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« Il pensait a son bien-être sans penser à tout tes « je t'aime » ».

J'étais partie vite fais au supermarché pour acheter quelques ingrédients, je voulais faire un gâteau pour faire plaisir à mon mari.

J'étais de bonne humeur surtout qu'à ce moment je vivais comme une princesse avec Abdel. Hamdulilah après 6 mois je peux maintenant dire que je vis heureuse avec mon mari sans mentir !

Je venais de passé la porte d'entrer, j'installais les courses sur la table. Sauf que à ce moment là je vis des affaire de femme sur le canapé. C'était peut-être la sœur d'Abdel non ? Pas de quoi s'inquiéter !

A vrai dire je me cachais juste de la vérité, je ne voulais me dire qu'Abdel me trompais, non il faisait tellement d'effort que il ne pouvait pas tout gâché comme sa, pas maintenant..

Je suis donc partie dans la chambre pour me convaincre que ce n'était que sa sœur mais là scène qui se passait devant moi me choquât..

Non ça ne pouvait être qu'impossible !

Loubna et Abdel

C'était ma sœur, elle ne pouvait pas me faire sa et surtout lui ! Mon propre mari avec ma sœur de cœur... Mais là c'est mon cœur qui se brisait. J'avais trop mal, beaucoup trop mal !

J'ai lâché tout ce que j'avais dans mes mains , mon cœur avait lâché et mes larmes aussi, à vrai dire je lâchais prise tout simplement. Je me suis retourné, ma vue était flou a cause des larmes, je me suis assise sur le canapé, j'étais juste en état de choque.

Ils avaient remarqué ma présence, quand Abdel m'a vue il a arrêté ce qu'ils faisaient et j'ai vue du regret dans ses yeux, mais c'était trop tard, trop pour tout rattrapé, il avait encore une fois tout gâché..

Je me suis dépêcher de sortir, je ne pouvais plus rester dans cette appartement, j'étouffais. J'ai entendu qu'il criait mon prénom mais j'ai vite fermer la porte et je me suis éloigné..

Je suis allée dans un parc et je me suis assise sur un banc, j'étais une fontaine, je ne méritais pas tout sa, j'avais fais trop d'efforts, je sais que au premier coup j'aurais du tout arrêté mais j'avais beaucoup trop confiance en lui. Et je n'avais surtout que lui.

Dans ses moments la j'aurais aimé que ma mère sois là pour moi, c'était la seule qui me comprenais, la seule qui aurait pu me soutenir dans ces moments. Tu me manque tellement..

J'étais toujours assise sur ce banc, j'essayais de me calmer comme je pouvais.

Je n'avais même pas remarqué que il y avais un homme à côté de moi. J'ai jeté un coup d'œil mais lui aussi regardait dans le vide.

Je me suis mise à le fixer comme une folle, son visage était pâle, ses lèvres était sèche et gercé, il avait une capuche, on aurait dit un fantôme. Je sais même pas si il avait remarqué que je le fixais, pourtant j'étais tellement proche de lui. Et puis j'ai tourné la tête, et la scène de Abdel sur le lit avec Loubna se me mît à repasser, des larmes coulait toujours sur mes joues rosé..

Je sentis un regard sur moi, j'ai donc tourné la tête et cette fois-ci c'est cette homme qui me fixais. Son regard était sombre, tellement sombre.

J'ai baissé la tête. Mon téléphone se mit a vibrer, sa ne pouvait être qu'Abdel. Je l'es éteint pour qu'il arrête de m'harceler.

Je suis rester toute la journée sur ce banc, l'homme était toujours là, mais au bout d'un moment il se leva et partit. Je l'observait, il avait avait ses mains dans ses poches et il marchait vite.

C'est bizarre mais sa compagnie a mes côtés me rassurais, j'étais décu qu'il s'en aille.

Mais 10 minutes plus tard je le vus revenir avec un sac. J'ai baissé la tête, je pensais toujours à Abdel et Loubna, je devrais arrêter de me prendre la tête, la solution était de divorcée et refaire ma vie, mais c'était trop dure pour moi. J'avais peur, que ferais-je toute seul ?

Je n'avais jamais apprit à vivre seule.. J'avais toujours besoin de quelqu'un. Mes parents me manques tellement.. Il ne faut pas que je lâche la prière, il n'y a que sa qui peut m'aider.

Allah sauras toujours avec moi..

Je me rassurais comme je pouvais, jusqu'à que je sente quelqu'un me secouer :

L'homme : Tiens

Il avait une voix grave et cassé..

Je regardais ce qu'il me tendais, c'était un sandwich et une canette. J'étais étonné, pourquoi il faisait sa ? Je le connaissais même pas. C'est vrai qu'on avait passé une journée entière sans rien faire sur un banc.

Moi: Merci..

Je n'avais même pas la force de demander pourquoi.

J'ai donc mangé à ses côtés. Ensuite vers 19h, j'étais perdu, je ne savais pas si je devais rentrer. J'avais toujours ma voiture.. Je l'utilisais rarement parce qu'Abdel ne voulais pas mais maintenant je ferais ce que bon me semble. Plus personne dicteras ma vie !

Hind : « Femme détruite »Où les histoires vivent. Découvrez maintenant