le souffle d'orient

tenté

Toujours avachis par terre sonné par ce qu'il venait de se passé, elkazard revient
Vers moi à grand pas le visage toujours aussi sévère et en le voyant  faire,je fut prit peur terrible et me relève en vitesse
Sans perdre de temps refusant tout contact avec lui,que j'avais laissé faire jusqu'à maintenant.

Me regardant impassible il tente quand même une approche plus douce cette fois-ci, que je refuse tout net en m'aplatissant sur le mûr, la tête haut en ne le quittant pas des yeux, suivant ses moindres fait et geste, doutant de tout,
Le souffle coupé .

Prit au piège contre se mur, je tente de le contourner rapidement le coeur en vrac, prêt explosé dans ma poitrine mais il fut plus rapide que moi,telle un félin son corps pourtant macis se déploie dans une souplesse hallucinante et m'attrape par le bras et me ramène de force à lui,se qui à le don de me faire paniqué encore plus et un petit cris de terreur
S'échappe de mes lèvres, mes yeux fou cherchant un échappatoire mais peine perdue, il est bien trop fort.

De la je voie sa main libre essayer de toucher ma joue dans une délicate et veine caresse, essayant de se rattraper de son coup de sang ,mais mon corps refuse se geste pour simple et sans danger en basculant tout mon buste en arrière dans un geste d'espérer et le repousse du plat de la main sur ses abdo
Robuste mais il est fort, fermant férocement mes paupières je me mit a gémir 《 pitié, pitié, vous me faite mal》comme un petit animal blésser .

Il suspendit son geste,sa main figé dans les airs,non loin de ma joue . Un moment passe et j'ouvre doucement les paupières  et vit son regard  changé furtivement, mais j'ai entre aperçu son désarroi avant
Le masque de la froideur, se qui m'intrigue. Pourquoi, pourquoi serait-il triste, je voie pas en quoi, franchement.

Et puis soudain ses mots de la nuit dernière me reviennent en flash,
Qu'il à prononcé à ma première nuit ici.
Je décide de tout repousser au loin dans ma tête car pour moi c'est mots valent rien, ont peu pas aimé quelqu'un aussi rapidement, avoir le coup de foudre, c'est du grand n'importe quoi,à d'autre mais pas moi ,ceci un impensable.

- je vous veux ,mais pas dans la peur un jour viendra ou vous serez a moi de votre plein gré

- nooon craossais-je la gorge prit dans un étau

Elkazard me relâche sèchement se qui me fait légèrement tanguer et manque de perdre l'équilibre, car je suis épuisé et à bout . Je le voie encore une fois partir furibond en jurant des imprécations en arabe cette fois et moi n'ose pas bougé du milieu de la pièce ou je me trouve attendant quelques seconde .

Dounia le visage bouleversé débarque dans la foulée dans la chambre. Et le lapse de temps qu'il y a entre la porte ouverte et qu'elle rentre et quand elle se referme ,j'entends des hurlements terrible qui me font froid dans le dos .
Quand dounia voie mon état a l'entente de ses cris ,se précipitent vers moi et quand son corps enveloppe le mien je me recroqueville contre elle.
Quand j'entends des bruits d'objet explosé sur les murs, je m'enfonce encore plus dans ses bras .

- chute la la, c'est pas totalement après vous, ne vous inquiétez pas, je suis la maintenant dit-elle en me ramenant vers le lit .

- j'ai peur je souffle prêt de son oreille

- je sais,il le sait d'où son énervement

Je ferme les yeux pendant qu'elle me berce comme un enfant. Au bout de quelque seconde, fatigué et apeuré je m'endort dans ses bras réconfortant et dounia me murmure des mots apaisant, le menton sur ma tête

- amalia il à beau être comme il est jamais il vous frappera,pour lui se serait un péché croyez moi, c'est un homme bon

- je suis si fatigué de me battre

- chute dormez amalia

Et je m'effondra dans les limbes du sommeil

Le roi kaled  elkazard raad.

Mais qu'es que j'ai fait bon sang, au lieu
De la rassuré depuis qu'elle est ici,je ne fait que l'effrayer.

- calmez vous mon roi ,essayé de canalisé votre impulsivité

- j'y arrive pas riad , toi qui est mon ami et conseiller je t'écoute

- tout se n'ait pas un ennemi mais une femme...une femme délicate et fragile, qui vient de se faire kidnapper alors essayez pas d'agir comme si vous rentré en guerre non, soyez plus subtile.

- mais comment riad j'ai jamais fait ca moi, je suis un guerrier avant tout, les femmes j'ai jamais eu besoin de les conquérir, c'est elle qui venait à moi me lamentais-je

Faisant les cents pas dans le salon qui jouxtait mon bureau mes mains aggripant mes cheveux dans un geste de dépit en repensant à se que j'ai fait dans ma chambre. Et je me retrouve coincer,dans cette pièce désemparé et malheureux,je sais qu'elle ma entendu j'en suis sûr, riad me dit que non mais je sais que c'est faux ,il essaye juste de me rassurer.

- écoute kaled nous sommes amis depuis tellement longtemps,écoute les conseils d'un vieux monsieur qui est marié depuis 30 ans a la même femme < fatima >, avec
Pas moins de deux fils et trois filles et toujours fou amoureux.

A l'entente de ses mots je sourit en lisant toute sa fierté pour sa famille,  dans ses prunelles marron , je finis par m'arrêter et l'observe en silence .il à raison je doit faire se qu'il dit si je veux y arriver et je vais commencer par me calmé, si non jamais elle arrêtera d'avoir peur.

- riad voici ses papiers, je veux tout savoir sur elle et sa famille tout , alors appel moi se détective privé à qui ont à déjà eu à faire .

- bien mon roi je fait sa au plus vite

- merci mon ami

Riad s'incline respectueusement et recule jusqu'à disparaître de mon salon et moi tourmenté je ressent le besoin viscérale de la voir encore, je court vers la porte et sort pour rejoindre sa chambre et en arrivant devant la porte je voie dounia en sortir en refermant doucement la porte derrière. Ne m'ayant pas encore ,elle sursaute en relevant la tête et dans la précipitation s'incline respectueusement

- mon roi

- comment va t-elle demandais je directement impatient

Je voie dounia hésitante et fuyant mon regard et je comprends que j'ai merdé et bien comme il faut

- elle à peur votre altesse dit-elle peiné

- je voie dis-je déçu

- s si je peu me permettre mon roi, soyez patient avec elle,j'ai l'impression qu'elle n'a pas eu une vie facile .

J'acquiesce d'un mouvement sec

- je voie dounia, je vais faire se que je peu, mais je promet rien dis-je nerveux

Dounia me fait un sourire doux et part vers c'est autre fonction notamment donner des ordres au autres femmes de ménage. Une fois qu'elle disparaît de min champs de vision je fait comme elle et ouvre doucement la porte .
La pièce est pas totalement sombre, c'est bien car sa me permet de me diriger vers elle plus facilement et je la voie endormie en boule un oreillers coincé contre son ventre ,ses bras entouré dessus .je m'approche en silence et une fois assez proche je l'observe de tout mon sout ,je m'abreuve de cette image idyllique . Son visage est encore crispé, on y voie encore l'inquiétude sur ses beau traits fin de son merveilleux visage ,se qui me chagrine beaucoup et me fait la promesse de changer tout sa.

N'y tenant plus je me penche légèrement et du bout des doigts je part a la conquête de son visage, passant de ses tempes, a sa joue et l'arrondi de son merveilleux visage et m'émerveille de sa peau douce.

- bientôt ma douce ,bientôt