Amor inocente

Chapitre 39

- Ma mère va me tuer. Dis-je en tapant le code de carte bleue de ma mère.

Avec Victoria et Nina, nous nous regardons et éclatons de rire. Je rentre chez moi après une longue journée shopping entre filles. C'était grave bien. Mais le problème c'est que j'agis trop comme si mes parents étaient riche. Alors que c'est très loin d'être le cas enfaite.

- Roxana t'abuse ! S'exclame ma mère en me voyant avec des sacs à la main.

- Non, quand même j'ai acheté que deux robes et un jean. Dis-je simplement.

- Oui, mais tu m'avais dit que tu allais t'acheter qu'une seule robe. Dit ma mère.

- Je suis désolé, mais le shopping c'est trop ma thérapie. C'est mon anti stress, tout comme les séries et le chocolat. Dis-je en me défendant.

Ma mère soupire et finit par rigoler. J'ai de la répartie quand même ! Je monte dans ma chambre, essaie mes achats et coupe les étiquettes.

Mon téléphone sonne. Oh c'est Paul !

Conversation téléphonique:

- Allo ?

- Oui coucou Roxi, tu vas bien ? Me demande-t-il.

- Très bien et toi mon petit Polux ?

- Ah super bien. Je t'appelais pour t'inviter à passer un séjour dans ma villa à Miami. Et d'ailleurs, tu pourras même fêter ton anniversaire là bas. Me dit Paul.

- Pour de vrai ?

- Bah oui pour de vrai.

- Je suis désolé, mais je n'arrive toujours pas à réaliser que j'ai des amis millionnaires maintenant. Dis-je sous le choc.

Nous rions tous les deux à travers le téléphone.

- Et bien, je serai très honoré de venir. Je vais demander à mes parents et je te préviendrai. Sinon, il y aura qui ? Demandais-je.

- Kylian, Flo et sa copine, Antoine, Presnel, Ousmane, Lucas et sa copine, Adil, Benjé, Raphaël et sa femme, Carla, Kelly, Barbara, Coralie, ma copine et moi. Me répond mon ami.

- Tu as invité Coralie, sérieusement ? Le questionnais-je.

- Ouais... Enfaite j'ai invité un peu tout le monde, c'est juste que les autres voulaient juste profiter de leurs femmes ou alors sont déjà partis en vacances.

Je soupire.

- Mais ne t'inquiète pas, tout vas bien se passer. Me rassure le champion du monde.

- Bah j'espère bien, surtout avec vous. Vous aimez trop faire des problèmes. Dis-je.

- Ouais, mais toi aussi.

- J'avoue.

Nous éclatons de rire. Paul me dit tout ce qui a à savoir. J'ai simplement à payer mon billet, sinon le reste est prit en charge. On parle un bon bout de temps.

Quelques jours après

Je regarde l'écran d'affichage et remarque que les personnes de mon vol vont pas tarder à embarquer. Nous sommes le 23 juillet et c'est aujourd'hui que je pars pour Miami. Ça a été très dur de convaincre mes parents. Mais j'ai quand même réussi.