Chapitre 10

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PDV Drago:

Cela fait maintenant une semaine qu'elle ai à l'infirmerie. Beaucoup de mondes venaient la voir ! N'empêche elle ai très populaire. Mais elle ne s'était toujours pas réveiller ! J'allais allé à l'infirmerie pour la voir avec Blaise. Nous nous inquiétions pour elle et il fallait fallait que Vera la vois de toute façon. Elle était resté avec nous en attendant ! Non que ça me déplaise, elle a des visons vraiment bizarre et ça nous fait rire. 

Nous sommes devant les portes de l'infirmerie, nous frappons et Mme Pomfresh vint ouvrir:

- Bonjour ! Dit-elle. Que puis-je pour vous ?

- Nous venons voir Granger. Répondit Blaise.

- Très bien vous pouvez y allé mais je vous préviens, elle ne c'est toujours pas réveillé !

- Pas de problème. Dis-je en souriant.

- Elle est au fond à gauche. Nous dit-elle en nous laissant entrer.

Après que Mme Pomfresh soit partit dans son bureau, nous nous approchons de la blessé. Elle a l'air paisible.. comme ci rien ne pouvais l'atteindre. Je vit soudain un truc dans sa main, un papier. Qu''est ce que c'est ? Je le prend et regarde se que c'est. Une photo ! Une photo d'elle et d'un garçon ! Nous la regardons de plus près mais on ne reconnais pas ce mec ! Ce n'est un Moldu, il a une baguette. Pourtant elle elle n'avais rien dans la main tout à l'heure ! C'est étrange.. -A.C. serait-il venu ici pour la lui mettre dans la main ? Il est venu ici ?! Je vit que quelque chose bougé, je tourna donc la tête vers Granger. Elle bougeai un peu et ouvrit doucement les yeux. Vera lui sauta dessus et Blaise courut prévenir l'infirmière qu'elle est réveillé. Elle tourna la tête vers moi et me sourit. Je fit de même en m'asseyant sur la chaise à côté du lit.

- Comment te sent tu ?

- Heu.. bien, je crois.. Répondit-elle d'une petite voix. Tu es seul ?

- Non. Blaise et partit chercher Mme Pomfresh.

- Et.. ça fait combien de temps ?

- Une semaine.

- Wow ! 

- Qu'est ce qu'il s'est passé ?

- Je..

Elle allait me le dire mais n'eu pas le temps car Mme Pomfresh était arrivé en courant. Elle s'arrêta devant sa patiente en faisant une drôle de tête.

- Quoi ? S'inquiéta la brune.

Mais l'infirmière de Poudlard ne bougé toujours pas.

- Bonjour Mme Pomfresh nous venons voir comment vas Miss Granger ? Dit McGonagall en entrant dans la pièce accompagné d'autres Professeurs.

Elle ne bougeai toujours pas et la Gryffondor la regardais avec inquiétude. Les Professeurs en voyant qu'elle est réveillé, ce précipitèrent vers elle.

- Miss Granger ! Comment allez-vous ?

- Heu.. Bien merci..

-Que c'est-il passait ? Monsieur Malfoy, Monsieur Zabini, sortez s'il vous plaît !

- Non ! Pas la peine ! Dit rapidement la jeune fille. Ils peuvent resté. Je veux qu'ils restent.

-Mais vous ne voulez pas plutôt faire ça devant monsieur Potter ?

- Pas la peine !

- Très bien. Alors que c'est-il passé ?

- Et bien.. J'étais dans mon dortoir, tout le monde étaient partit dans la Grande Salle. J'étais seule ! J'ai entendu un bruit inhabituelle qui venait de dehors. Je suis allé voir ce que c'était mais, il n'y avait rien ! Je suis donc repartit à mon occupation, c'est là que le même bruit c'est de nouveau fait entendre mais, cette fois, la fenêtre de ma chambre c'est brisé ! Je me suis retourné et c'est à ce moment là que.. je n'ai rien pût faire, j'était prise par surprise et, sa c'est passé en seulement quelques secondes.. je n'ai pas eu le temps de réagir ! Finit-elle encore sous le choque.

Plus personne ne parlé. J'était sous le choque ! Il aurait pût la tuer, et il s'en foutait apparemment. Au bout d'un moment, la directrice reprit la parole :

- Je crois que vous étiez visé Miss Granger ! Si vous êtes effectivement allé à votre fenêtre pour voir ce qu'il se passé et que c'est votre fenêtre qui s'est brisé en première, c'est que vous étiez la cible ! 

La jeune femme baissa la tête en soufflant, puis dit en relevant sa tête.

- Dans combien de temps pourrais-je sortir ?

- Et bien.. Commença l'infirmière de Poudlard qui semblait reprendre ses esprits. Vu comment vous vous comportez, je ne vois aucun problème à ce que vous sortiez aujourd'hui !

Elle sourit et laissa échappé un soupire. Elle regarda soudain sa manche, qui laissait apparaitre un bout de sa cicatrice, disant : " sang de bourbe " que ma folle de tente avait graver dans sa chaire. Son visage s'assombrit, mais à peine deux secondes plus tard, un sourire apparut sur son visage. Elle tourna sa tête vers moi et Blaise qui se trouvais juste à côté de moi. Je lui lançais un regard interrogateur et elle haussa les épaules en souriant !

A peine quelques minutes plus tard, l'infirmière lui donna l'autorisation de sortir. Elle se leva mais eu un peu de mal à se tenir en équilibre. Je vis qu'elle allait tombé, je la rattrapa donc. Blaise et moi l'aidons à marcher jusqu'à la Grande Salle car il était l'heure du repas. Quand les portes s'ouvrirent sur nous, tout le monde nous regardent, et ce turent ! Mais Potter et les Weasley ce levèrent en voyant leur meilleure amie. Elle failli retombé, ne tenant plus sur ses jambes, je l'attrapa donc par les hanches pour qu'elle tienne bon. Elle tourna sa tête vers moi.

- Merci ! Dit-elle dans un souffle.

Potter voyant qu'elle n'arrivait pas encore à tenir complètement sur ses jambes, s'approcha et l'amena jusqu'à sa place à la table des Gryffondor. Une fois que nous fumes tous à notre place, il nous fit un signe de tête pour nous remercier. McGonagall prit la parole.

- Bonsoir chers élèves, comme vous avez pût le voir, Miss Granger c'est réveillé cette après-midi et après avoir était examiné, je suis heureuse de vous annoncer que rien de grave n'a été détecter, elle peut donc revenir avec nous ! Dit-elle en souriant à la rouge et or. Pour en revenir à l'histoire des dortoirs, le temps de reconstruire la tour des Gryffondor, l'année sera terminer, et nous n'allons tout de même pas vous laissez dormir dans la Grande Salle toute l'année ! De ce fait, afin de rapprocher les deux maisons ennemie, nous avons décider, avec les autres Professeurs, que vous devrez cohabiter avec les Serpentard !

Il y eu quelques protestations des deux côté mais au bout d'un moment , ils se calmèrent. Elle reprit donc.

- Bien, de toute façon vous n'avez pas le choix ! Alors.. nous vous avons accrocher, devant la Grande Salle, avec qui vous partagerais votre chambre. Bien.. sur ceux, bonne appétit !

Après cela, nous mangeâmes avec un seul et unique sujet de conversations: le partage de dortoir !

Jamais moi sans toi !Où les histoires vivent. Découvrez maintenant