C'est pas forcément ça que je souhaitais dans ma vie
Amalia
Le corps meurtrie et douloureux enfermé dans un carcans en plastique rigide blanc opaques, qui retient mes côtés et mes vertèbres malmener par t'en de coup de pieds qu'une douloureux sourde envahis mon corps .
Mes flans au tissus fin et fragile son remplie de marque au forme bizarre ressemblant à des phalanges ou a une boucle de ceinturon.
Mon regard triste et mélancolique ne me quitte plus depuis mon arrivée ici. A travers la fenêtre ouverte ,je profite de la belle vu devant moi , un vent frais de septembre balais mes cheveux ébourifer et des mèches vole au grès du vent .
D'un geste machinale de la main j'essuie ma joue d'une dernière trace de larme le coeur lourd et las de cette souffrance pertuel ._ mademoiselle !!
La peur au ventre debout devant la fenêtre ouverte de la chambre d'hôpital où ont ma déposée, je me retourne en entendant la voix du médecin qui m'interpelle d'une voix
Un peu hésitante._ vous devriez retourner vous coucher me propose t-il
Inquiète une boule se forme et obstrue ma gorge,l'air peine à passé dans ma gorge,envahis de sueur froide je tremble de tout mon être, mettant mes bras autour de mon buste comme pour le protéger. De quoi je ne sais pas, je me prépare au pire que
va t-il m'annoncez une mauvaise nouvelle sûrement,à cette idée je me raidit et reste coincé devant la fenêtre dans l'attente de ses mots que sonnera peut-être la fin de mon existence. je l'entend soupiré de lassitude les bras ballant le long de sa blouse blanche . Il s'avance un peu plus vers mon lit prend le tableau de mes constante accroché au devant de mon lit par l'infirmier ,pour voire si tout va bien.
Mon regard suit le moindre de ses mouvements ,apeuré.Depuis qu'il est rentré dans ma chambre une montagne à élu domicile sur mes épaules.
Mais le médecin finit par lever les yeux sur moi, dans un silence qui se veux apaisant il me sonde . Dans son regard j'y lit de la compassion, enfin je crois . Sa m'aide pas au contraire, je déteste ça inspiré de la pitié.J'attends qu'il parle, trop angoissé pour le faire et surtout pour savoir se qui m'attend, même si je sais que les résultats son mauvais et connais d'avance se qu'il va me dire .
_ hum j'ai réussi à le faire partir dit le docteur sur un ton dure,le regard fuyant.
Je voie bien que cette situation lui plaît pas et comme je le comprends.
Mon souffle se coup mes sens en alerte,mon coeur cognant fort dans ma poitrine et une chaleur malhaisante s'insinue partout en moi ,cette sensation est détestable,mais membres tremblant attendent la suite ,je baisse les yeux gêné par son regard insistant, < je crois qu'il cherche ses mots >,mais c'est de court durée en relâchant mon air me sentant tout d'un plus lourde ,je suis suspendu au lèvre du medecin._ je suis le docteur jimmy clyde, votre compagnon ma laissé un message pour vous
_ se n'ait pas mon compagnon dis-je intimidé
_ enfin oui dit-il encore plus gêné que moi
Il ma prévenu qu'il repasserai jusqu'à se qu'il puisse vous voir_ ah et le seul mots que j'arrive à dire
La gorge noué et le coeur au bord des lèvres.Désespéré par la nouvelle ,je frotte mes mains nerveusement sur mes cuisses adossé à la fenêtre mes jambes me lâche trop stressé par se qui m'attend si je sort d'ici,ne sachant plus quoi faire pour m'en sortir ,je reste prostré la tête baissez n'osant plus parlé la tête retourné pas c'est information.
Si jamais harry revient se sera fini pour moi,si jamais il réussi à monter dans cette chambre, Fini la liberté, fini ma vie,
Bonjour l'enfer.
Déjà quand j'étais sous sa coupe il me donnait peu de liberté, quelque heure, par ci,par là et encore sous l'étroite surveillance
D'un chaperon, mais là....c'est l'enfermement à vie. Je veux plus revivre sa, j'aurais l'impression d'être dans une cage doré en enfer ,je vais mourir étouffé si c'est pas pars ses coups .Je refuse de finir comme ça sous les coups d'un tortionnaire fou ,je mérite pas,personne le mérite. je veux vivre libre et choisir un jour la personne qui partagera ma vie ,en tout cas pas lui .
Alors dans un dernier espoir en espérant être tomber sur un homme altruistes au vu de son métier, je lève les yeux vers le docteur clyde et approfondie mon regard, en insistant, en ne lâchant rien.
Je suis tellement fatigué de cette enfer que mes yeux s'humidifi et je triture mes doigts dans tout les sens ,me mordant la lèvre pour pas craquer, le suppliant de tout mon âme de femme battu.Alors il se racle la gorge pour prendre la parole toujours les yeux dans les miens
_ mademoiselle ivaro ,vous été couvert de bleu, brûlure de forme et teneur inconnue , morsure profond qui à été fait jusqu'au sang, coup de fouet enfin on vous à fouettez , des côtés fêlé et on a remarqué a certains endroits des cicatrices plus ancienne , votre dos à souffert de plusieurs coup, vous soufrés d'une légère carence en fer et maniesium pff ,votre corps n'en plus et et, s'énerve t-il la mâchoire crispé je peu pas , je peu pas vous laissez dans cette états, je me suis engagé a aidez mon prochain dès l'instant ou j'ai désiré être medecin et je me doit d'aider mon prochain alors je vais le faire,il vous faira plus de mal, dit le docteur droit comme I,les poings serré contre ses cuisses .
Sentant une onde de soulagement, je respire à nouveau, enfin je me détend ,car je n'attendais que sa quelqu'un qui me crois enfin.
Il me regarde et dit sous mon silence ,sentant mon coeur battre heureuse d'avoir enfin une porte de sortie ._ je peux vous aider dit-il déterminé et je le fairais.
J'acquiesce et craque des larmes coules le long de mes joues et dit d'une voix éraillée par l'émotion , la gorge noué par tant d'émotions, j'ai du mal à articulé.
_ oui...s'il vous plaît faite qu'il ne m'emmène pas, faite qu'il me trouve pas....je veux pas mourir .
Avec difficultés je soutiens son regard torturé par mille questions se posé sur moi ,les lèvres durement pincé blanche,
_ je fairait tout se que je peu
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le souffle d'orient
RomanceJe m'appelle amalia ivaro, enfin plus maintenant. Je suis heureuse maintenant, la vie ou le hasard, ma apporté un beau cadeau l'amour et le respect d'un homme . Là où je croyais plus en rien, Là où jour après jour je devais compté que sur moi, le d...