le souffle d'orient

les flammes de la colère

4h s'était écoulé et j'étais gelé,Terrifiée
Par le froid et la réaction du roi,mon kidnapeur,je me demande si depuis le temps ils avaient remarqué ma disparition.

Les nuits son fraiche dans le désert tous les animaux sortent de leurs tanières,《sa encore c'était pas trop angoissant 》dis-je enfin tout dépend qu'elles rongeurs ou oiseaux et qu'elle race. Mais il y avait les araignées, les serpents ,les scarabées et les Scorpions, tout se que je destaite en somme.

Grâce a la lune je voyais à peu près se qu'il y avait autour de moi,se qui me rassure un peu .dès que je suis arrivé il y à 2 heure de ca, prêt de l'oasis j'en est profité pour boire en regardant partout pas très rassuré par tout les bestioles qui pouvait traîné dans les parages et j'avais la gorge dessécher sa ma fait un bien fou  cette eau dégoulinant dans ma gorge,je la fit aussi glisser sur ma peau.
Je jéte un dernier coup d'œil sur le sable et ses alentours et plongea avec bonheur ma tête et pousse un soupire de contentement de sentir cette eau fraîche refroidir ma température corporel, un vrai bonheur.

Et mut par l'instinct de survie, frigorifié je décide de bougé un peu pour me réchauffé un peu ,en faisant des exercices d'assouplissement obligeant mes muscles à se réchauffé .
Quelques chose dans ma tête s'activa, envoyant un message d'alerte et décide de l'écouter pour mon bien et je crois que je fait bien car je me sentais observer depuis 10 bonne minute au moins et j'avais beaucoup regardé partout je n'y voyait rien et sa commença à vraiment me faire flippé.
Ma peau était remplie de chaire de poule et pas qu'a cause du froid j'en suis sûr, il y a quelqu'un avec j'en étais de plus en plus persuadé. Mais bordel je voyais rien même avec la lune qui éclairer bien l'oasis et ses alentours.

- eh il y a quelqu'un hurlais-je la voix tremblante.

Mon coeur comprimer battait fort à t-elle point qu'il allait sortir de mon toraxe,

《Bordel mais qu'es que je fou là 》

paniqué je commencé à sentir la sueur couler sur mon front, malgré les températures basse et c'était tellement silencieux que s'en était devenu angoissant. Une fois mes membres réchauffé je décide pour me changé les idées de faire le tour de l'oasis qui était aussi grand qu'un lac en Europe et puis de tout manière j'ai pas sommeil.

Tout en marchant à mon rythme et vérifiant toujours ou je mettait les pieds,je remarqué qu'a cause de mon ombre je voyais pas forcément devant moi et sa me chagriné beaucoup mais fit avec . J'avais fait le trois quarts de l'oasis qu'un cheval a la robe noir avec un homme sur son dos, complètement masquer galopa vers moi , et moi tétanisé j'étais cloué sur place. Le hennissement du cheval me sortie de ma
Trans et le voyant arriver je poussa un cri de terreur et me retourna en courant dans le sens inverse aussi vite que je pouvais mais la peur me coupe qu'elle peu mes jambes en les rendant lourds.

L'homme derrière moi se mit a hurlé des mots qui avec le vent les emporté au loin, se qui fit que je compris que

- arrête toi....un serpent hurle une voix

Un violente douloureux me coupa le souffle,les poumons compressé dans mon thorax ,me laissant juste le temps de hurlé de douleur et tombe les jambes sciée, je m'étale comme une merde la tête la première en faisant un rouler bouler dans le sable devenu froid à cause de la température et je vit l'homme courir vers moi et c'est à se moment que je perds connaissance sombrant dans le noir.

