Chapitre 14
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Les ruelles débordait d'étalage qui a leur tour débordait de pierre précieuse, de nourriture au parfum alléchant ou de fleurs aux senteurs boisée.
Mais il ni avait pas que les étalages qui impressionnèrent Elcarim, les habitants étaient touts aussi differents les un que les autres, certains était élégant et éclatant ils avaient des oreilles longue et fine et des cheveux de couleur, rouge, rose ou violet.
D'autre tellement petit qu'il arrivait à la taille de Elcarim crier sur s'eus qui barrait leur chemin puis ils grognaient en marmonnant dans leur grosse barbe touffue.
Le jeune garçon vie même une femme aussi grande qu'une maison de pierre qui devait s'accroupir pour parler au marchand a ses pieds.
Entendre le bruit de la foule, pouvoir marcher et même courir s'il le voulait, sentir le vent frôlé ses membres et la terre sur laquelle reposer ses pieds, toutes ses sensations fessais un bien fou à Elcarim qui se rendait compte que l'extérieur ne lui avait jamais autant manqué.
En poursuivant ça route Elcarim fut soudainement interpellé par une femme a la carrure imposante, elle barra le passage au jeune garçon et lui parla d'une voix forte et joviale.
-"Bas alors l'étranger j'te vois tourner l'tête dans tout sens depuis t'a l'heure ! Tu vas choper l'torticolis ! Vin donc par ici !"
Sans lui demander son avis la femme agrippa le bras de Elcarim et le conduit jusqu'à un petit étalage ou des fruits et des légumes aux couleurs vive briller délicieusement au soleil.
Le vendeur fronça le nez puis en voyant la femme forte il sourit dévoilant des dents cariées et manquante.-"V'la qu'tu nous ramènes directement l'client par l' bras !"
Il rit d'une voix grasse et finit par s'étouffer.
-"S't' étrangers tourne en rond d'vant l'commerce j'allais pas laisser attraper l'tournis !"Elle montra ensuite fièrement avec son bras son étalage, les yeux pétillants de fierté."V'la mon p'tit commerce. Ses pas bin grand mais ses m'fiertés !"
-"Dit étrangers ta d'ja goûté a sa ?"
Le vendeur pointât du doigt un légume grand comme un petit doigt, de forme allongé et aussi rouge que le cœur d'un feu.
-"Je suis désolé je n'ai pas d'argent sur moi."
S'excusa Elcarim honteux. La femme loin de s'offusquer souris encore plus elle gigota la main comme si elle chassait la phrase du jeune homme.
-"S'pa grave l'argent ses pas l'plus important sinon ça serait bien triste d'être vendeur."
L'homme derrière l'étalage plongea ça main dans un panier et en sortie un des légumes étrange.
-"Tient mange ! Ses d'bon cœur ! Et en échanges-tu nous raconteras d'ou que tu viens !"
La femme sautilla comme une enfant heureuse.
-"Écouter l'gens parler d'leur région et d' pays ça me fait un p'tit quelques choses au cœur !"
Toucher par la gentillesse de ses gens et curieux de découvrir une nouvelle saveur Elcarim engloutit le légume.
Au début il fut surpris par le goût de la chaire croquante, puis quelques choses commença à piquer son palais et sa langue.
Une chaleur atroce se répandit dans ça bouche puis dans ça gorge et ses narines.Elcarim avait la désagrégation sensation d'avoir avalé des aiguilles enflammées.
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Elcarim le miraculeux
FantasyDans les plaines verdoyantes que l'on disait sans nom , plus particulièrement dans le village des terreux, naquirent 6 bébés à l'apparence exceptionnelle. Des enfants avec des particularités offerts par le dieu serpent. Elcarim le miraculeux dont le...