Hind : « Femme détruite »

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« Rien n'est plus comme avant »

Je me suis retourné, à chaque fois que mes yeux se posaient sur lui, une boule se formait au fond de mon ventre. J'ai pris mon courage à deux mains et je l'est attendue.

Lui : heu ça va ?

Moi : hamdulilah

Lui : T'inquiète je te veux plus aucun mal. Je voulais juste qu'on se voit, une après-midi ou un soir, comme tu veux. Juste histoire qu'on mettent les choses à plat, et ensuite je te promet que tu me verras plus. Et t'inquiète y'a rien de louche, pas d'arrière pensé, de toute façon je vais me marié comme tu le sais.

Moi : Heu nan je pense pas que sa soit une bonne idée. Mais si tu veux fais le maintenant.

Lui : Heu ouais, tu vas trouver sa bizarre mais j'aimerais bien que tu vienne au mariage. En vérité c'est pas un mariage voulu, et aucune personne de ma famille viendra, donc voilà voilà.

Pour une fois dans ses yeux je voyais de la sincérité. Non ne vous inquiétez pas je ne retombe pas !

Moi : Il faudrait que j'en parle avec Samy.

Lui : Ah, vous êtes ensemble ?

Moi : Oui

Lui : Ah d'accord, j'espère qu'il fera pas la même erreur que moi.

J'ai souris

Lui : Bon bah voila tu me diras, je repasserais de toute façon faut que je passe par là pour mon taff, réfléchie bien et prends soin de toi

Moi : Toi aussi Abdel.

Et ont est chacun partie de notre côtés. Mon cœur était encore plus léger. J'ai tout de suite appelé Samy pour lui raconté. Il avait la haine qu'il soit venue me parler mais il m'a dit qu'il réfléchirais pour le mariage. En soit il m'avait fait de la peine, je sais que sa ma famille est une famille sans cœurs, bon il en à hériter, mais moi j'ai un cœur, j'en ai même trop.

Enfin bref je suis rentré. Doucher, manger, et je suis partie dormir.

Le lendemain Samy est passé, il m'avait dit qu'il viendrait avec moi au mariage.

Alors 1 mois plus tard nous somme y allée :

Comme Abdel me l'avait dit, il n'y avait personne de sa famille. Il y avait quelques potes à lui. Et toute la famille de la femme.

Sauf que je reconnaissais quelques personnes personnes de la famille de la femme. Je me suis posé des questions, es que je la connaissais ?

Je me suis pas prise la tête, et on a attendu les mariés. Je parlais avec Samy, plutôt je le bouffais du regard. Il était tellement beau.

Lui : Tu sais je te l'es pas dit mais t'es trop belle

Moi : Mdrr merci toi aussi t'es pas mal du tout

Miskin il était tout gêné. Sa me faisait rire.

Enfin bref quand les mariés sont venue. J'étais choquer. Alors là je m'y attendais vraiment, mais vraiment pas !!

La mariée c'était Loubna !

J'avais déjà raconté l'histoire à Samy mais il ne savait pas comment elle était.

Samy : Ta vue un fantôme ou quoi ?

Moi : C'est Loubna..

Samy : Hein ?

Moi : La marié c'est Loubna !!

Samy voyait que j'étais dans le mal, bien sûr je n'est plus ancien sentiment pour Abdel, mais dans mon cœur il reste Abdel. J'ai passer toute ma vie avec lui. Mais encore se n'est pas sa le problème. C'est qu'il a continué de la voir ! Il l'a enfanté alors que moi il me tabassais et il me faisait la misère.

Je regardais Abdel, et je pense qu'il avait sentie mon regard car il m'a regardé, dans son regard on voyait de la peine. Mais rien à foutre.

Samy : Viens on rentre.

Je l'est suivit. Abdel me suivait aussi du regard.
J'ai pris la main à Samy et on est rentré.

Mon ex mari avec mon ex meilleure amie. Mdrr ils vont bien ensemble.

Bref j'étais assise sur un banc, Samy était revenu avec une bouteille d'eau.

Lui : Bois

Moi : Non merci

J'ai calé ma tête sur son épaule et j'ai fermé les yeux. Heureusement qu'il était là. Sans lui je ne serais ce que je serais est devenue.

Lui : Hind ?

Moi : Oui ?

Lui : Je te pose une question et jure que tu me réponds sincèrement.

Moi : Wallah

Lui : Ta encore des sentiments pour lui ?

Moi : Nan, fin j'aurais toujours quelques chose au fond mais sa ne me fait plus rien. J'ai plus de sentiments pour lui.

Lui : Hm

Moi : Je t'aime Samy

Lui : Moi aussi hbiba

J'ai souris et je refermé les yeux.

Lui : Ta envie de te marié toi ?

Moi : Et toi ?

Il a juste souris. On c'était compris.