Episode 71: Que de galère

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Après sa lecture de hier, Livaï était silencieux. J'étais sur que son cerveau analysait toute les possibilités. Ce matin, je m'étais réveillé beaucoup plus tôt que d'habitude tout comme Livaï qui partit je ne sais où avant de remonter avec un couteau.

- Qu'est-ce que tu fais avec ça ? Demandais-je les yeux écarquillé.

Il s'installa silencieusement sur le lit avant de planter le couteau dans sa cuisse et de gémir de douleur et il ressortit le couteau qu'il laissa tombé par terre . Je le regardais les yeux écarquillé, il avait perdu la tête tout simplement, il n'y avait pas d'autre solution.

- GRISHA ARRETE ! ARRETE ! PAR PITIE !

Il me planta le couteau dans le bras, j'étais devenu un morceau de viande qu'il s'amusait à déchiqueter.

Je repris soudainement conscience de ce qu'il se passait, Livaï se vidait de son sang et palissait à vu d'oeil. Une décharge électrique prit soudainement mon corps, mes mains formaient des éclairs jaunes et rouge. Je les regardaient effrayé avant d'instinctivement les poser sur la plait de Livaï. Une chance pour moi qu'il ne dormait pas en pantalon mais en caleçon. Après une dizaine de seconde, la plaît se résorba et je claquai Livaï du plus fort que je pouvais les larmes aux yeux.

- Mais t'es complètement malade ! Tu aurais pu mourir ! Criais-je sans prendre en compte le fait que les enfants dormaient encore.

- Je n'aurais pas pu mourir c'était à la jambe, Arya. Et ce taré de Jäger, t'as bel et bien transmit un pouvoir. Je voulais seulement vérifié.

- Donc tu t'es planté un couteau dans la jambe ! M'étouffais-je. Tu te rends compte que j'ai paniqué Livaï, j'ai cru que, j'ai cru que, que tu étais devenu fou et que, que.

Je nus même pas à terminer ma phrase qu'il se levais pour me serrer dans les bras en répétant plusieurs fois qu'il était désolé. Tandis que je pleurais dans ses bras. Cet homme était complètement malade et il me faisait tourner en bourrique totale.

- Tout se passe bien ? Demanda la voix encore fatigué de Mikasa derrière la porte.

- Oui, oui, tout va bien Mikasa, tu peux te rendormir ma chérie.

- Ok.

Je finissais par me recoucher tandis que Livaï descendit dans le salon pour me laisser dormir sans que j'ai des envies de meurtre. Après peut-être deux heures de sommeil, j'entendis la porte toquer au loin. J'enfilais un peignoirs pour voir qui venait le matin. Lorsque je descendis, je fût agréablement surprise de voir Jean, Conny et Sacha, tous rétabli et en bonne santé. Ils avaient encore grandis. Je les pris chacun leur tour dans mes bras pour les saluer avant de les laisser avec Livaï pour que je puisse me laver et me changer.

Une fois que je fus prête, je redescendis et vis que tout le monde était réveillé. Conny et Sacha, s'amusaient avec Amalia tandis que Clarissa essayait de faire la grande avec les quatre autres qui parlaient sérieusement avec leur caporal qui avait les sourcils froncer.

- Vous avez déjà prit votre petit déjeuné ? Demandais-je aux enfants

- Non, mais on comptait sur toi. Bonne cuisinière que tu es.

- Tu devrais demander à Livaï. Bougonnais-je en me rappelant le repas de hier tandis que Jean me regardait surpris et Armin en profita pour lui expliquer la situation.

- Je suis quand même sûr que la nourriture d'Arya, surtout les pâtisseries sont cent fois meilleure !

- On lance les paris ! S'exclama Conny. Moi je suis pour... Arya ! Dit-il avant de faire face au regard glacial du caporal. P-P-Pour le ca-caporal !

- Et moi pour Arya ! Dit Jean. Sacha ? Eren ? Armin ? Mikasa ?

- Je... Commença Armin

- Il n'y aura aucun pari les mioches. Vous allez juste aller à la boulangeries tout les six, pour prendre un petit déjeuné digne de ce nom et emmené les deux petites avec. Dit-il sans laisser place à la moindre discutions.

Une fois tout le troupeau partit non sans bougonner avec l'argent que Livaï leur avaient donné, j'interrogeai mon fiancé du regard. Nous avions assez de gâteaux et de pain pour tout un régiment, alors il avait quelque chose derrière la tête.

- Qu'est-ce qu'il y a ? Demandais-je

- J'ai relu ce journal une dizaine de fois, une dizaine de fois ou j'ai eu envie de tuer cet homme pour ce qu'il t'avait fait subir. Une dizaine de fois où je me suis demander ce qu'il y avait sur la page qui manquait. Une dizaine de fois ou j'avais envie de le remercier de t'avoir mit sur mon chemin, puis j'ai pensé à ce qu'il se passerait si les gens le savaient. Si les gens connaissaient tes capacités où si notre mioche développait ces capacités et si

- Si elles étaient liée à celle des Ackerman. Soufflais-je. Une force physique surhumaine, des visions et une capacité incroyable de régénération.

- Et les Ackerman sont des expériences, donc nous avons une part de

- Titan en vous, tout comme moi. Alors si le bébé née avec toute ces capacités, il sera surpuissant et le gouvernement cherchera à mettre la main dessus.

- Alors il faut garder ça secret et ne rien dire sous aucun prétexte.

J'hochai vivement la tête avant de poser mon regard sur mon ventre. Il ne fallait surtout pas qu'il hérite de nous deux.

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Prochain épisode : ????

Hey, vous allez bien ?

Petite explication :

- Comme la famille Ackerman est à la base une expérience et qu'ils étaient à l'époque capable de se transformer en titan. Grâce à la rapidité du titan féminin, la force de je ne sais qui... Et que notre très chère Arya est le fruit de l'expérience de Grisha, qui lui a transmit un peu de son titan pour la sauver. Ils ont donc tout les deux, des gènes super puissant. Du moins, selon moi ;-), donc si ce bébé développe les deux dont familiale, il est clairement dans la merde. Puis-ce que le gouvernement veut le pouvoir. Si le gouvernement utilise déjà les titans et les Ackerman, alors imaginé une personne presque invincible. Donc voilà !

Je profite de cet épisode pour vous demandez si vous avez des idées de prénom pour du bébé. Bien évidemment, je connais déjà le sexe de celui-ci qui restera secret jusqu'à l'accouchement donc je vous demande les deux pour laisser durée le suspense. Je vous laisse débattre en commentaire.

Prénom fille ->

Prénom garçon ->

Mon caporalOù les histoires vivent. Découvrez maintenant