Mon caporal

Episode 54 : Angoisse.

Contient un léger spoil de la saison 4 partie 1, comme d'habitude il sera prévenu par *********.

Le premier jour, j'étais resté chez Mary et Nail ne supportant pas être seule une minute de plus. J'avais déjà la boule au ventre. J'étais alité complètement exténué, c'est d'ailleurs à ce moment-là que j'ai eu une discussion avec Clarissa l'ainée de cette magnifique petite famille.

*Flashback*

- Il est où ton amoureux et ils sont où tes enfants ?

- Ils sont partit en dehors des murs pour que tout le monde dans ses murs est une meilleure vie. Dis-je avec un léger sourire.

- Alors c'est des super-héros ? Moi aussi je veux faire ça ! S'exclama-t-elle.

- Oui, c'est comme des supers héros et je ne pense pas que ta maman et ton papa te laisserai faire ça. Ricanais-je en me redressant pour m'assoir.

- Pourquoi ?

- Parce que dehors c'est dangereux, très dangereux.

- Mais s'il n'y a personne pour aller dehors et aider les gens, alors qui nous sauvera ? Demanda-t-elle.

- Tu me fais penser à Eren. Soufflais-je. Il avait le même genre de réflexion plus jeune, et même encore maintenant. Il passe le plus grand temps de ses journées à me dire qu'être dans ses murs ce n'est pas la liberté. Qu'il y a tellement de chose à voir, là-bas, derrière ces murs.

- Comme quoi ?

- La mer, c'est comme un grand lac infini, avec de l'eau salé et bleu clair. Il y a des montagne de sable, de feu, de glace et plein d'autre chose.

- Waouh, c'est génial !

- Oui.

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- C'est ça la mer alors ? C'est incroyable. L'eau est si bonne ! S'exclama Hansi

Je regardais autour de moi, Jean, Sacha et Conny se battait dans l'eau. Tandis qu'Eren et Armin avait les pieds dans l'eau. C'était un spectacle magnifique.

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- Marraine ? Marraine ? Réveille-toi ! Maman nous appelle pour manger.

- Oui pardon.

*Fin flashback*

Ce jour là, j'avais aussi une drôle de vision. Ce genre de chose ne mettait pas arrivé depuis longtemps. Le deuxième jours, je mettais occupé d'Amalia qui avait bien grandis encore une fois. Pour passer le temps, je cuisinais ou je me baladai dans les rues. Il m'arrivai d'avoir des sueurs froide et de vomir, surement dû à cette angoisse et au manque de sommeil. Le troisième jours, il n'était toujours pas revenu. Je n'en pouvais plus, j'avais l'impression que j'allais mourir. L'angoisse constante de perdre un proche me donnait la nausée. J'étais terrifié, terrifié à l'idée de tout perdre. J'avais ressentis une décharge dans mon corps, ce genre de décharge qui ne mettait pas arrivé depuis un bon bout de temps. A ce moment-là, j'avais été prise d'une nausée et d'un mal de tête incroyable, les toilettes étaient devenue mes meilleurs amis. J'avais sentit qu'il s'était passé quelque chose, quelque chose d'étrange mais je n'arrivais pas à mettre le mot dessus.

J'attendais sans fermer l'oeil en jouant avec le bracelet que Livaï m'avait offert ou du moins celui qu'il avait posé sur mon lit pour moi. Ils étaient déjà sensé être tous là, à nous annoncé qu'ils avaient gagner, que personne n'était mort. J'étais attablé avec le général, Pixis, Nail et d'autres. Nail nous parlait d'Erwin Smith mais je n'écoutais pas. Je pensais aux paroles de celui-ci " Si nous ne revenons pas dans un délai de quatre jours, vous pouvez tous nous considérer comme morts." Je priais Dieu pour qu'ils me reviennent, combien était resté en vie ? Combien était blessé ? Combien de famille seront en deuil ? Combien avais-je perdu.