Cellule

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Chapitre 19

~🌒~

Lorsque Aster avait parlé de changer de décor Elcarim n'avait pas tout de suite compris.
Jusqu'à ce que des gardes lui mettent un sac sur la tête et le traine à travers la moitié du château.

Le jeune homme avait d'abord sentit l'odeur de l'humidité puis il avait vue la lumière traversent le sac s'estompait.

Les gardes l'avait ensuite jeter sur un sol froid et humide avant de refermer une porte grinçante.

En enlevant le sac sur sa tête Elcarim avait découvert ça nouvelle chambre.
C'était une petite grotte taillée par l'homme pour en faire une cellule.

Les marque l'essai sur les parois témoigner du passage des autres prisonniers.
Les seuls objets qui juré avec la pierre grise était la porte de métal épaisse et rouillée et le lit de paille fraîche.

Elcarim entendit vaguement la voix d'Aster derrière la porte mais il ne comprit pas les ordres donné au garde qui répondirent juste

-"Oui majesté !"

À l'unisson avec une voix forte.
Les heures s'écoulèrent lentement.

Elcarim espéra que le prince ne s'acharne pas sur la pauvre Aloe qui n'avait rien fait de mal.

Le jeune terreux savait qu'il ne craignait pas grand-chose et de toute façon cette nouvelle chambre ne lui déplaisait pas temps que ça.

Malgré le froid il y avait dans cette cage de pierre quelques choses de calme et apaisant, dans la grande chambre où il était précédemment Elcarim pouvait entendre les bruit de pas dans les couloirs, les murmures de la ville qui traverser les fenêtre inondé de lumière.

Dans cette petite grotte seule le vent se glissai parfois entre deux failles puis repartait, comment s'il voulait juste j'étais un œil sans déranger.

La mystérieuse lumière qui émanait du plafond était légère et rassurante, le jeune prisonnier avait distingué des points à la forme de champignons lumineux ce qui expliquaient une si douce luminosité sans besoin de feux.

Elcarim s'occupa en dessinant sur les murs avec une pierre qu'il avait trouvé par terre.

Il grava comme il put la forme de son village, d'abord la forme pointue des tentes, puis les ondulations du grand feux au centre du village et enfin les ligne des arbres de la forêt.

Le terreux n'oublia pas de rajouter des ombres de-ci delà pour donner l'illusion que des fantômes se balader sur le dessin.
En voyant la représentation floue de ça terre natale Elcarim sentit son cœur douloureusement se tordre.

Son village lui manquait, son peuple lui manquer, ses parents lui manquait. Et ce manque creuser de plus en plus un triste vide à l'intérieur du jeune homme.

La porte grinça lentement. Doucement presque sur la pointe des pieds Aster entra dans la cellule.
Avec dans les mains un plateau comportant une assiette, un dessert et un verre.

Le regard vagabond le prince ressemblait à un enfant voulant se faire pardonner d'avoir fait une bêtise.
Même s'il restait droit et fière Aster désigna timidement le plateau du menton.

- "Le guérisseur a dit que tu devais correctement te nourrir."
Puis il posa délicatement le plateau à terre et s'assied en tailleur en continuant d'éviter de regarder le prisonnier.

Elcarim trouver le prince presque mignon d'être aussi gêné lui qui était toujours sûr de lui et de ses décisions semblait regretter son geste.

Elcarim le miraculeuxOù les histoires vivent. Découvrez maintenant