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Pdv de Khadija:

On est rester comme ça pendant un bon bout de temps avant de se séparer:

Moi: tu sait la distance ne changera pas notre belle amitié, c'est juste un déménagement et puis on est dans la même ville c'est déjà ça. Elle me répond pas et garde le silence alors je me jette sur elle et lui fait des chatouilles elle se tord de rire, je continue encore et encore:

Ndeye: s'il.......te....pl...plaît arrête, me suppliait-elle ne pouvant plus tenir.

Moi: d'accord seulement si tu arrête de pleurer, ok!

Ndeye: d'accord! j'arrête les chatouilles et me lève du lit je me met devant le  miroir de la coiffeuse et y observe pour la dernière fois mon reflet. J'avais de monstrueuse cernes et des yeux tout rouge j'avais en gros le visage méconnaissable, je détourne mon regard du miroir et observe chaque détail de la chambre au ralenti comme si je voulais que chaque détail  soit graver à jamais dans ma mémoire, je fut couper dans ma contemplation par Ndeye:

Ndeye: Madame votre mère demande après vous, me dit-elle.

Moi: d'accord je vais aller voir ce qu'elle veut, et sur ceux je m'en vais dans la chambre de maman je toque à la porte et entre après avoir entendu un "entrer" je la trouve assise sur son lit à contempler un cadre photo:

Maman: tu était tellement mignonne petite, dit-elle avec un sourire nostalgique.

Moi: et maintenant?
Elle lève la tête et m'observe le visage rempli de larme:

Elle: maintenant...... t'as grandit et t'es magnifique seulement je me rends compte que j'ai était trop absente à tel point que tu as grandit si vite et aujourd'hui tu t'ai marier et tu vas commencer une nouvelle vie. Il est difficile pour moi d'accepter que j'ai était une mauvaise mère, une mère qui n'avait jamais de temps pour sa propre famille et même pas pour sa cadette celle qui a dû s' éduquer toute seule. Celle qui a grandit seule et qui ne sait jamais plains, celle qui ne disait jamais rien même si elle avait mal je sais à quel point je t'ai fait souffrir, je suis désolée ma chérie....... Elle se met à pleurer de plus belle, je me met devant elle et essuie lentement ces larmes:

Moi: ne redit plus jamais ça tu es la meilleure maman de tout l'univers et je suis contente d'être ta fille, je sais que tu n'a pas pu être là pendant tout ce temps mais ça ne change en rien au faite que tu soit une bonne mère.

Elle: tu ne comprends pas qu'à cause de moi t'as pas connu l'amour d'une mère et je ne t'ai pas préparer à faire face à ce monde cruel.

Moi: ce n'est pas trop tard tu sait.

Elle: mais tu vas quitter cette maison et je n'aurai pas la chance de rattraper le temps perdu.

Moi: peut-être mais je suis toujours dans le pays on se verra autant de fois que tu voudra, lui dis-je en lui faisant un petit sourire pour lui remonter le moral.

Elle: tu as raison et je voulais te dire que quoiqu'il arrive garde toujours t'as dignité et ton beau sourire. Ne baisse jamais les bras, soit toujours forte qu'importe les obstacles que tu rencontrera dit toi que tu peut les surmonter et place toujours ta confiance en Allah. Le mariage n'est pas facile mais je sais que tu saura bien gérer ton foyer j'en suis sûr et obéit toujours à ton mari soit une bonne femme, fait de ta maison un havre de paix à telle point qu'il sera presser de rentrer chez soi parce qu'il y trouve la paix. Les hommes sont comme des bébés il faut en prendre soin, les chouchouter, leurs faire tout le temps plaisir et leurs donner toute notre attention et puis tu as de la chance d'être  marier avec Mohammed c'est un gentil homme et je sais qu'il prendra soin de toi.
Moi je ne suis pas du même avis qu'elle car cet homme que je venais de rencontrer et qui m'a menacer tout à l'heure était loin d'être un gentil homme et pourtant maman a l'air d'être soulager que je sois marier à cet homme:

une Vie CompliquéeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant