éconduit

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Je me réveilla complètement grogui,comme si j'émergeait d'un long coma,avec le nombre d'heure passé au lit,mais je me sentais bien,la fièvre était retomber je le sentais en moi.

D'ailleurs mon ventre me rappelle à lui réclamant son dû. je suis dans la lune quand une voix me fit sursauter.

- heureux de voir que vous allez mieux dit une voix grave,celle du roi

Je tourne la tête et le voie prêt moi,les deux avant bras posé nonchalant sur le matelas. silencieuse je le regarde de bas en haut et remarque qu'il est pas en tenue officielle, ni celle de son pays mais en simple tee-shirt gris claire,très prêt du corps et qu'elle corps et je voie une légère partie de son jeans brute .
Mes yeux remonte et malgré son air tranquille je voie qu'il me scrute aussi en silence et rougie quand son regard change est devient plus intense, plus profond. apres une minute le roi se penche un peu plus et lève sa main, la tend vers moi pour me toucher, je recule pas bien sur de se geste. Es ce pour me faire du mal parce-que je suis resté trop longtemps au lit ?. Par mesure de protection mes mains fond barrage à son geste en se collant à moitié sur ma tête et mon visage attendant le coup qui finalement ne vient jamais.
Après un lapse de temps nécessaire à mon doute j'ecarte les doigts pour regarder et le voie me fixe surpris et peiné a la fois , le poing serré dans le vide qu'il ramène doucement sur le matelas,toujours en silence la mâchoire crispé.

- votre déjeuner arrive dit-il simplement

- ou ouii bégayant

On se jauge du regard quelques éphémère seconde avant qu'une servante amène un plateau d'argent et le dépose sur ma table de nuit et s'en va sans bruit ,elkazard brise le silence .

- dis-moi amalia avez vous de la famille

- oui mais ils sont loin maintenant

- ah bon ou ca

Je ment ehontement, il a pas besoin de savoir
- floride

- intéressant...mais c'est presque ca

Incrédule je fronce les sourcils et il reprend

- je ne vous le cache pas, j'ai fait une enquête sur vous et j'ai découvert que votre famille réside à new-york et que vous avez brusquement déménagé après que votre cousin vous est envoyé à l'hôpital dans un salle état et tu as vécu plus 1 ans en géorgie chez Juliette et paolo martinez .

Je stoppe tout mouvements le souffle court et éreinté par la fièvre qui la quelques peu fragilisé, je me mît a le dévisage ,cherchant au plus profond de ses yeux si il était menteur et sincère.

- mais comment, vous avez pas le droit

[Levant la main pour pouvoir la toucher car il mourait d'envie depuis des heures].

- j'ai tout les droits puisque tu es chez moi et que je te veux pour femme

Outré par son culot je rit jaune en repoussant sa main sèchement, se qui le fit grogné mécontentement d'être encore repousser et le confirma verbalement

- sa fait deux fois que tu le repousse dit-il gronde t-il, en se redressant sur ses jambes

Je suivi son geste en étant obligé de lever la tête dú a la différence de taille et je n'eût pas le temps d'éviter son geste trop rapide pour moi et encore trop faible. Vif comme l'éclair il monte à moitié sur le lit et attrape mon avant bras pour me plaqué fermement contre lui et de son autre main me maintient le menton haut vers lui et le bloque entre ses doit. La main qui retenait,c'était glisser derrière mon dos pour m'empêcher de fuir .je suis trop molle aujourd'hui et il en profita grandement. Dans son regard une lueur intense et sauvage  m'hypnotisa comme si on m'avait jeté un sortilèges magique. son visage se rapprocha du mien,nos lèvres étant qu'à quelques millimètres l'une de l'autre sans que je puisse bouger,des flammes de désir brillé à présent dans ses prunelles ambre qui s'était obscurcie.mon corps tremblant d'appréhension je me sentais prit au piege entre ses bras ferme qui me retenait prisonnière contre mon gré. je l'entendis grogner de contentement, ce qui me fit frémir encore plus,une chaleur peu commune dégoulinant le longs de ma colonne vertébral comme une rivière glacé jusqu'à la naissance de mes cheveux qui s'irisées .mon coeur bondit dans ma poitrine quand je senti son souffle chaud sur mon visage. regardant partout sauf lui j'ai tellement peur que je ferme les yeux et en me pinçant les lèvres,le cerveau chamboulé .
Les secondes s'egrène mais rien ne se passe,je déglutit avant d'ouvrir à nouveau les yeux. Dérouté je les ouvrit en grand de surprise voyant qu'il avait disparu, alors qu'il y a quelques minutes il me serrait contre lui,j'en sentais encore la marque.

Je n'osant plus bougé je vit le plateau toujours a la même place .je suis soulagé qu'il n'ait pas voulu me punir du fait que je refusé de donner mes lèvres.
C'est se que harry faisait tout les fois où il avait tenté de m'embrasser et ou je me refusé. Il entrait dans une grande colère et interdisait a quiconque de me nourrir tant qu'il avait pas décidé du contraire.

Avec harry à chaque jour ma peine et son lot de torture mentale jusqu'à se que je cède. Mais avec le roi alkazard c'était différent, j'avais l'impression qu'il en mourait d'envie mais qu'il me forcera jamais. Sur c'est entre faite dounia apparue et quand elle vu mon état de détresse se précipita vers moi pour rapidement me rassuré.

- amalia tout va bien maintenant venez donc manger ,vous devez mourir de faim dit-elle en m'en joignant à m'installer confortablement.

Je sortie du lit encore peu rassuré en regardant partout autour de moi, ayant peur de le voir débarqué. Se qui fit sourire dounia qui me dit

- ne vous inquiétez pas il reviendra pas tout de suite manger s'il vous plaît si non il va être furieux .

- a ah bon dis-je enxieuse

- oui vous savez notre roi alkazard,nous a ordonné de prendre soin de vous et je ne vous pas que c'est un réel plaisir, car vous été une personne gentille et agréable

Étonné et a la fois soulagé je m'installe pour commencer a manger,que je fit dans geste empressé qui fit rire dounia de bon coeur ,me croyant affamé.

- doucement amalia vous allez vous étouffé, n'ayez crainte personne vous privera,je vous les dit si vous ne manger pas,il sera pas content.

fuyant son regard gêné je ralenti l'allure, commençant à manger plus sereine.

- voilà c'est mieux...vous savez pendant les trois de votre fièvre c'est lui vous veiller et quand il était prit par ses obligations c'est moi qui le relayées.

Je relève la tête Étonné et bouche bée pendant que dounia acquiesce en me regardant dans les yeux .

- amalia il tient énormément à vous,si vous saviez à t-elle point qu'il ne veux personne d'autre moi au prêt de vous et quand vous vous êtes enfui il était très malheureux et pire quand vous êtes fait mordre par se serpent sous ses yeux.
Il ne sait juste pas comment faire avec vous pour pas vous effrayé.

J'écoutais religieusement les paroles de dounia, qui me surpris, car jusqu'à présent on ma fait que du mal .

le souffle d'orient Où les histoires vivent. Découvrez maintenant