𝐒𝐄𝐗𝐲- 𝐏𝐚𝐲𝐭𝐨𝐧 𝐌𝐨𝐨𝐫𝐦𝐞𝐢𝐞𝐫

part 13

Il vient m'ouvrir la porte et me prendre la mains afin de m'aider à sortir de la voiture.
Nous voilà tout les deux à attendre un serveur pour nous indiquer notre table.
   Le serveur arrive et nous donne enfin notre table, mon dieux dite moi que je rêve.

Moi : - Non papa t'a pas fais ça quand même ?

~*~*~*~

Père : - De quoi ?
Moi : - Pourquoi tu a invité les Moormeiers ?!
Père : - Déjà j'ai juste invité James et Payton et je pensais que ça allais te faire plaisir.
Moi : - Oui bha non...
Père : - Je pensais que...bon

On se rapproche donc d'eux et je les salue même Payton avant de m'installer à ma place. James et mon père commence à parler ensemble pendant que moi et Payton baissons la tête, comme pour ne pas avoir à croiser le regard de l'autre.

Père : - Alors comment c'est passer ton stage ?
Payton : - Très bien j'ai adoré !
Père : - J'ai appris que tu est rester plus longtemps.
Payton : - Oui j'avais envie de profiter de...de mes...ma...enfin de mes entraînement.
Père : - Tu m'épatera toujours autant.

Un long silence assez gênant vient prendre le dessus à notre table. Heureusement le serveur vient donc prendre nos commandes.

Serveur : - Et vous jeune homme ?
Payton : - Un plat de sushis SAUCE SUCÉE !
Serveur : - Très bien et vous mademoiselle ?
Moi : - Comme le jeune homme SAUCE SUCRÉE!
Serveur : - Très bien et en boisson ?
James : - Une bouteille de vin blanc s'il vous plaît.
Moi : - Pour moi ça sera juste une limonade.
Payton : - Du pepsi fera l'affaire.
Serveur : - Très bien je vous emmène ça.

Après quelques minutes d'attente le serveur reviens enfin avec nos plat avant de nous souhaiter un bonne appétit.

Moi : - C'est délicieux !
James : - Effectivement c'est un bon restaurants.

Mon père et Payton commence à parler de football comme pratiquement à tout les repas que nous faisons c'est fou. Je suis persuadé que mon père veut absolument Payton comme gendre.
Le fait de ne pas avoir eu de discussions avec Payton me tracasse depuis bien longtemps.

Moi : - Excusez-moi de vous couper mais c'est possible d'avoir une discussion avec Payton ? Ou ça serai trop demandé ?
Père : - Non va s'y.
Moi : - Dehors.
Payton : - Ok je te rejoins.

Je me lève de table et part prendre un peu l'air.
L'air frais emporte légèrement les cheveux au vent et je regrette assez vite de ne pas avoir pris de veste à vrai dire. La tension monte été crée une boule au ventre énorme, la respiration s'accélère et je sens dans sueur froide me passer sur le corps.
Je vois au loin la chevelure de Payton arriver, je me retourne et ajuste ma robe avant qu'il n'arrive. J'ai l'impression de stresser pour rien mais ce n'est pas rien. Quand il arrive devant moi personne ne parle.

Moi : - Alors avant toute choses je tenais à m'excuser pour le dernière fois vue que je n'avais jamais eu l'occasion de le faire. Ensuite j'ai essayé de m'excuser tellement de fois par téléphone et
Payton : - Oui y'a bloqué ma boite vocal.
Moi : - Chut je parle ! Donc je disais que je sais tout ça est de ma faute mais tu ma balance comme ça du jour au lendemain que tu m'aimai
Payton : - Sentiment et aimé n'est pas là même choses.
Moi : - Laisse moi finir s'il te plaît. J'ai paniqué et j'avais pas la réponse à tes questions ! Tu sais très bien que je suis hyper attaché à toi et que j'ai jamais voulu te blesser mais j'ai pas fais exprès. Je pouvais pas te donner se que tu voulais tant que je n'étais pas sûr de mes sentiments.
Payton : - Tes sentiments ?
Moi : - Mais oui Payton toi et moi on s'est très bien que tout se bordel c'est pas que de l'amitié. Comme on dit c'est quand on séparer de certaines personnes qu'on se rend compte à qu'elle point il sont important tu comprends.
Payton : - Donc il a fallut presque trois mois pour que tu t'en rende compte ?
Moi : - Oui ! Oui et je savais pas tout ça. Tu te rend compte que pendant presque deux ans j'ai cru que c'était rien.
Payton : - Pourquoi tu ma tant de fois fais espérer ?
Moi : - Je m'en rendais pas compte, ça a jamais été mon but Payton. Pendant ses trois mois tout m'a manqué t'es caresses, ta bonne humeur, ta taquinerie mais aussi ta jalousie et t'es "bébé" que tu me lâchais tout le temps alors que tu sais très bien que je déteste se surnom mais qu'avec le temps j'ai appris à apprécier. Ta personne, toi tu ma manqué Payton.
Payton : - Alors tout compte fait tu aime bien quand je t'appelle bébé ?
Moi : - Mais Payton je te fait une mini déclaration et toi tu retiens que ça. Fais semblant d'être ému au moins s'il te plaît.
Payton : - Toi aussi tu ma manqué Roxanne mais j'ai plus envie de te courir après et surtout de te pardonner complètement.
Moi : - Argg j'étais à deux doigts ! Il me manque quoi dans mon discours pour que tu me pardonne.
Payton : - Je sais pas, des preuves. Roxanne tout ça ne sont que des paroles. Je tiens encore énormément à toi et plus que tu ne le crois mais j'en est marre de passer pour ton toutou.
Moi : - Mais tu l'a jamais été.
Payton : - Bien sur que si. Dès que tu avais besoins de moi pour baisé je suis là, mais il n'a pas de suite. Après tu a tendance à faire comme si de rien ne c'était passer. Ouais on était super pote je me marre bien avec toi mais j'attendais plus de ta part. Essaye pas de retourner les rôles et assume tout ça.
Moi : - Payton...
Payton : - Je ne te pardonne pas totalement, pense à se que je t'es dit.

C'est donc ça qu'il pense de moi. Je suis une putain d'égoïste, et le pire c'est qu'il a raison. Je le vois rejoindre la table pendant que de petites larmes chaudes viennent apparaître sur mon visage. Je les essuie très rapidement et rejoins la table. En m'installant je vois que mon père me regarde inquiet.

Père : - Ça va les enfants ?
Payton : - Très bien.
James : - Vous parliez de quoi ?
Payton : - On réglait certains différents.

Je reste la tête baisser à écouter leurs conversations sans trop m'en soucier.