Connaissance

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J'étais toujours avec les amis de Natacha, ils avaient l'air de se connaître depuis des années, ils étaient tellement proche, étrangement moi qui suis de nature timide je réussis à parler un peu avec eux et m'intégrer dans la discussion, je commençais à avoir un peu chaud à cause de l'alcool, je décidais de me rafraichir le visage à la salle de bain.

Une fois dans la salle de bain j'entendais la voix d'un homme, et une femme qui criait.

Je n'arrivais pas à distinguer ce qu'ils étaient en train de dire, je me rapprochais de la deuxième porte qui devait surement ouvrir sur la chambre.

Il me semble que c'est la voix de Jessica avec l'homme qui veut à tout prix coucher avec moi. Merde ça ne sent pas bon tout ça, il faut que je parte tout de suite mais malheureusement pour moi je fis tomber le verre ou on disposait les brosses à dent, le verre se propagea partout dans la pièce, je n'eût pas le temps de réagir que la porte s'ouvrit sur cet homme au regard peu rassurant.

-Putain de merde c'est quoi ce bordel, tu ne peux pas faire attention.

Je ne répondis rien et me précipitas vers la sortie.

Mais l'homme se précipita sur moi me bloqua l'accès à la sortie, puis avant que je réagisse il m'asséna un coup à la tête.

Quand je repris mes esprits, mes mains étaient attachées au lit, ma chemise était déboutonner et je ne portais plus mon jeans, j'étais à moitié nu.

Je criais de toute mes forces et tirais sur les cordes pour essayer de me délivrer, mais je n'arrivais qu'à me faire mal aux poignets, c'est alors que quelqu'un alluma le flash de son téléphone et le pointa sur moi.

-Je t'avais dit que ce soir je te baiserais, t'inquiète je serais doux !!!

Puis il partit dans un rire sans fin, un rire qui fait vraiment flipper.

-T'inquiète bébé on va faire un petit film, pour prouver que tu es bien une salope qui mérite que d'être violer, vas-y démarre la vidéo.

Il repartit d'un rire, et je commençais à avoir la tête qui tournais, j'avais froid, je voulais partir d'ici, j'essayais encore et encore de me débattre, je criais de toute mes forces mais cela énerva l'homme qui se tenait à quelques centimètre de moi, il sortit une clope, il prit ma cuisse dans sa main et commença à me caresser, je compris tout de suite quelles étaient ces attentions.

-Pitié ne faîtes pas ça je vous en prie.

Il me regarda un long moment et me brûla la cuisse, le contact de sa cigarette sur ma peau m'arracha un cri de douleur.

-Trop tard bébé, je vais tellement m'amuser avec toi.

Les larmes me montèrent aux yeux, comment j'allais me sortir d'ici ?

Coucou mes loutres, vous pensez que Maï va réussir a s'échapper avant l'irréparable ?

TristesseOù les histoires vivent. Découvrez maintenant