Daughter of monster...

Chapitre n° 46 : L'amour...

*Point De Vue Stiles*

Scott, le grand méchant loup, Malia et moi entrons chez moi... Ma fleur du désert est endormie sur le divan. Je me rends dans le bureau de mon père (où je crois le trouver) et, en effet, il travaille sur ses dossiers... Derek, Scott et Malia m'ont suivi.

- Hey, papa...

Il lève la tête vers moi et nous sourit.

- Coucou... Alors ? Ça s'est bien passé ?

- Oui.

- Où est Alec ?

- Liam l'héberge chez lui.

Lui répond Scott.

- Liam ??

- Il apprend les ficelles du métier.

Répond Derek.

- Enfin, s'il y arrive...

S'amuse Malia.

- J'ai confiance en lui.

Répond Scott. Papa se lève... Je m'apprête à répliquer lorsque des gémissements et des pleurs provenant du salon, retentisse... On se regarde tous avant de se précipiter dans le salon... Ma jolie fleur du désert est en train de se débattre dans les couvertures... Elle pleure et gémit de douleur...

- Elle souffre...

- Prenez-lui sa douleur...

Derek et Scott s'agenouillent à ses côtés. Derek prend sa main droite et Scott sa main gauche. Ils prennent sa douleur. Luna se calme mais continue de pleurer... Derek et Scott se relèvent, inquiets...

- Pourquoi ne se calme-t-elle pas ?

Oh les nuls... Pff... Je déplie la couverture et me couche à côté de mon ange... Je nous recouvre de la couverture et Luna se colle à moi. Je l'entoure de mes bras : Luna se calme petit à petit. Tout le monde me regarde surpris...

- Quoi ?

- ... Rien.

Me répond Derek. Tant mieux.

*Point De Vue Luna*

Hm... Je sens que je suis toujours allongée sur le divan mais c'est confortable... Je suis collée à quelqu'un mais qui ? J'ouvre lentement les yeux... Stiles dort à mes côtés... Il a une main autour de ma taille... J'ai une main posée sur son torse... Je rougis fortement... Je remarque alors que, sur le fauteuil d'en face, nous fixe suspicieux, mon père... Je me relève d'un coup ce qui réveille Stiles qui tombe du divan... Je souris. Papa s'approche de moi et me sert dans ses bras...

- Ça va ?

- Oui...

- Tu as encore mal ?

- Un peu...

Il prend ma main puis ma douleur...

- ... Merci, papa.

- De rien...

Il lâche ma main. Je me tourne vers Stiles qui s'est relevé. Je m'approche timidement de lui. Il écarte ses bras. Je me colle contre lui et il m'entoure de ses bras si protecteurs. Il appuie son front contre le mien, le temps s'arrête.

- Je t'aime, Luna...

Quoi ? ... Si, il vient de le dire. Mon Dieu. Je me sens aussi légère qu'une plume, des ailes poussent dans mon dos : Stiles m'aime ! On s'embrasse passionnément.