J'ai mis 6 mois chez paolo et juliette pour que mon corps se rétablisse, jimmy ma donné le nom d'un bon médecin en géorgie pour suivre l'évolution de ma guérison. Le docteur dévreux paul , un vieux monsieur très sympathique et surtout très excentrique, mais passons car hormis sa petit folie c'est un médecin très compétant .
Et ils ont travaillé ensemble lui et jimmy,jusqu'à mon rétablissement total, Je n'ait plus rien à présent.Et oui poalo et sa femme ont déménagé jusque là-bas pour moi et je kes remercierai jamais assez pour ça,j'étais libre comme l'air, bien que la menace < harry > plane au dessus de nos tête. Mais voilà se con à fait sonner l'alarme, de la probabilité qu'il débarque un jour, alors paolo et juliette ont préféré m'éloigner
En réalisant l'un de mes rêves ,visité tout le moyen Orient. Bien qu'heureuse je suis triste de devoir m'éloigner des seuls personnes qui ont prit soin de moi .Alors....
me voilà 6 mois plus tard coincé avec se fou furieux de roi du désert qui n'a pas hésité a m'endormir et m'enveller .
《 Enfoiré 》.
.....
Assise sur un fauteuil en cuire de peau de chèvre retourné et tanner de sa couleur naturelle magnifique < pauvre chèvre >, je suis installé juste en face d'une grande baie vitré avec j'ai une vu magnifique sur le désert.
Bizarrement j'avais du mal a y croire après se que j'avais vécu avec harry, encore et toujours et ensuite avec mes amis, jimmy qui a été le premier a me porter secours en me tendant la main ensuite se fut paolo et juliette un couple adorable. Donc hors de question de me laisser embobiner, par ses belles paroles. Après tout je le connaissais pas roi ou pas et par dessus le marché il venait de me kidnapper en m'endormant à l'aide d'une piqûre 《 le fourbe 》. Malgré ma peur qui me tord l'estomac, il faut que je soit forte hors de question de plié, il va falloir que je prenne sur moi et que j'en sache plus sur ce qu'il M'attend et surtout organiser ma fugue le plus rapidement possible.Je sursaute la porte derrière moi, venait de s'ouvrir avec un extrême violence, incertaine je me renfonce dans le fauteuil les épaules affaisser, m'attendant au pire, sans me retourner je reconnais la personne qui se tient derrière moi et sent son aura qui se dégage dans tout la pièce et les flammes de sa colère me léche les entrailles, tellement il m'effraie sa respiration lourds et haché me donne la preuve de son humeur , au bruit de ses bottes de soldats je l'entend se rapprocher de moi d'un pas impérieux et l'intonation de sa voix en témoigne
- amalia ont vient de m'informer de votre refus de vous alimenter.
Son ton est dur et autoritaire ne demande pas de réplique, il entend à être obéi. Alors je décide de garder le silence toujours dos à lui.
Furieux il donne un coup de poings dans la porte pour montrer son désaccord sur ma décision et sa volonté de me dominé, qu'il croie avoir malgré la peur viscérale qui bouffe mon cerveau je ne bronche toujours pas et résiste en montrant un comportement calme et impassible. Mais je ferme mes yeux et prend une profonde inspiration pour éloigné la tempête dans ma tête.
La porte qui avait prit chère rebondit une deuxième fois sur le mûr. Je le sentais fulminer de rage à mon indifférence, sa colère envahis tout la pièce,la pièce fut submergé d'électricité s'en était étouffant.
N'y tenant plus il s'avance encore d'un pas en se dirige vers moi, mon coeur battait les records de vitesse dans ma poitrine et par instinct je regardait en coin pour essayé de voir où il se trouvait dans la pièce, j'étais prêt à tout pour paré les coups si il décidé de me frapper.
La peur au ventre et la sueur dégoulinant dans mon dos j'attendais, hors de question de lui montré ma peur, plus cette fois je refuse qu'un homme se serve de cette faiblesse pour m'atteindre, plus jamais il liront la peur dans mes yeux ou sur mon visage plus jamais. J'entends ses pas se dirigeant vers mon plateau posé sur mon lit, je le voie faire du coin de l'œil.- soit vous manger se qu'il y a sur se plateau que la cuisinière vous à préparé, soit c'est moi qui m'en charge es ce bien clair dit-il en prenant l'assiette dans ses grandes main et la pose sur la table non loin .
