Sauveur en fourrure

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Chapitre 24

~🌖~

L'état des malades empirer et puisque personne ne pouvait savoir quelle nourriture était empoisonnée ou laquelle ne l'était pas il était impossible de donner à manger aux personnes souffrante.

Melac s'effondra en serrent les dents de douleur les mains sur son ventre.
Elcarim se précipita en même temps que Elleb sur le jeune homme.

-"Tu devrais te reposer avant que le poisson n'aggrave ton cas !"
S'énerva la jeune femme dont le regard était infiniment triste et inquiet.

-"Je vais bien, je peux toujours aider."

Répondit Melac toujours aussi têtu malgré la douleur qui le rongé.
Sa mère finie par arriver et d'un ton autoritaire, elle ordonna à son fils de se reposer.

-"Tu es dans un état trop lamentable pour aider qui que ce soit. Repose-toi un peu avant d'essayer de faire croire que tu es surpuissant."

Et sans effort, elle réussit à allonger son fils trop faible pour résister.
Elleb avec une grande douceur pris soin du jeune homme.

Elcarim regarda son amie impuissante face à son mal-être, autour de lui les malades lutter pour ne pas perdre la tête, les jumelles n'avaient pas dormi de la nuit et continué de soulager leur semblable du mieux qu'elle pouvait.

Un peu plus loin dans un chariot Ecrof serrait sa bien-aimée Ednarg contre lui, le pauvre essayé d'apaiser ça fiancé qui arrivait à peine à rester consciente.

Le jeune Elcarim se sentait à bout.
Pendant un instant, il avait crue qu'il était enfin libéré, que son peuple et lui retournerait sur leur terre natal pour rejoindre ses parents et les enfants qui les attendaient saint et sauf.

Il y avait crue, mais encore une fois la réalité de la vie l'avait poignardé en plein cœur.
Le jeune terreux s'appeler Elcarim le miraculeux et pourtant il avait l'impression d'apporter le malheur à toutes les personnes qu'il aimait.

Un cri alerta soudainement les villageois.
La mère de Elleb bander son arc en position de tire tendit que a ses côtés la mère des jumelles regardé au loin apeuré.

Lorsque Elcarim regarda dans la même direction qu'eux il n'en croyait pas ses yeux.
Les serpents sur sa tête se redressèrent en position défensive.

Deux masses noires aussi grandes qu'un arbre et aussi large que quatre sangliers réuni couraient en direction du campement des terreux.

Le père de Ecrof un bâton taillé en pointe meurtrière dans la main hurla aussi fort que le pouvait son immense poitrail et sa grosse voix caverneuse.

-"Guerrier ! Aux armes!!"

Le peu de personne encore debout saisirent les armes de fortune qu'ils avaient fabriqué en cas d'attaque animal.

Les plus faibles encore capables de bouger les bras se mirent, eux aussi, en position de défense.

Melac faible et abattu par la douleur serra contre lui un couteau de pierre taillé.

Les jumelles un carquois tisser avec des branches déjà sur l'épaule armée leur arque prête à tirer.

Leurs flèches tremblait, mais comme tout les autres villageois seul la menace devant elle prenait toute leur attention.
Elcarim à qui on avait donné une lance avec au bout une pierre tranchante regarda les ombres se rapprocher.

Les silhouettes prenait forme devenant plus nette au fur et à mesure des secondes qui s'écoulait lentement.

Le jeune terreux commençait à discerner des créatures à quatre pattes l'une de couleur noire et l'autre plus petite claire comme la lune.

Elcarim le miraculeuxOù les histoires vivent. Découvrez maintenant