chapitre 32

2.4K 330 15
                                    


Cheikh amar diop

Il était minuit quand je venais de me garer devant ma maison avec la voiture que j'avais laisser au parking de l'aérodrome. Toute les lampes était éteinte sauf celui du gardien qui fesait le thé au pas de la porte.

- bonsoir Mr !

Dit'il en se levant pour me saluer avec la main.

- bonsoir maïssa ! Tout le monde s'est couché.

- oui Mr sauf votre fils karim. Il vient juste de sortir.

- comme d'habitude ! Bon je vais à l'intérieur

- prenez du thé c'est bon dé ?

- non merci il est tard pour prendre le thé !

Dis je avant de me diriger à l'intérieur de la maison.

Je me rend directement dans ma chambre, c'est à peine entrer que la lumière s'allume sur mon fils hamid.
J'ai failli avoir une crise cardiaque tellement qu'il m'a fait peur.

- hamid qu'est-ce que tu fait ici?

- je t'attendais papa.

- comment ça tu m'attendais, comment sais tu que je venais?

- ça n'a pas d'importance. Comment c'était à diamniado ? Tu as durer cette fois ci.

Dit-il en se dirigent vers le canapé où il s'assoit.

-...euh oui c'était bien on a eu une tres belle récolte. D'ailleurs je crois que cette fois ci on pourrait dépasser les milles tonnes de production .

- waouh et tu pourrai même le vendre dans la sous region. Comme en Gambie par exemple.

J'allais déposer les clés de ma voiture sur la table de chevet. Mais je stop net mon action quand je l'ai entendu parler de Gambie. Est ce que c'est le fruit du hasard ou c'est chef Johnson qui n'a pas tenu sa langue. Ce crétin m'a trahie.

- aurais tu quelque chose à me dire filston?

- je te repose la question papa as tu quelque chose à me dire ?

- écoute, je sais que tu m'avait interdit d'aller en Gambie. Mais je devais le faire, c'était une urgence.

- quelle urgence papa ?

- ton oncle t'a déjà parler de l'orphelinat que j'ai ouvert à banjul ? Il y'a eu quelques problèmes avec les enfants je devais m'y rendre d'urgence.

- oui il m'en a parler ce que je trouve étrange. C'est que tu n'a jamais était social, ni ici au Sénégal, ni ailleurs.

- mon fils comment peut tu dire ça ? N'oublie pas que j'ai ouvert une fondation au nom de ta mère pour aider les personnes atteintes de cancer. Si j'étais pas social j'allais pas avoir cette idée.

- qui finance la fondation?

- ....

( je reste silencieux ne sachant quoi dire)

- do wakh kay! ça fait 5 ans que tu ne finance plus cette fondation. C'est moi qui me décarcasse pour trouver chaque année les fonds nécessaires.
Breff c'est pas le sujet , je veux que tu me dise et sans me mentir ce que tu fesait en Gambie?

- crois ce que tu veux ! Je t'ai déjà dit les raisons de mon voyage si tu ne me crois pas c'est ton problème. Sort de ma chambre maintenant, je rentre d'un voyage fatiguant. J'ai même pas eu le temps de me reposer que tu me harcèle avec toutes ces questions.

- admettons que tu dises la vérité. Pourquoi tu nous as fait croire que tu allait à diamniado.

- parceque vous me prenez tous pour un enfant de 10 ans, commencent par toi. Je ne peux plus aller nul part sans un chauffeur à mes trousses. Je ne peux même plus voyager en liberté sans que tu me l'intetdisse.

Par vengeance TOME 1Où les histoires vivent. Découvrez maintenant