chapitre 45

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Bachir diop

Quelle tristesse, je n'ai plus goût à la vie j'aurais aimer ne jamais me réveiller de ce lit d'hôpital. J'aurais aimer que tout celà ne soit qu'un cauchemar dont j'allais bientôt me réveiller.
C'est comme si j'étais mort, je ne peux ni me lever ni tourner la tête ni bougé mes lèvre je ne suis qu'une épave humaine quelle destin cruelle tout celà n'est que le fruit de mes mauvaise action sur terre. J'aurais pu me repentir quand il était encore temps. Hélas j'ai était aveugler par l'agent la gloire deux chose à laquelle j'accordais une grande importance alors que ce n'était que distraction.
Voilà où celà m'a menée, j'aurais aimer mettre fin à ma vie mais j'en suis même incapable.

J'étais là, seule dans cette grande pièce où j'avais l'habitude de me pavaner librement.
La vie est vraiment étrange mon Dieu je regrette tellement. J'ai blaisser tellement de gens, j'ai ôté la vie à tellement d'innocents je n'ai que ce que je mérite.

J'étais dans une profonde réflexion quand j'entends la porte de ma chambre s'ouvrir je ne pouvais s'avoir qui c'était vu que j'étais incapable de faire un mouvement de la tête.
Ses pas s'approchait de plus en plus du lit. Un visage familier se tenait devant.
Elle me regardait avec tellement de satisfaction.
On aurais dit quelle se réjouissait de me voir dans cet état.

Pensais je quand je la vois faire le tour du lit avec un sourire au coin des lèvres.

- bachir diop, hum comme la vie est surprenante.
La justice divine est la plus grande des justices qui l'aurai crû.
Sale rat des égouts tu n'as que ce que tu mérite .
Tu croyais vraiment que tu allait t'en sortir, après avoir ôté la vie à mon père.

J'étais tellement choqué quand je l'ai entendu prononcer ces mots.
Comment à t-elle su ?

- oui bachir mon père, cet homme qui a tout donner pour votre entreprise et que vous avez lâchement tué.
Oui bachir je suis au courant de tout , j'ai était témoin de ce plan machiavélique que vous lui avez tendu.
Comment avez vous pu être aussi cruelle, c'était un père, un mari avez vous pensez à celà .

Pourquoi n'avait vous pas penser à la douleur que vous causerait au personne qui l'aime.

Elle reste silencieux un moment où elle semblait pleurer

- En tuant mon père vous avez aussi tuer ma mère.

Continue t-elle avec une voix entrecoupée par ses pleurs.

J'ai juste eu le temps de fermer les yeux quand je la sent me prendre par le cou tout en criant :

- comment avez vous pu lui faire ça ? Pourquoi l'avez vous tuer ?

Je commençais à m'étouffer tellement qu'elle y mettais toute sa force.
Je priais intérieurement qu'elle en finisse avec moi une bonne fois pour toute.
Si elle savait qu'en mettant fin à mes jours elle ne ferait que me rendre service.

Si j'avais encore l'usage de la parole je la supplierai de mettre fin à ma misérable vie.

Mais elle se fige au bout de quelques secondes où je pouvais reprendre mon souffle malgré moi.

Elle me fixait les mains tremblante le regard vide je pouvais l'entendre se murmurer des choses à elle même:

" je ne suis pas un assassin "

Disait-elle

elle a répéter cette phrase plusieurs fois avant de se lever du lit comme si elle était piquée par quelque chose.

Je sentais juste ses pas à proximité du lit on aurais dit qu'elle essayait de contenir ses émotions je pouvais l'entendre pleurer de chagrin mon Dieu cette fille souffre.

Par vengeance TOME 1Où les histoires vivent. Découvrez maintenant