Le cliquetis des malles qu'on fermaient résonnaient dans les dortoirs. En ce samedi matin, la plupart des élèves préparaient leurs affaires afin de rentrer chez eux pour les fêtes. Un long voyage en train les attendaient, étant donné que le transplanage était impossible à Poudlard, Hermione l'avait assez répété, et que de toute manière quasiment tout les élèves étaient en incapacité de le faire.
Les professeur.e.s étaient épuisé.e.s , il fallait dire que l'excitation des fêtes rendait les élèves de Poudlard très dissipé.e.s et donc les vacances étaient la bienvenue. Même si iels restaient tous dans l'école, profession oblige, iels avaient tout de même la possibilité d'appeler leur famille par cheminée. De plus, le banquet à Poudlard était toujours succulent et se promener dans le parc de Poudlard vide de presque tout ses élèves se révélait être agréable.
Harry et Draco faisaient partie de ces élèves qui rentraient chez eux et je restaient pas à Poudlard pour Noël et le Nouvel An. L'un allait au Terrier avec la famille Weasley et Hermione, et l'autre dans son manoir avec Pansy. Harry était en train de refermer sa petite valise quand il entendit des coups donné sur le portrait de derrière la porte. Il allait se rendre sur lieux lorsque Draco le devança et ouvrit à sa place.
- Oui ? Qu'est-ce que tu fais là la belette femelle ? Demanda Draco d'un ton dédaigneux en voyant Ginny sur le pas de la porte.
- Toujours aussi aimable le furet répondit la rousse sur le même ton, j'aimerai voir Harry.
Draco la toisa un long moment avant que ce ne soit Harry qui vienne et fasse entrer Ginny. Le blond n'avait sûrement pas oublié l'obsession que la jeune femme avait pour Harry toute sa jeunesse. Il avait de quoi être méfiant en la voyant débarquer ici ! De toute manière il demanderait immédiatement à Harry ce qu'elle lui avait dit. Foi de Malfoy. Il retourna dans sa chambre et fermait la boucle de sa valise quand deux bras vinrent l'entourer et qu'il sentit un visage appuyé contre son dos. En un seul mot Harry.
- Que t'as dit la belette, demanda le blond sans se défaire de l'étreinte d'Harry.
- On sent bien la jalousie dans ta voix, ricana le Gryffondor.
- C'est pas de la jalousie, c'est de la possessivité, on ne touche pas à ce qui appartient à un Malfoy !!
Harry était d'humeur taquine en ce jour de vacances alors il décida de jouer un peu avec le Serpentard. Un peu d'amusement avant la petite séparation.
- Alors comme ça je t'appartiens ?
- Oui.
- Et si je n'ai pas envie de t' appartenir ? Continua Harry en caressant son ventre.
- Tu sais que si tu continues comme ça je t'impose un sort de traçage et de surveillance ? Et je le ferai si il le faut.
- Vraiment ? Moi qui voulait profiter des vacances pour échapper à ta surveillance et aller...
Draco le coupa dans sa tirade et le poussa sur son lit, le faisant atterrir allongé sur le matelas avant de s'emparer d'un coussin et de le frapper légèrement avec. Harry riposta en prenant lui aussi un oreiller près de sa tête et lui lança en riant. Draco s'approcha un peu plus de lui, monta sur le lit et continua de le frapper avec le coussin.
Au bout d'un moment ils abandonnèrent coussin et oreillers pour s'affronter à mains nues, à la façon des moldu.e.s diraient-ils, se battant de façon affective. Ne cherchant pas à faire mal à l'autre mais en lui faisant pas des chatouilles non plus. Ils roulaient sur le lit depuis plusieures minutes quand Harry réussit à prendre le dessus et ainsi se mettre à califourchon sur le blond, allongé sur le dos, bloquant ses bras au dessus de sa tête à l'aide de ses mains. Ils se regardèrent dans les yeux quelques instants en notant leur position. Puis un éclair particulier passa dans les yeux gris du Serpentard et Harry se pencha doucement, encrant encore plus son regard vert émeraude dans celui gris.
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Laisser le Passé PANSMIONE-DRARRY
Fanfiction❗Please pas de gros mots dans les commentaires. L'histoire m'appartient mis à part les personnages et l'univers qui appartient à JK Rowling. Toute tentative de plagiat fera l'objet d'une poursuite. ❗ Hermione Granger et Pansy Parkinson, deux oppos...