le souffle d'orient

débat intérieur ,extérieur

Je cours presque dans le couloir qui mène à mon bureau,la rage au ventre ,
J'ai la haine contre moi mais quand je l'ait vu réveillé dans cette tenue j'ai craqué. J'ai eu une envie subit de l'embrasser, de la soumettre à mes lèvres. En la serrant dans mes bras pour faire subir a sa bouche se que mes pensés salace faisait germé dans ma tête, je me sentais excité d'avance,mais redescendant aussi quand je l'ait sentie tremblé et se qui ma achevé c'est quand je l'ait vu fermé les yeux en rentrant sa tête entre ses épaules en n'osant plus bougé tout tremblante de peur en marmonant des mots incompréhensible,j'ai compris que je fait une grave erreur. Que si je l'embrasse maintenant j'allais tout foutre en l'air. Déjà que je l'avais kidnapper, alors en plus la forcé à m'embrasser allait envenimer les choses plus qu'autre chose .elle restait prostré comme un animal qu'on traîne a la mort.sous mon regard elle c'était transformé en agneau et me j'étais le prédateur prêt a la dévoré, je me sentit monstrueux quand je passait les portes de mon bureau, qui claque violemment derrière mon passage. La rage au ventre je me dirigeais vers la fenêtre de mon bureau qui donnait sur mon jardin ,pour retrouver mon calme . Dans mes pensées pour elle ,je n'entendi pas riad rentré discrètement et s'asseoir sur le canapé attendant de pour s'exprimer, mais c'est moi qui brise le silence, j'avais besoin de m'eppancher, de vider le sac de ma culpabilité, alors toujours face a ma fenêtre n'osant le regard, comme un enfant qui se cache, je lâche tout et lui écoute en silence .

- si tu savais riad comme je m'en veux d'avoir agit comme un dégénéré avec elle , comme un prédateur face à sa proie......je me dégoûte énormément de lui avoir fait peur et rien que d'y penser.....putain,
J'ai honte de lui avoir fait sa.
Mais quand je l'ais vu dans cette nuisette blanche avec sa peau doré, son minois ,ses yeux, son corps, cette douceur inné chez elle, moi qui pensais qu'elle dormais encore,bordel j'ai craqué riad ,cette femme est tellement belle,sublime on aurait dit un ange . Mais je l'ait sentie tremblé entre mes doigts et se refermé comme une huitre,on aurait qu'elle attendait la mort et que moi le bourreau j'allais l'exécuter, quand j'eus finit j'attends en silence ,légèrement tressé.

Mais mon remort était t-elle, que je quitte la fenêtre, les deux mains sur mon crâne en tirant sur cheveux et faisant les cents pas devant lui . Un regards extérieur me prendrais pour un fou.
Mais pas riad qui en rit de bon coeur et moi grommele de fureur dirigé vers moi . Mais se qui me stoppe net dans ma colère c'est les mots qu'il prononce.
Je ne pouvait m'empêcher de jeter de temps en temps un coup d'œil a mon bras droit,pour découvrir ses  réactions face a mon récit inquiet .

Mais riad préfère en rire plus qu'autre chose là où moi je m'attendais a me faire sermonner,sa réaction me surpris .

- elle n'ait pas en colère après toi kaled,non je dirais plus qu'elle est effrayé, d'ailleurs dounia peu vous le confirmer si vous voulez,elle est avec elle à l'heure qu'il est dit-il en regardant sa montre,voulez vous que je la face venir.

- non te fatigue pas,si j'ai besoin je sais où la trouver mais merci a toi mon ami
Dis-je en posant une main sur son épaule dans un geste de gratitude.

Il me salut respectueux et quitte mon bureau en me laissant seul à mes réflexions.j'ai besoin de rester seul pour mieux réfléchir a se qui c'est passé se matin et a la frayeur sue je lui est infligé contre ma volonté et la sienne. Je m'en veux terriblement pour se que j'ai fait,car au lieu de calmer ses appréhension je les ai amplifié.

