le souffle d'orient

un homme

Quand je l'ait vu quitté mon bureau les joues rougie de confuse, les lèvres gonflé par nos baisé. L'homme sauvage en moi était fière de la rendre tout chose ,mais ma part d'homme qui ressent de fort sentiments et troubler par cette déesse .

Dès que je l'ai vu la première fois cette femme parmi les touristes , elle m'a retourné le cerveau je ne voulais personne d'autre qu'elle. mais elle me résister tel un petit chat sauvage et je dois dire que c'était délicieux à voir mais je ne devais pas oublier ma position et prendre mon temps avec elle même si ma tête me criait de foncé tête la première, moi kaled elkazard raad.
Tout à mes pensés je n'entendi pas la porte s'ouvrir sur mon bras droit riad qui dû toussé pour manifesté sa présence et quand je le remarque enfin ,lui me souriait moqueur en me voyant sursauter et me balance

_ j'ai taper 3 fois a la porte et tu répondait pas, alors inquiet je suis rentré mais vu ta tête je voie que tu porte comme un charme rit-il

_ riad l'avertigue

Cette fois il cache son rire derrière son poing tant que l'autre était caché sous son coude, mais était rieur ,il pouvait rien me cacher et mis un moment a retrouvé son sérieux et moi le fusillant du regards, les lèvres pincer pour éviter de rire et pourtant sa fait du bien de lâcher la pression. Cette fille dès que l'ait vu ma retourner le coeur et le cerveau comme un gamin devant sa première copine,

《 pathétique 》grinçante des dents

[ peut-être mais les fait sont là ]

_ comment va tu mon roi

_ mais bien mentis je

Apparemment je suis pas du tout convainquant puisque voie l'œil de riad qui frétille a la limite de pleurer rire

_ ta avalé un clown aujourd'hui où est mon bras droit dis-je irrité

_ se serait pas a cause d'une jolie fée dit-il pour éviter de me répondre

Pour la forme je grogne et lui est hilare, alors je me renfrogne.

《 très mâture pour un roi,je sais 》

[ mais non]

Putain mais qu'es qui m'arrive , j'ai jamais été obsédé par une fille avant elle,pourtant amalia n'a rien pour au contraire, elle n'a que me fuir. Non c'est moi qui cherchait la confrontation à chaque fois et à chaque sa finissait mal.
Alors non amalia n'ai pas une femme comme les autres ,il faut dire les choses t'elle qu'elle sont car c'est la vérité.

Riad et moi finnissont par parlé budget et autre chose concernant le pays et nous nous séparent au bout de 2 heure content d'avoir de bon retour pour mon peuple qui se porte plutôt bien dans l'ensemble et m'empresse de rejoindre sa chambre trop pressé d'être au près d'elle,j'avoue ne plus pouvoir me passer d'elle,mon corps et mon cœur réclame sa présence. Le coeur palpitant à cette idée, dès que j'y pense je tremble déjà d'impatience.

Amalia va me rendre dingue a érigée un murs infranchissable entre nous même si je comprend son point de vue, mais mon âme cris le contraire, mon côté sauvage m'ordonne de la faire mienne sur le champs une fois entre les 4 murs de sa chambre, mais je ne le fairait pas,trop peur de lui faire peur.

Quand je pénétre enfin dans les lieux un silence y règne , se qui me fait douter sur sa présence mais je suis vite soulagé en entendant l'eau couler dans la salle de bain où la porte est mal fermé et a peine entre baillé, curieux je m'approche silencieux et penche discrètement la tête  pour regarder à l'intérieur . La vision que j'ai a cette instant me chamboule et retourne mon esprit déjà bien perturbé par cette diablesse.

Là devant moi amalia plongé dans son bain, la tête sur le rebord les yeux clos, la mousse la couvrant entièrement ,pas de besoin de voir pour avoir une idée de ses formes, car je sais qu'il me font beaucoup d'effet. Je reporte mon attention sur son magnifique visage,et l'admire a loisir sans m'en lassé pour l'enregistrer dans ma mémoire, elle est
Vraiment très belle et le mots est faible, c'est nymphe sortie des eaux.

