Il aura suffit d'une rencontre banale dans cet ascenseur entre Antoine Griezmann et cette jeune femme pour faire basculer leurs vies à jamais.
Quand on mélange passion, infidélité, amour, adrénaline, disputes, interdit et désir, cela ne peut qu'êtr...
- Rox' bouge ton cul ! On va être en retard à cause de toi. S'exclama ma petite sœur de l'autre côté de la porte.
- Eh Ivana, ce n'est pas parce que c'est ton anniversaire que tu peux me parler mal. La vie, je vais te casser la bouche. Dis-je agressivement.
Je soupire et applique mon gloss. Je sors de la salle de bain.
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(Tenue de Roxana)
- Enfin ! S'exclama mon père.
- Ce n'est pas trop tôt. Dit Ivana.
- J'ai pas mis si longtemps que ça. Dis-je en accentuant sur le « si ».
- Tu rigoles, j'espère ? Me dit ma mère.
Je roule des yeux et mon père démarre la voiture et nous prenons la route pour le stade de France. Aujourd'hui nous sommes le 11 mai et c'est l'anniversaire de ma petite sœur, Ivana. Elle vient d'avoir 14 ans. Elle est en 4ème, au collège. Mes parents lui ont offert un billet pour assister à France-Russie au stade de France.
D'ailleurs en parlant de famille, j'ai également un grand frère. Il s'appelle William et il a 25 ans. Mon frère est fiancé à Maïa, une femme tellement gentille. Je l'apprécie énormément. William termine sa dernière année d'étude de droit et en parallèle il travaille depuis 2 ans avec un avocat.
Nous arrivons au stade. Après plusieurs fouilles, nous pénétrons dans ce stade. C'est la première fois que je vais voir en vrai les bleus jouer. D'habitude, je les regarde à travers ma télé.
- Je vais aller chercher des pop-corn et des boissons. Informais-je à ma famille.
- Tu veux que je vienne avec toi ? Me demande mon père.
- Non, ça va aller.
- Fais attention à toi. Si tu te perds, tu nous appelles. Me dit ma mère.
Je leur sourie et m'aventure dans la foule. Je commande un paquet de chips, un pot de pop-corn et quatre boissons. J'entends les supporters s'exciter. Je lève la tête et effectivement les bleus sont arrivés sur le terrain.
J'aperçois Griezmann, je ne peux pas m'empêcher de sourire en me rappelant notre échange d'il y a un mois. Vous vous rendez compte ? Il y a un mois déjà. Griezmann a dû m'oublier au moment même où il était partit.
- Mademoiselle ?
Je tourne la tête vers la vendeuse. Elle me tend la nourriture.
- Ah oui, pardon. M'excusais-je en lui souriant.
Je l'a paie, prends mes articles et retourne à mon siège avec ma famille.