Kaled elkazard raad

Dans l'urgence j'ai réunis 10 de mes hommes, c'était largement suffisant pour une seul femme. J'avais les nerfs à fleur de peau j'étais hors de moi j'avais hâte de la retrouver. Heureusement
J'étais un bon pisteur et je retrouva rapidement sa trace de ses pas dans le sable fin,je connaissais le désert comme ma poche.
On a retrouvé sa piste facilement, mais 2h s'était écoulé le temps de réunir mes gardes et d'arriver jusqu'à l'oasis où elle ce cacher. Nous l'avons encercler et nous avons attendu caché le bon moment pour la récupérer. Quand le moment fut venu je sortie de l'endroit ou je me caché et galopa vers elle.quand elle me vit arriver au galop elle prit peur et hurla à plein poumons, se qui augmenta ma colère et mon envie de la punir encore plus pour avoir fuit du palais pendant Réception que j'avais donné. au moment où elle fait demi-tour pour partir en courant je vis un crotale émergé au loin sur son chemin.mon sang ne fit qu'un tour dans mes veines quand je m'apercu qu'elle ne l'avait pas repéré, je voulu la rattraper pour lui éviter une morsure , j'ai hurlé pour qu'elle s'arrête, mais c'était trop tard le crotale avait fait son œuvre je la vis chuté comme un poupée de chiffon, je saute rapidement de mon cheval sans attendre et me rua vers elle,je cours comme un dératé vers elle en sortant un poignard de ma ceinture et le lança sur le serpents que je réussi a tué. Mais pour elle c'était trop ,elle sait fait mordre et quand j'arrive a sa hauteur s'était pour la retrouver inanimé sur le sable. Ne perdant pas  de temps le coeur déchiré par cette vision je la prit dans mes bras, le coeur malmener par mon angoisse de la perdre, je fait rapidement le chemin inverse et grâce à l'un de mes soldats, je réussi a la maintenir contre moi sur le dos de mon cheval pour rapidement rentré au palais j'en profita pour appeler riad ,dès qu'il décrocha je ne perdit pas le temps en explications

- appele le docteur vite,elle sait fait mordre par un crotale

- très bien kaled je l'appel tout de suite dit-il avant de raccroché

J'ai cravacher mon pauvre cheval ,c'est la première fois que je lui demandais autant d'effort et amalia fut braingballe dans tout les sens même en la maintenant fermement contre moi .
En 20 minute j'arrive au palais en hurlant mes ordres tendue comme une arques, j'ai jamais eu aussi peur pour quelqu'un. Dounia m'attendais dans la chambre d'amalia le visage rongé par le remort n'osant me regarder en face.
Quand ma servante lui touche le front,elle panique

- mon dieu elle est brûlante, je vais  cherché de l'eau tout de suite dit-elle en courant vers la salle de bain .

Au moment ou j'autorise le docteur de rentré dans la chambre,submergé par tout mes sentiments contradictoires, je lui hurle dessus

- dépêcher vous, pour faire quelque chose, je vous en tiendrai pour responsable si jamais elle meurt .

Completement flippé il court vers le lit ,pose sa mallette de médecin et sort le sérum anti-venin et une seringue commença a la remplir, pour lui injecté le produit.
Il lui prit le bras ,puis tape dans le creux de son coude pour faire apparaître une veines et dès qu'il en vit une,il planta l'aiguille sans attendre. quand je vit le produit disparaître de la seringue ,j'en fut soulagé mais pas totalement détendu, car maintenant il fallait savoir si elle passerais la nuit . Le médecin referma sa mallette ,avant de jeter la seringue usager,le salut avant de partir sans demander son reste.
Quand dounia revient avec une grande bassine d'eau froide et une serviette, je me rapproche d'elle rapidement pour tout lui prendre et lui dit

- va te reposer je me charge d'elle dis-je sur un ton sec

- très bien mon roi dit-elle en me saluant et quittant la pièce rapidement me laissant seul avec elle .

Une fois enfin seul je m'approche d'elle, pose la bassine sur la table de nuit, rapproche le fauteuil de son lit pour pouvoir m'occuper d'elle.
Ne pouvant m'en empêcher je lui carrèsse la joue bouillante tendrement d'une main tant dis que l'autre est plongé dans la bassine pressant le tissu, pour le poser délicatement sur son front.

Je vais y passer tout la nuit à son chevet,une nuit blanche m'attend mais je m'en fiche personne ne prendra ma place ,c'est hors de question

Ma colère du début c'est transformer en angoisse, car je ne veux pas la perdre