfléchir plus longuement.
Un homme t'approchas et te pris dans ses bras avant de t'emmener avec lui escorté par tout le reste de la troupe. Combien étaient-ils ? Aucune idée. Trop nombreux pour que tu puisses les compter. Étaient-ils méchants ? Tu ne savais pas. Que voulaient-ils alors, pourquoi semblaient-ils vouloir te sauver, toi, une banale inconnue ? Un être humain aurait surement pris ça pour un acte de charité, mais dans l'état actuel des choses, tu étais tout bonnement incapable de comprendre le principe de charité, de bonté, d'humanisme, ou que sais-je encore.
Dans ton état actuel, cela fut encore beau si tu te souvenait de ton nom... alors pour la première fois, tu abandonna, et laissa Morphée t'emmener avec lui au pays des rêves, bercée par les battements du coeur de ton sauveurs inconnu.
Quand tu te réveilla, tu étais dans un lit, dans des locaux que tu semblais étrangement connaître, sans te sentir vraiment chez toi. Mais plus que les locaux, se sont tes bras qui t'inquiétèrent. Tous les deux occupés et percés de part et d'autres par des dizaines de fils qui semblaient sortir de nulle part mais tous, rentrés dans tes bras. Quatre, cinq poches de perfusions pleines. Des liquides translucides, directement relié à tes veines, coulant dans ton organisme, goutte à goutte... Quelles étaient leur fonction ? Pompé ton sang, te soutirer ton ADN ou bien t'injecter quelques substances hallucinogènes pour pouvoir ensuite se servir de toi ?
Et oui... Hydra avait fait de ses agents de bons petits soldats au garde à vous, pour faire en sorte qu'ils ne réfléchissent jamais aux atrocités qu'ils commettaient ou à la stupidité dont ils faisaient part. L'une des principales règles du mouvement était la suivante : se méfier de tout et de tout le monde, personne ne m'aidera, tout le monde veut ma mort.
Mais cela fonctionnait parce que le cadre était toujours le même. Partout, tout le temps. Toutes les agences terroristes se ressemblaient comme deux gouttes d'eau. Le mobilier identique était disposé de manière à ce que n'importe quel agent abruti par leurs manipulations psychologique qui franchirait leur portes, se sentirait tout de suite à son aise. La routine créait une sensation de familiarité. Si la différence était absente, la nouveauté le serait aussi, l'attention de-même, et la réflexion aussi... Mais chaque médaille ayant son revers, cela voulait dire qu'à la seconde où un pot de fleur disparaissait, ou un meuble était déplacé, les agent étaient en panique total. Un état d'alerte automatique et dévastateur. Un déclic se faisait immédiatement dans leur cerveau manipulé. Ils n'étaient pas chez eux, ils étaient chez les ennemis et il fallait éliminé l'ennemi, puisque l'ennemi était forcément méchant. Il me veut forcément du mal. Et si l'ennemi est trop nombreux, il faut fuir. Vous étiez entrainé des mois pour réfléchir de cette manière. Mais dans ce cas là, pouvions-nous encore dire, que vous réfléchissiez ? Plus que des humains vous étiez des machines, qui à chaque fois qu'ils entraient quelque part étaient obligées de comptés combien d'issues étaient accessibles depuis votre position, en combien de temps étaient-elles atteignables, et sinon, quelles armes aviez-vous à votre disposition pour vous défendre, et combien y avait-il d'ennemis ?
C'est ainsi et pas autrement que vous fonctionniez. Toi, Bucky et tous les agents d'Hydra. Normalement, vous procédiez avec minutie. Vous preniez quelques secondes, ou minutes pour penser à un plan, pour vous échapper sans faire de bruit, quitte à extirper des informations compromettantes à vos kidnappeurs au passage. Mais pas cette fois. Pas pour toi.
Et cet ainsi que tu a péter ton premier cable. Dans cette chambre de repos des soins intensifs du SHIELD. Tu tenta d'une manière violente et brouillon d'échapper à ces fils en les arrachant. Les drogues que l'on t'avait injecter, couvrait la douleur des trous béant que tu avais maintenant dans les articulations de tes deux bras, d'où coulait un liquide carmin.
Tu sautas du lit et sentis tes jambes se dérobées sous ton poids. Tu heurtas le sol dans un bruit sourd, mais tenta malgré tout de te relever à plusieurs reprises. Mais ni arrivant pas tu décida de ramper jusqu'a la première porte.
Mais le fracas de ta chute et le bruit des électrocardiogrammes désormais débranchés alertèrent les médecins responsables de ton rétablissement. Tes maigres forces, mélées à ton adrénaline et à ta soudaine peur de mourir, te permettèrent quand même de te relever finalement et de repousser violement tes joailliers, avant de denouveau sombrer dans l'inconscience la plus totale après seulement quelques secondes de course.
Tout devint noir très vite autout de toi, et tu distinguait à peine les voix paniquées des personnes qui s'agitaient autour de toi.
La dernière image qui t'apparut, fut le visage de Bucky face à toi, comme un flash.
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D'où venait ce souvenir ? Que voulait-il dire ? Où était-il ? Viendrait-il te chercher, ou était-il déjà mort ?
Tu allais mourir n'est-ce pas ? Je ne sais pas, mais toi, tu avais l'air d'en êtres sûr...
HOP LÀ UNE DEUXIÈME PARTIE BIEN DARK ! Avec enfin un gif PUTAIN ! Ça fait plaise !
Bon pour être honnête j'avais un peu peur de sortir cette partie, puisqu'elle est pas gaie du tout, et qu'on parle pas beaucoup de Bucky... Mais vous inquiétez pas, il sera le sujet principal du prochain chapitre !
Allez le même refrain : ABONNEZ VOUS, VOTEZ, COMMENTEZ ET ALLEZ VOUS COUCHER !
Mots de la fin : clavier portable et nouvelle carte bleue...
