Asiyah - Mariage toxique [ TOME 3 ]

Partie | 17 |

Bonne lecture 🥂,

Je regarde l'heure une dernière fois puis expire, il a intérêt à décrocher cette fois.

Je prend mon téléphone et compose le numéro de Jad avant de l'apporter à mes oreilles. Première sonnerie...rien...deuxième et troisième...rien. Je raccroche et me lève du canapé avant d'aller enfiler ma veste, je récupère mes clés et compose le numéro de Tailyn.

Tailyn — Oui ?

Moi — J'ai besoin de l'adresse de Saphir, tu peux faire ça pour moi ?

Tailyn — Oh...euh...oui, oui. Tu as l'air paniquée ça va ?

Moi — Très bien ! Je veux juste m'assurer d'un truc.

Tailyn — Ah bon ? Quoi ?

J'expire.

Moi — Qu'il est en vie...au moins.

Tailyn — Quoi ?

Moi — Tu peux m'envoyer l'adresse rapidement ? Merci d'avance bisouuu.

Je raccroche et range mon téléphone. Je sors de la maison et dévalise les marches avant de m'arrêter.

Moi : Le chauffeur est partit.

Putain quelle idiote !

J'appelle rapidement un uber et lui indique l'adresse de Saphir. On arrive rapidement devant une grande maison et en repérant la voiture de Jad garée,
je détache ma ceinture et sort en courant.

Je toque comme une folle à la porte et prie de tout mon cœur pour que Jad n'ai rien fait de tordu. C'est le cas de le dire.

La porte s'ouvre justement sur Saphir, je le regarde de haut en bas et il me sourit avant de m'indiquer d'entrer. Au moins il semble en vie et en un seul morceau.

J'entre puis analyse sa maison, aucune trace de Jad...

Moi : Jad. Où il est ?

Saphir : Pas ici visiblement.

Je fronce des sourcils et me tourne pour lui faire face.

Moi : Mais sa voitu...

Il me coupe ;

Saphir : Oui sa voiture est présente, mais il est partit il y a peu.

Moi : Il est alors venu...oh mon dieu. Vous allez bien ?!

Il pouffe de rire puis s'assoit sur son canapé.

Saphir : Vous vous inquiétez pour moi ? Ne vous en faites pas. Mais votre mari est bel et bien venu ici.

Je crains le pire, ils ne se sont pas battus au moins ?

Moi : Vous...

Saphir : On a seulement discuté, enfin, j'ai eu affaire à ses menaces étrangement calme. M'enfin. Ah oui, et il a laissé la voiture ici sachant pertinemment que vous alliez venir.