Tout a mon observation je réalise de justesse qu'elle bouge et m'écarte juste a temps pour qu'elle ne me voie pas, quand tout a coup elle s'enfonce dans l'eau reviens a la surface et se relève lentement pour se mettre a genoux en prenant le shampooing pour se laver les cheveux.  Et je prends tout mon courage et ma volonté pour pas entrer entièrement et rentrer dans la baignoire avec elle. La vision est encore plus torrides cette fois, sa poitrine apparaît devant moi et mon âme rugit de désir pour cette femme, même mon antre jambe est d'accord avec elle mais je me métrise encore une fois pour pas lui faire peur, mais putain c'est dure bordel.
Sa poitrine est splendide et bien proportionné un vrai plaisir pour les yeux, ronde en forme de pomme,une pure merveille.

Je la voie mettre du savon dans sa paume et se l'étalée sur les cheveux tout en faisant de petit cercle,elle récupère tout les reste de sa chevelure et les ramener vers le haut pour les laver, me faisant voir un cou long et gracile.

Non vraiment cette femme est....je n'ai pas de mots pour la décrire.
N'y tenant plus et ne voulant pas la bousculer ,je m'écarte du chambranle de la porte et part vite très très vite avant de craquer , file limite en courant vers la mienne, rentre en trombe en arrachant presque mes vêtements , avise la porte de la salle de bain en ne m'arrêtant pas et fonce en direction de celle-ci le coeur et l'esprit tourmenté.  A poile je rentre dans douche en ouvrant le robinet sur l'eau froide qui coule immédiatement sur moi, en pensant que sa me calmerait un peu mais non. mon cerveau mouline a fond sur la vision de son buste a qui été dévoilé et mon sexe palpitant frénétiquement entre mes jambes me le rappelle aussi. En dernier geste de désespoirs je ferme les yeux la tête penché sous l'eau qui devient chaude ,mon avant bras et ma main collé au carrelage, je soupire envahis d'images d'elle de plus en plus erotique.

Je glisse mes doigts autour de mon membres et lâche un soupire de bien-être en commençant mes va et vient qui deviennent ardue par le désir qui monte en moi et grogne de temps en temps, prenant plaisir.

Je refuse de me soulager avec une maîtresse le temps qu'elle m'accepte, depuis qu'elle est la d'ailleurs.
Fut un temps ou oui je l'aurais fait mais plus maintenant, oh non je tiens trop à elle. Mais c'est dure de la voir tout les jours et pas pouvoir la toucher comme j'en rêve.

Mais un onde électrique me submerge de part en part et grisé ma tête part en arrière m'arrachent un cris mêler à un grognement rauque et me déverse dans mon autre main. Le souffle court je mets un moment a m'en remettre car l'orgasme que j'ai eu à été d'une violence insoupçonné, c'est la première fois de ma vie que sa m'arrive, pourtant j'en ait eu des nanas dans mon pieux ,oh purée oui, mais jamais elles ont réussi a me faire jouire comme ça, oh non même la plus doué.

Pourtant la dernière en date en revient au jour de l'enlèvement d'amalia, ne fait pas le poids face à elle, pourtant elle en a mis du cœur a l'ouvrage mais n'a pas réussi ça ,se qu'elle rien qu'avec la vu de son corps à déclencher chez moi .
Si je fait rien je vais devenir dingue et je veux pas qu'elle me fuit ,non au contraire je veux qu'elle m'aime et après elle, il y aura personne d'autre.

Se que j'espère aussi c'est que ma dernière maitresse ne foute pas la merde . Elle est extrêmement têtue et collante . On verra bien et si elle se montre intrusive ,je la virerai sans état d'âme aucune.

[ en attendant amalia est à moi ]

Je me lave rapidement, me sèche et met une djellaba de couleur sombre et descend pour dîner.  En rentrant dans le salon je voie ma déesse déjà installée, rougissante et le regard fuyant qui me fait douter .m 'aurait t-elle vu l'observer ou m'aurait t-elle entendu