《 mais qu'elle con parfois 》 me réprimandais-je

J'ai passé 3 jours à la veillée, 3 jours alors à l'observer, 3 jours magnifiques où je pouvais la toucher en lui caressant la joue et les cheveux sans jamais l'avoir effrayer et reculer sous mes gestes. Mais à présent elle a peur de moi, et ça me chagrine beaucoup j'aimerais bien apprendre à la connaître et qu'elle a son tour apprenne à me connaître tel que je suis, mais comment faire quand tu sais pas comment aller agir. La première fois que je t'ai vu elle s'est caché sous un châle et chapeau , quand j'ai enlevé le chapeau  ce maudit bout de tissu j'ai été scotché par ta beauté envoûtante . Je sais qu'elle a vécu des choses horribles et j'espère réussir à la convaincre de met inttention sincère. Je sais que j'ai fait une grosse erreur en dans le vent,mais c'était plus fort que moi ,encore une fois je n'ai écouté que mon instinct et pour une fois j'ai eu tort, d'habitude l'instinct ne trompe jamais mais là il m'a trompé. Je reviens à moi j'entends frapper délicatement à la porte, je plisse des yeux incommodé et dis à la personne d'entrer m'attendant à voir une servante. je suis étonné devoir Dounia je tordant les doigts intimidé et trépignant d'impatience attendant que je lui donne l'autorisation de parler, ce que je fais voulant savoir ce qu'elle voulait me dire.

- je t'écoute Dounia qu'est-ce qui se passe

-mon roi je crois que Amélia est une femme battue.

- et qu'est-ce qui te fait dire ça

- la difficulté que j'ai eue pour la calmer après que vous soyez parti, elle regardait partout effrayer, j'ai eu du mal à la convaincre que vous lui feriez jamais de mal. Un petit animal traumatisé pas un chasseur ça a été très dur de rester indifférent à ça peine.

- oui ça je sais je lui fait peur dis-je blasé, as-tu vu d'autres signes comme quoi c'est une femme maltraitée.

Je vis Dounia elle trépignait beaucoup sur place et m'avoue

- oui des marques plein de marque, quand je l'ai lavé la première fois, elle a même des Bleus sur les bras on y voit des empreintes de doigts. Quand je les ai vu j'ai préféré rien dire pour ne pas l'effrayer plus ,on vient à peine de faire connaissance.

- merci Dounia je verrai ça, en temps voulu, J'ai quelque chose à vous demander.

- je vous écoute votre Altesse

- est-ce que je lui fait peur,

- oui désolé mais pour le moment c'est le cas, pourtant je lui ai parlé de vous mais pour l'instant c'est compliqué en espérant qu'elle apprenne avoir au travers de votre statut.

Complètement désespéré, je hoche de la tête silencieux et me dit que j'ai vraiment merdé sur tout la ligne.

- j'espère que ce que tu lui as dit portera ses fruits en attendant je ne sais pas quoi faire pour qu'elle arrête d'être effrayé

- j'ai remarqué quel était innocente

- je sais tout ça j'ai fait mon enquête sur sa famille et je sais qu'elle à jamais eu de petit ami dans sa vie en gros sur ce sujet ont se rassemble et c'est pourquoi je ne sais pas comment faire, dois-je être vraiment patient où attaquer de front...

- non non surtout pas ça serait pire encore, et là pour le coup Votre Altesse vous n'auriez aucune chance, c'est une femme sensible et facilement effrayer, agir frontalement la ferait reculer.

- laissez-moi faire je vais organiser un dîner en tête-à-tête pour commencer essayer d'être plus doux avec elle

- je sais je suis impatient mais je vais essayer d'écouter tes conseils patience patience ça va être difficile mais je lui vais tout essayé pour merci Dounia laisse-moi maintenant.

Dounia s'inclina et quitte le bureau en refermant derrière elle en me promettant d'organiser un dîner