Pdv Mickaël

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« Tu veux un peu de compagnie ?»

Je me retournais vers la porte, Victoria entra avec un grand sourire. Elle avait déjà coucher avec tout le gang mais je savais que j’étais son préféré...

Je m’approchais d’elle et écrasais mes lèvres sur les siennes, elle enleva rapidement mon tee-shirt et j’ouvris la fermeture de sa robe qui tombait sur le sol, elle m’amena sur mon lit et je me mis au dessus d’elle.

La porte s’ouvrit encore une fois, c’était mon père, je jurais avant de m’asseoir sur Victoria, il m’engueula parce qu’il ne m’avait pas vu ce matin pour me souhaiter bon anniversaire.

Ça fait des années que je lui répète que je ne veux pas le fêter mais il s’obstine pour les fêter.

Quelques instants plus tard, il congédia Victoria, il voulait me parler... Super !

De quel droit se permettait-il de casser mes coups ?

Elle récupéra ses vêtements et disparut. Je m’allongeais sur mon lit.

Il me dit qu’il avait un cadeau «spécial» pour moi... Ça ne pouvait pas être pire que l’année dernière... Il m’avait offert des places de cinémas.... j’aime bien aller au cinéma mais je peux me payer les places tout seul.

« Je dois te présenter quelqu’un.»

Je relevais la tête et regarda la fille qui l’accompagnait. Elle portait une joli robe longue bleu qui mettait en valeur ses formes, ces cheveux bruns lui tombait sous la taille et ses yeux bleu me fixait.

« On se connaît non ?» demandais-je

Dans ses yeux, je vis la peur prendre place.

« Oui, vous vous connaissez.» dit mon père, il l’amena près de moi et lui fit signe de s’asseoir mais elle refusa puis il s’approcha de la porte, juste avant de sortir il annonça :

« Marina, voici Mickaël, Mickaël voici Marina.»

Super ! Maintenant, il me laisse avec elle !

Elle s’approcha de la porte et grogna, elle devait être fermer a clé.

Je me souviens maintenant d’où je la connaissais !

« Alors comme ça, tu as survécu a la chute ! riais-je
- Oui, apparemment les vingt-cinq pour-cents n’étaient pas de mon côté... Pourquoi tu y étais toi ?» dit-elle

Je baissais les yeux, parler de ça avec une parfaite inconnue me dérangeais mais je dis quand même la vérité.

« De vieux souvenirs... J’y allais avec ma sœur...»

Dès que je finis ma phrase, elle pâlit et eut le souffle coupé.

« Comment est ce que j’ai fais pour ne pas m’en rendre compte plus tôt ! s’écria t-elle
- De quoi ?»

Elle commençait a m’inquiéter... son visage était de plus en plus pâle. Elle but d’une traite son verre puis fronça les sourcils, elle venait de le terminer. Elle se laissa tomber par terre, appuyée sur la porte avec les yeux plein de larmes.

« Tu... Tu es mon frère.»

Mon inquiétude disparue immédiatement, il n’y avait aucune chance que ce soit ma sœur.

« Non. Je ne suis pas ton frère. lui dis-je
- Si. Je ne me souviens pas beaucoup de mon frère mais je ne pourrais jamais oublier son nom, «Mickaël», quand tu es partit, tu devais avoir sept ou huit ans d’après mes souvenirs, donc maintenant, tu devrais avoir la vingtaine. Tu habite dans la maison de mon père et tu étais a la falaise car c’est un endroit ou tu te rendais avec ta sœur. Nous nous y sommes rendus pour la première fois la veille de ton départ car tes amis se moquaient de toi car tu me surnommée «mon bébé», pendant la nuit, je t’ai réveillé pour que tu me fasse un plan pour que je puisse y retourner. Tient, le voila.»

Les troisOù les histoires vivent. Découvrez maintenant