Tristesse

Dégage !

Les cordes autour de mes poignets me firent de plus en plus mal, et le poids de l'homme me paralysait un peu plus à chaque instant.

Je forçais de toute mes forces j'avais envie de me sortir d'ici, la douleur n'était rien face à la détermination qui venait de m'envahir, est-ce que cela serait suffisant pour me sortir d'ici ?

Mais l'homme n'était pas de cet avis il agrippa mon cou et sera de plus en plus fort, je me débattais tellement qui lâcha prise.

Je commençais à être épuisée par tant de résistante, et mon agresseur le compris.

-Plus tu te débats et plus je pourrais faire ce que je veux de toi, t'inquiète tu vas sûrement rester en vie, je sais que t'aime ça salope !!! HAHA, HAHA !

Son rire était insupportable et j'avais envie qu'il l'a ferme !

Puis des cris se faisait entendre dans le couloir, je n'arrivais pas à discerner ce qu'il se disait, je me concentrais de toute mes forces pour savoir à qui appartenait la voix, mais avec l'alcool que j'avais bu je ne réussis pas à la déchiffrer.

Finalement je commençais à perdre espoir et me laissa aller en fermant les yeux et en priant pour que tout ceci ne soit qu'un cauchemar et que je me réveille d'une seconde à l'autre.

La voix qui criait dans le couloir devenait de plus en plus claire, et je m'aperçus que c'était moi qu'on appelait depuis tout à l'heure, mais mon corps ne me répondait plus et j'étais à bout de force, aucun son ne réussit à sortir de mes lèvres.

Puis les pas se rapprochèrent de la chambre, et ont tambourina contre la porte.

Je sentis mon agresseur, ainsi que celui ou celle qui tenait le téléphone qui s'agitais autour de moi, ils commençaient a paniqué et je les comprenais.

Puis la porte s'ouvrit en grand et mon agresseur fut projeter contre le mur avec une telle violence que s'en était presque inhumain.

-Espèce de fils de pute, dégage et ne t'approche plus jamais d'elle.