Revenant vers moi déterminé a me faire céder d'un geste sur il soulève le fauteuil avec moi dedans et repart chercher l'assiette sous le nez, de son autre main libre m'attrape le menton pour relever ma tête m'obligeant à plongé mes yeux dans les siens. Je voyais bien qu'il s'empêcher d'exploser en se contenant ,mais la veine qui pulse sur sa tempe gauche affirmer le contraire, se qui me ravie. Car peut-être qu'a force de le titillé il abandonnera et dégoûté me rendra ma liberté.
Alors je prit délicatement l'assiette dans ses mains,lui laissant croire qu'il avait gagné, en le voyant sourire de satisfaction et déchante rapidement .
La tête fièrement levé, droit dans les yeux, devant lui je penche l'assiette a ses pieds ,en penchant la tête pour voir tout la nourriture glisser au sol, tombant a ses pieds, reporte mon regards sur son visages crispé de rage et je lui affiche un énorme sourire hypocrites sur mes lèvres, sans baissé mes yeux et lui tendit l'assiette qu'il prit d'un geste lent encore éberlué par ce que je venais de faire.Il fut atterré par ma ténacité, les yeux écarquillés de surprise de voir que je lui tenait tête.
Le roi jura et repartie Furieux en claquant la porte comme un fou en oubliant pas biensur de la fermé derrière lui . 《 et merde》Amalia 1/le roi 0
Tout fière et grandement de le voir battre en retraite, je me mit a rire discrètement en me félicitant d'avoir gagné cette manche, même si je sais que la partie n'était pas fini. Fière de moi aussi d'avoir osé confronté un homme sans quand retour une pluie de coup déferle sur moi.
Je sentais toujours se poids dans mon cœur et j'avais la gorge noué par la peur.
Cette homme me faisait peur,se roi m'impressionne de par sa prestance et l'aura qu'il dégage que je savais par certains côté sombre et dangereux.
Mais je veux résister, quelques chose en moi me dit de continuer de lui tenir tête, même si ça s'avère compliqué .
Au bout de 5 minute voyant personne passé la porte, je soupire de soulagement de pas le voir repasser cette porte,un moment de répit bien faitrisse pour mon petit coeur. Alors je décide d'aller a la salle de bain pour me laver, à défaut d'avoir mon appareil photos pour capturé se magnifique panorama.Sur un coup de tête je décide de prendre un bon bain pour me détendre dans cette magnifique baignoire qui ressemble à un jacuzzi.
En retournant vers la porte pour la fermé à clés je remarque aussi que l'on ma déposé des habits accroché a un porte manteau au mûr a mon intention.
Un magnifique ensemble blanc cassé avec de multiples voile fin.Se roi est étrange, malgré sa rudesse et son ton bourru il essaye de prendre soins de moi.
Tout a mes réflexions je penche pour boucher le fond de la baignoire et voie de jolie bocaux en verre transparent remplie de sel de bain de différents parfum tous plus beaux les uns que les autres. Je décide enfin de tous les sentir amusé sur l'instant par cette découverte et je les sent un à un et je doit dire que leur odeur est agréable,vanille,rose, fraise,lavande,miel, orchidée, me promettant excité tous les essayé en choisie celle sentant la fleur la plus belle pour moi .Je voie aussi une magnifique douche italienne un peu plus loin.
Une fois les sels de bain choisis je décide d'ouvrir le robinet d'eau et de la régler correctement et y versé dans la foulée les sels au senteurs merveilleuse qui mousse aussitôt. Tout a ma contemplation je sursaute quand quelqu'un frappe a la porte et appuya avec insistance sur la poignée de la porte.- c'est fermé je cris excéder
《 c'est pas vrai, on peu jamais être tranquille ici》ralais-je
Une voix féminine m'implaure
- ouvrez cette porte s'il vous plaît ,vous n'avez pas le droit de la fermer à clé, ordre du roi dit-elle paniqué
- eh pourquoi je fairait sa dis-je sur un ton agacé
VOUS LISEZ
le souffle d'orient
RomanceJe m'appelle amalia ivaro, enfin plus maintenant. Je suis heureuse maintenant, la vie ou le hasard, ma apporté un beau cadeau l'amour et le respect d'un homme . Là où je croyais plus en rien, Là où jour après jour je devais compté que sur moi, le d...