« Les hommes balafres »
Voilà, toujours la même routine. Tout les jours je travaille, je me déchire de 6h du mat à 15h à faire le ménage. Le Jeudi je m'occupe de Nail, même si il est calme et gentil c'est toujours autant fatiguant. Et puis quand arrive le week-end, j'hiberne.
Plus les jours passe, et plus je m'éloigne de Samy. A vrai dire il n'a pas plus trop le temps pour moi je pense. Je l'est déjà surpris dans son quartier avec Kenza. Il m'avait déjà prévenue que ce n'était pas une fille sérieuse, mais sa ne l'empêche pas de la voir pratiquement tout les jours. Et puis je pense qu'il s'enfonce de plus en plus dans ces histoires bizarre. J'ai beau prier pour lui, mais rien ne l'arrête. Mais bon je crois et j'ai confiance en Allah...
Aujourd'hui on était samedi et sur un coup de tête j'ai voulu sortir et prendre du temps pour moi, je méritais de dépenser mon argent. Alors pour commencer ma journée j'ai pris rendez-vous au coiffeur. Sa faisait longtemps que je voulais du changement !
Ensuite je suis allez faire quelques boutiques et je suis rentrer chez moi. Je m'offrais rarement ce genre de journée, j'avais perdu l'habitude avec Abdel et les histoires de fuites. Maintenant hamdulilah tout allait bien dans ma vie, je ne pouvais que remercier Allah.Enfin bref, il devait être 22h, je regardais un film quand j'entendu sonner.
J'ai regardé par le petit troue et c'était Samy mais il n'était pas seule, il était avec Kenza, et on peut dire qu'elle était dans un sacrée état.
J'ai tout de suite ouvert. On voyait qu'il était paniqué.
Samy: Smeh de venir comme sa mais faut que tu la soigne.
Bah oui je suis infirmière moi.
J'ai regardé Kenza et elle était limite entrain de s'évanouir.
J'ai dis à Samy de l'emmener dans la salle de bain, j'ai fais ce que j'ai pu et je lui ai dis de se débarbouiller. Je lui ai passer des vêtements à moi vue que les siens étaient sale.
Pendant ce temps je suis partie voir Samy qui était assis, il se tenait la tête comme si il était désespéré.
Moi : Il s'est passé quoi ?
Samy : Cherche pas
Voilà pourquoi on c'était éloigner, il ne prenait même plus le temps de me faire des phrases.. Il me repoussait à chaque fois.
Moi : rire nerveux Donc toi tu débarque comme sa chez moi ? Avec une meuf défoncé et t'ose me dire « cherche pas » ?
Samy : Ouais cherche pas
Moi : Aucun problème, dès qu'elle finit tu la récupère et tu te barre de chez moi. Supprime mon numéro au passage ! Je veux plus te voir ta compris ?
Samy : C'est bon dis pas de la merde !
Moi : Ah maintenant je dis de la merde ? Je suis grave sérieuse Samy !
Il m'a regarder avec insistance, peut être pour essayé de voir si j'étais vraiment sérieuse ou pas.
Et bien sûr que je l'étais. J'aurais préférer que ça ne se passe pas comme sa mais il faisait que de me décevoir, je ne voulais plus souffrir.
Ont étaient entrain de se regardé, limite on se défiait. Jusqu'à que Kenza fit son apparition.
Kenza : Je dérange ?
Samy : Commence pas toi
Kenza : ( a moi ) Je sais pas tes qui mais peut être qu'il faut que je te prévienne ?
Samy : Ferme la Kenza
Kenza : Bah quoi tu lui as pas dit ? Samy et moi on est ensemble, donc évite tout de suite t'es yeux de loveuse sur MON mec ! Sinon c'est moi qui te crève les yeux.
J'ai juste rit, meuf si tu savais ce qu'il m'avait dit TON mec, et si tu savais comment il te voyait. J'ai même pas répondu, j'ai juste rigoler et je leurs est dit de sortir. Samy avait l'air dégôuter mais c'est lui qui a chercher donc qu'il prends sa meuf et qui sors de chez moi.
En sortant, avant de claqué la porte je lui es dit :
Moi : Samy oublie pas de supprimer mon numéro et tout ce qui va avec. Sinon Kenza ne saura pas très contente !
Je leurs ai souris et je suis partie me coucher. Bien sûr que j'étais dégoûté, mais bon c'était la vie, tant mieux qu'on arrête tout sa maintenant, parce que sa y est je veux plus de dépressions amoureuse. Non je veux plus rien.
VOUS LISEZ
Hind : « Femme détruite »
Romansa𝐇𝐢𝐧𝐝, une femme au grand cœur qui partage cette vie douloureuse qu'elle passe au côté de son mari violent. Sans famille, sans amies, elle se retrouve face à la réalité. Jusqu'à qu'un homme, cet homme, surgisse dans sa triste vie. HISTOIRE TERMI...