Episode 53 : La reconquête du mur.

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Hey, vous allez-bien ?
Etant donné que je n'ai plus trop de temps et pas assez d'inspiration ces temps-ci, je vais posté un chapitre par semaine. Je retournerai surement à un rythme normal après les vacances ou un peu avant.

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Je mettais réveillé encore une fois nue dans le lit, et cette fois-ci Livaï était bel et bien présent. Il affichait un visage quelque peu fermer, il devait être aussi angoisser que moi, voir même plus ce qui serait d'autant plus normal. Je posai délicatement ma main sur ses doux cheveux, j'adorais faire ça.

- Il faudrait que tu me donne ton secret pour avoir des cheveux aussi doux et une peau aussi parfaite.

- Tch, je ne vois pas ce que tes cheveux et ta peau on comme problème.

- J'ai plein de bouton ou des cicatrices sur les visages et puis mes cheveux ne sont pas aussi doux que les tient.

- Si tu arrêtais de mettre autant de produit sur ton visage et tes cheveux peut-être que ça irait mieux. Me dit-il ironiquement. Et puis tu es très bien comme tu es, arrête de te plaindre pour rien.

- Tu m'énerves. Dis-je avec un sourire idiot. Je t'aurais bien embrassé mais je ne me suis pas brossé les dents et je pue de la bouche.

- Tch.

Je posais ma tête sur son torse et me cala dans mes bras. Son corps nu était chaud et agréable, si je pouvais je dormirais autant sur lui toute ma vie. J'étais complètement amoureuse de cet homme.

- Il faut que je prépare tout pour les nouvelles recrus. Dit-il en tentant de se lever.

- Reste encore un peu avec moi Livaï Ackerman, juste cinq petite minutes.

- Tch, y'a plus le temps. Dit-il en me décalant sur le côté.

- Je te déteste Livaï.

- Hm, rejoint moi dans la douche.

***

Le soir du départ, j'étais devenue une véritable pile électrique. J'avais tout vérifié et revérifié pour tout le monde comme lors de la première expédition des enfants. Livaï m'avait trouvé plus qu'agaçante et il me l'avait d'ailleurs bien fait comprendre. J'étais actuellement avec les hauts placé face au membre important du bataillon d'exploration. Après les avoir saluer, je mettais empressé de partir pour aller aider en haut et serrer dans mes bras Eren, Mikasa, Armin, Conny, Jean, Sacha, Hansi et même le petit Marlowe.

- Eren, n'agit pas impulsivement par pitié. Mikasa, protège toi d'abord et après les autres, ne risque pas ta vie inutilement ma chérie. Armin n'oubli pas qu'il faut te fier à ça. Dis-je en montrant sa tête. Et à ça. Dis-je en montrant son coeur. Conny sert toi de ta tête, et fait toujours ce qui te semble le mieux. Jean, tu sais qu'elle est ta plus grande qualité, même tes compagnons à la victoire avec celle-ci. Sacha, fit toi ton instinct et pas à ça. Dis-je en lui montrant son ventre. Sauf si c'est absolument nécessaire. Marlowe, on ne se connais que depuis avant hier, mais soit toujours juste, tu changeras le monde comme ça. Et Hansi, ne risque pas ta vie inutilement avec des expérience idiote. Je me retournai vers Erwin, toi quoi je te dises de toute manière, ça changera rien, mais fait quand même attention s'il te plait. Major Erwin Smith.

J'entendis soudainement le cris du peuple. C'était nouveau ça, le peuple encourageait le bataillon. J'entendis Erwin Smith hurler, ce qui me fit rire.

- L'OPERATION RECONQUÊTE DU MUR DEBUTE MAINTENANT ! Hurla-t-il

Lorsque les soldats commencèrent à descendre avec le monte charge je pris Livaï par le bras. Il m'interrogea du regard et je fis de même pour savoir si je pouvais faire ce à quoi je pensais, il n'eu aucune opposition. Je m'approchai de lui et posai mes bras autours de son coup

- Je t'aime Livaï Ackerman, dis-je pour la première fois avant de l'embrasser tendrement sous les acclamations et le regard surpris des autres.

- Tch, je t'aime aussi.

- Tu as encore le bracelet ? Demandai-je

- Oui, d'ailleurs j'ai laissé quelques choses sur ton lit

- Reviens moi vivant, c'est tout ce que je te demande. Dis-je en sentant les larmes couler

- Oi, c'est pas le moment de pleurer la chieuse. Dit-il en essuyant mes larmes. En plus à cause de toi les mômes vont me poser des questions tout le trajet. C'est plutôt à moi de pleurer. Dit-il ce qui me fit ricaner.

- Tu as raison, pardon. Dis-je en embrassant ses lèvres une dernière fois.

Je regardais toute les personnes que j'aimais courir vers une peut-être mort certaine.

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Prochain épisode : Angoisse

Mon caporalOù les histoires vivent. Découvrez maintenant