mode évasion. s

742 62 7
                                    

J'étais à l'entré de cette immense bibliothèque et mes yeux s'agrandir de surprise en voyant cette immense pièce tout en longs avec deux grandes tables en son centre pourvu d'au moins six lampes de bureaux chacune. je voyais aussi la magnifique fresque au centre d'un des mûres entre tout les étagères, et qu'elle étagère < mon dieu!! >, il y en avait tellement qu'on ne savait plus où donner de la tête. Tout la pièce était fait de bois ancien, cette bibliothèque était tout simplement magnifique à mes yeux et j'en ait jamais de telle , se qui me fit lâcher une exclamations à moitié étouffé
Dans le fond de ma gorge.
Une fois remise,je n'avais pas bougé et mes se reporte sur lui ,qui était prêt des tables avec les mains dans le dos et pour fois un vrai sourire sur ses lèvres charnu et l'œil qui frise,Il était fière c'était en gros sur son visage.

- alors demande t-il curieux

Je m'avance doucement en silence comme dans une bibliothèque universitaire, là où traîne des étudiants avide de savoir et qu'il ne faut pas déranger sous peine de se faire malmener ou exclue.

- venez amalia dit-il sur un ton solennel

J'accepte dans un hochement de tête, ne pouvant verbaliser mes sentiments tellement il était fort a se moment là et il respecta mon silence. Sans que je m'en rende compte j'étais arrivé a sa hauteur, les yeux volant partout sauf sur lui ,il me prit la main qui fut englouti dans la sienne et me tire vers les livres mais il y avait tellement, comment voulais que je l'ait découvre en 1 journée, 1 heure ou 2,c'était tout bonnement impossible, il me faudrait des mois et des mois et ça il le compris, alors il ajouta,

- vous venez autant de fois que vous voulez et vous pouvez rester autant d'heure qui vous fait envie.

A c'est mots j'en reste coï de joie et acquiesce sourire au lèvres se qu'il me rendit . Alléger je me détache de lui et par en l'exploration de tout ces livres sous son regard que je surpris doux, que je capture à hauteur d'une étagères entre deux livres, se qui j'avoue lui va bien mieux que quand il à son aire sévère et Je doit pas me laisser séduire, par se sourire oh non .cette homme est vraiment beau et il n'a pas l'air de s'en formaliser, pourquoi ?? Et puis je me rappelle des mots de dounia:

《 notre roi a toujours essayé échec sur échec en matière de coeur 》

Même si je voulais gardé mes distances avec lui, sa m'empêche pas d'être désolé pour lui malgré tout se qu'il ma fait . Il se rapprocha de moi en silence j'étais coincé entre deux étagères le livre et quand je le vis approcher j'ai reculé pas sûr de ce qui allait se passer, je fis marche arrière encore et encore jusqu'à me retrouver coincé contre le mur. Et lui se rapprocha encore plus près de moi jusqu'à être à mètre dis-moi il tendit la main pour me caresser la joue et d'une voix sombre me dit

- n'ayez pas peur, je ne vous veux pas de mal dit-il voix assurée.

- laissez-moi en juger par moi-même, si si je peux vous faire confiance ou pas, c'est à moi de voir ce que je risque ou pas, je cherche pas à vous vexer et je cache pas que j'ai peur de vous.

Dépité il recula un petit peu dis-moi on descend la main sur sa hanche les poings fermer et un grognement sortie de sa bouche. Déçu il retourna vers les tables et m'attendais dans un silence pesant, le visage assombri.
Au bout d'une heure nous quittions la bibliothèque et il me ramena à ma chambre, toujours silencieux et ne fit aucune remarque déplacée ,me laisse  devant la porte de la chambre le dos raide et avant de partir ,dos a moi il dit

- se soir nous faisons une réception et il est évident que vous restez dans votre chambre...puis-je vous faire confiance sans être obligé de mettre un garde devant la porte

Je le voyais tourner légèrement la tête attendant ma réponse

- oui

- vous me le promettez

le souffle d'orient Où les histoires vivent. Découvrez maintenant