chapitre trente-six.

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Justin

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Justin.

Sa bouche autour de moi me fait grogner, putain. J'empoigne ses cheveux et bascule la tête contre le dossier de mon siège, c'est si bon putain. J'ai croisé cette fille dans les couloirs et son air aguicheur m'a plu sur-le-champ. Le problème, c'est qu'elle ne m'excite absolument pas, pas autant que je le pensais en tout cas, je suis obligée de penser à une autre nana pour bander. J'imagine que c'est une autre qui a sa bouche autour de moi, qui monte et descend aussi rapidement sur ma bite. C'est mal mais celle que je vois à genoux devant moi est Meena. Cette fille ne veut pas sortir de ma tête, c'est encore pire depuis hier soir et ça m'agace. Cette folle est comme une sangsue dans mon esprit.

Je grogne et appuie sur la tête de cette fille pour qu'elle me suce plus profondément, je souffle et lance une injure quand j'y suis presque. Je vais jouir, là maintenant et je ferme les yeux quand j'éjacule dans sa bouche. Putain. J'ai l'impression que ça fait une éternité que je n'ai pas pris mon pied.

La brune sous mes yeux se relève et essuie sa bouche alors qu'elle a avalé tout ce qu'elle avait dedans. Je souris et passe une main dans mes cheveux quand j'entends quelqu'un qui essaye d'ouvrir la porte.

— Ouvre cette porte Justin.

Isaac. Fais chier. Je remets mon caleçon et mon pantalon en place et jette un dernier coup d'œil à cette fille avant d'aller ouvrir la porte. Elle me lance un clin d'œil et s'en va quand Isaac la remarque. Je l'entends souffler et il rentre dans la pièce quand j'ouvre un petit peu la fenêtre.

— Il faudrait t'enchaîner quelque part pour ne pas déconner toi.

— La paix.

Je reprends ma place sur le fauteuil de mon bureau et mon meilleur ami s'assoit en face de moi.

— Qu'est-ce que tu veux? Tu n'as pas du travail?

— Tu es un abruti.

Je roule des yeux.

— Ça s'est bien passé hier soir?

— Si on veut.

— Et avec les détails?

— Sa mère est venu gâcher la soirée.

— Pourquoi?

— Ce ne sont pas tes affaires.

Je l'entends souffler.

— Tu as réussi à arranger les choses?

— Non.

— Non? Pourquoi ça ne m'étonne pas?

— Tu me fatigues.

— Elle t'a dit quoi alors?

— Que je devais arrêter de voir les autres filles pour pouvoir l'avoir elle.

— Ça me paraît logique en même temps.

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