Chapitre 34

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Une sonnerie me réveille. Je sens le lit bouger et la sonnerie s'arrêter. Je ne fais pas attention et continue de dormir paisiblement.

Je sens des caresses sur mon épaule gauche et des bisous dans le cou et sur mon épaule. Je papillonne des yeux et me réveille. Je vois tout de suite le beau visage d'Antoine. Un sourire apparaît sur mes lèvres d'un coup.

- Coucou. Me dit-il.

Je met ma main sur mon front.

- Hum, il est quel heure ?

- 9h.

- Ça veut dire que j'ai dormi que 2h à cause de toi. Dis-je en baillant.

- Arrête de mentir, t'as trop quiffer hier soir. Dit le beau blond avec un sourire en coin sur les lèvres.

- Mouais.

- Mito.

Nous éclatons de rire. Je me lève et prend le verre qui était posé sur ma table de chevet. Je sens le contenu. Vodka. Je bois le reste du contenu.

- J'adore cette vue. Dit Antoine en souriant.

- Arrête de me mater. Lui dis-je en lui lançant un coussin.

- C'est plus fort que moi. Tu me donne des envies de bon matin. Dit-il.

- T'es grave. Riais-je.

Nous rions et Antoine se lève. Alors que j'allais en direction de la salle de bain, Antoine me barre le chemin.

- Qu'est-ce que tu fais ? Lui demandais-je.

- Je te veux là toute suite. Fit le numéro 7 avec les pupilles de ses yeux dilatées.

- Tu m'as déjà eu hier toute la nuit. Et d'ailleurs il faut qu'on aille se préparer. L'avion est dans moins de deux heures et... commençais-je.

- Détend toi. Me coupe-t-il.

Antoine prend ma main et me fais basculer dans mon lit. Il vient au dessus de moi et m'embrasse. Le bleu descend tout en continuant ses bisous sur toutes les parcelles de mon corps. Il approche sa bouche de mon intimité. Je gémis d'un coup.

- Antoine ne joue pas à ça... Tu sais très bien que c'est mon point faible. Et si tu t'aventure là dedans, on va vraiment être en retard. Lui expliquais-je.

- Laisse moi faire.

Il continue. Je m'agrippe à lui, à ses cheveux, aux draps. Ce petit Antoine a le don de me faire complètement perdre la tête. C'est l'effet Griezmann.

Plusieurs minutes après

Je descend en bas.

- Salut les champions du monde. Les saluais-je.

- Coucou Roxi, ça va ? Me demande Paul.

- Oui et toi ?

- Yes.

- Dis donc, toi et Antoine vous ne vous arrêtez jamais. Me dit Adil.

- Comment ça ? Dis-je en fronçant les sourcils.

- Hier soir en m'endormant et ce matin en me réveillant. Vous n'êtes jamais fatigué ou quoi ? Dit Adil complètement traumatisé.

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