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𝐒𝐚𝐞𝐣𝐢𝐧
Vancouver, Vancouver General Hospital
19h07
Ouvrant difficilement les yeux aveuglée par une lumière blanche le soleil déjà coucher dans le ciel je ne reconnaissais ma chambre tandis que je remarquais alors les vêtements d'hôpital sur mon corps la porte s'ouvrant alors sur une femme semblant être une infirmière.
Infirmiere : Oh ! Mademoiselle Lee, vous êtes réveiller ? Comment vous sentez vous ? Me demandait elle alors que je me redressais doucement du lit peu confortable.
Moi : Pourquoi je suis ici..? Demandais-je m'habituant a la lumière artificielle.
Infirmiere : Vous vous êtes évanouis dans votre université. Ils nous ont tout de suite appeler et des ambulanciers vous ont transporté jusqu'ici.
Moi : Ah...Soupirais-je.
Infirmiere : Vos amis vous attendent depuis votre entrer dans la salle d'attente, je vais appeler le médecin je reviens avec eux.
Docteur : Les douleurs que vous avez ressentis au niveau de votre coeur n'ont rien d'inquiétant cependant, vous avez un manque d'exercice physique important, vous manquez cruellement de fer ainsi que de sommeil, c'est pourquoi vous avez saigner plus tôt; à cette allure c'est le surmenage qui vous guette mademoiselle...Mais ce qui m'inquiète le plus dans votre santé est votre haut taux de stresse, d'anxiété et de panique mademoiselle...Y'a-t-il quelque chose qui vous préoccupe en ce moment...? Me demandait il tout les regards tourner vers moi alors que son seul nom était sur le bout de ma langue.
Moi : J-Je ne sais pas...
Docteur : Mademoiselle...Le corps, est comme un sorte de messager. Il vous donnes continuellement des nouvelles de votre santé et si aujourd'hui il ne répondait plus, c'est que quelque chose ne va plus dans votre système. Je vais vous prescrire des antidépresseurs, mais lever un peu le pied dormez au minimum huit heures chaque nuits et surtout mangez convenablement. Nous allons vous garder en observation cette nuit, vous pourrez rentrer chez vous demain.
Moi : D'accord...Disais-je le médecin s'en allant.
Marie : Lee Saejin...Me regardait elle d'un oeil mauvais. Tu ne peux pas savoir a quel point je me retiens de ne pas t'étrangler...Me disait elle les sourcils froncer. Je me suis autant inquiété pour toi croyant que quelque chose de grave t'arrivais alors que simplement tu as décider de te faire une guerre de la faim tout en te privant de sommeil pour prendre de l'avance sur tes cours ?! C'est une blague ?! Me demandait elle d'une rare colère.
