MALÉDICTION [ Itachi x Plein De Monde ]

Solution partie 2

    -... Et cette expérience en fait partie, c'est pourquoi je vous demande à vous maitre, de bien vouloir me l'enseigner, s'il vous plaît. "

     Je prononça mes trois derniers mots de manière moins assurer que le reste de ma tirade. Seulement, bien que je ne le regardais pas, je pouvais sentir son regard, perforé mon dos de toutes parts. Cependant, malgré le silence qui avait suivit ma complainte, je serra mes mains sur mon peignoir pour ne pas qu'il puisse remarquer ma gêne. Ce fût alors, des bruit de pas qui me sortirent de ma transe. En effet, l'ermite c'était déplacé pour s'assoir juste en face de moi. Alors, je baissa ma tête vers mes genoux pour ne pas croiser son regard.

      Il resta silencieux pendant encore quelques secondes, et de mon côté, je décida tout de même de relever la tête. Car, je m'étais rendu compte que si je voulais lui montrer que je n'étais pas un enfant, je devais agir comme un adulte et ne pas avoir peur. Après tout, ma déclaration avait déjà été dite, mes mots avaient déjà passés la barrière de mes lèvres alors pourquoi essayer de se cacher, il était bien trop tard pour cela. Ce fût donc, quand je remonta mon visage vers celui de Jiraya que je pus admirer son expression facial.

    Étrangement, elle était très neutre, la seule chose qui aurait pu me perturber, était qu'il avait croisé ses bras contre sa poitrine, se qui démontrait, sa fermeture par rapport à ma demande.
     -" Je pense que malgré que tu sois très mature, tu ne saisis pas toute l'envergure de se que tu souhaites. Tu me demandes à moi, ton professeur d'avoir une relation sexuelle avec toi, juste parceque tu veux avoir testé cette expérience au cas où tu meurs demain.
      - Si il y avait une autre personne disponible, je l'aurais probablement choisie à votre place vous savez. Mais il n'y a que vous, au fond cela me dérange un peu car malgré ce que je peux dire quelque fois, je vous admire beaucoup. Vous avez toujours été gentil avec moi, j'irais même jusqu'à dire que vous êtes l'une des meilleurs personne que j'ai rencontré. Alors, je me dit que ce n'est pas si grave que se soit vous en fin de compte, car, j'ai lu dans un livre qu'il fallait mieux faire ce genre de chose avec des personnes de confiance, et j'ai confiance en vous, plus qu'en n'importe qui d'autre."

    Je prononça cette dernière phrase en lui faisant un sourire timide alors que lui restait toujours de marbre. Malgré cela, je pouvais tout de même percevoir qu'il réfléchissait à mes paroles, ce qui bizarrement, me détenda un peu.
    -" Peu importe, je suis bien trop vieux pour toi. "
    Quand il eu dit ces mots, j'eus l'impression qu'il s'agissait de son dernier argument contre ma demande. Malheureusement, il n'avait pas tort, il était bien plus vieux que moi. Mais malgré cela, je n'allais pas abandonné aussi facilement.
     -" Je me fiche de l'âge, et puis vous n'êtes pas si vieux que ça, vous avez quoi, 40 ans, vous ne les faites même pas en plus, même avec vos cheveux blanc. Et puis, vous êtes bien plus jeune que..."
    Je me tue rapidement, prenant conscience que j'avais failli révéler mon plus grand secret. C'est pourquoi, je n'osa baissais la tête pour ne pas éveiller les soupçons.
      -" Plus jeune que Danzo, hein?"
    Quand il fini sa phrase, j'écarquilla vivement mes yeux, gardant toujours encrer mon regard dans le sien. Mais, je fini tout de même par baissais les yeux. De son côté, son regard devint légèrement plus doux et moins froid.
      -" Il est venu me parler avant notre départ.
      - Que vous a t'il dit ?
      - Rien de très important, mais suffisamment pour que je puisse détecter que quelque chose ne tournait pas rond entre vous deux, et vue ta réaction, j'avais raison."

     Je garda mes yeux pétrifiés de peur dans ses pupilles avant d'encore une fois les baisser vers mes cuisses, mais cette fois, encore plus profondément. Je me demandais comme j'avais pu être aussi stupide pour me faire avoir aussi facilement face à un piège aussi simple que celui ci. Je me dis également que l'ermite savait, il savait depuis le début et il n'a rien laissé transparaître jusqu'à aujourd'hui.