Je Te Déteste

Chapitre 12

Je me réveille difficilement, je vois légèrement flou.

- Réveillé ? Me dit une voix dans la chambre.  Vous êtes têtu nan ?

- Très.

- Vos points de suture se sont ouverts ils ont dû les recoudre, à présent rester bien allongé. M'explique cette dame devant moi.

Je suis pas encore bien conscient pour distinguer qui elle était.

- Je suis l'agent Littleton. Je me charge de m'occuper de ce qui vous êtes arrivé.

- Oh mais je n'ai pas besoin de vous. Dis-je en me braquant. 

- Que s'est-il passé ?

- Rien qui peux vous intéresser.

Elle s'en alla en parlant à je sais pas qui et vis au loin Sam qui entra dans ma chambre d'hôpital. 

- Benji ! Dit-elle soulagé.

- Désolé Sam, je pouvais pas te prévenir plus tôt. M'excusais-je.

- C'est ton père hein ? Dit-elle en prenant ma main.

J'hoche la tête et elle compris que c'était bien lui.

- Raconte moi.

- Il avait beaucoup trop bu, il était pas patient et énervé au moindre truc. Il m'avait demandé de lui apporter une bouteille et je l'a trouvait pas, je trouvais pas celle qu'il voulait. Il a jeté la bouteille que je lui avait proposé et ma frappé avec, il s'est levé pour aller chercher le bâton de fer et ma frapper aux côtes.

- Il t'en a cassé c'est bien ça ? Dit-elle.

- Oui. Tout à l'heure j'ai voulu t'appeler, j'ai parcouru tout l'hôpital pour trouver un punaise de téléphone et à force mes points de suture se sont réouvert.

- Benji, les médecins t'ont dit pourtant de rester dans ton lit. Ajoute-elle désespéré.

- Je sais mais je savais que t'allais criser si je te donnais pas de nouvelles pendant tout le weekend.

- C'est vrai. Sourit-elle.

Après une longue discussion, elle partit en me faisant un bisou sur le front. Ce bisou si puissant me fit des frissons.

L'agent Littleton revenait dans ma chambre.

- Benji, je suis la pour vous aidé. Dites moi pourquoi vous vous êtes cassé les côtes.

- Écoutez, je peux rien vous dire d'accord mainetant laissez moi. Ordonnais-je.

- Vous avez donc quand même quelque chose ? Demande-t-elle.

Je ne répondit pas.

- J'irais interrogé votre père, peut-être qu'il m'en dira plus. Affirme-t-elle en remettant en place sa veste et partit.