Périple

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Chapitre 23

~🌓~

Des gardes munies de trousseaux remplis de clef enlevèrent les chaînes une à une.
Les terreux étaient affaibli, blessé et traumatisé pour certains mais tousse était heureux d'être enfin libre.

Elcarim pris le temps de piocher dans les chariots de nourriture pour distribuer des vivres au plus affamé.

Il y avait trois chariots de nourriture et deux pour transporter les villageois et le nécessaire de voyage.
Il avait était décidé que les plus faibles et mal en point seraient assis et que les plus vigoureux feraient le voyage à pied.

La nuit tomba, mais les terreux trop impatients de se mettre en route terminé déjà les derniers préparatifs.
À la lumière des torches, ils attelèrent les chevaux tireurs de chariot et partirent sans plus attendre.

Dans la pénombre tout était calme, seule le bruit des roues et le clapotis des sabots venaient brisait le silence nocturne.

Le groupe traversa la ville jusqu'aux immenses portes qui s'ouvrirent dans un vacarme monstrueux.

Elcarim se permit un seul regard en arrière, il observa un instant le château en s'excusant intérieurement auprès de Aloe qu'il laissa derrière lui.
Mais le jeune homme savait qu'elle serait bien traitée, au moins il l'espèrer.

Le vieux chamane qui avait refusé de monter dans un chariot posa ça main tremblante sur l'épaule de Elcarim.

-"Ne t'inquiète pas mon petit, le dieu serpent exauce à nouveau nos prières, de tout les choix que tu as fait j'espère que tu n'en regretteras aucun. "

Ce petit encouragement venu d'un grand sage soulagea le cœur du jeune terreux qui souris et passa sans crainte les grandes porte.

Les terreux marchèrent de nuit éclairée à la lumière des torches, ils chantèrent les musiques traditionnelles, certains sifflé, d'autre frapper en rythme sur les planches des chariots ou sur leurs jambes.
Leur voix transpercée l'obscurité trottant jusqu'à la lune, leur cœur battait à l'unisson alors chaque parole les rapproché encore un peu plus les un des autres.

Je suis enfant de la terre ma vie vient de commencer.

Un jour, je rendrai ma tribu fière car ses là ma destinée.

Comme un arbre, je grandirais et planterai mais racine.

Je trouverai l'être aimé et fonderait une famille.

Un jour je partirai et le grand serpent me bercera.

Il me bercera comme il a bercé mon père avant moi.

Mon aimé me pleurera et mes enfants chanteront mes exploits....

Ecrof coincé dans un chariot parse que ça queu était trop blessé pour le soutenir, pester essayant de convaincre ses parents de le laisser ramper avec les autres.

-"Si j'utilise la charrette pour me soutenir il n'y aura pas de problème !"

Le rampant reçu une claque magistrale sur la tête, même si elle était affaiblie la mère de Ecrof resté tout de même la femme la plus forte du village.
Le jeune homme se maintenait le crâne de douleur alors que sa mère lui fessais la morale de sa voix aussi forte que ses bras.

Elcarim le miraculeuxOù les histoires vivent. Découvrez maintenant