La photo

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L'homme propose, Dieu dispose. J'avais proposé un plan, un plan approuvé par le Ciel. Je voulais avoir la confiance de la jeune dame. Je commençai à l'avoir.

Sous le regard de la lune, une chatte chaude en chaleur m'avait demandé de la pénétrer. J'étais tellement excité que je voulais juste jouir en elle.

Face au sexe, ma mission devint caduc, il faudra renouveler le contrat. J'avais pris cette femme à quatre pattes, je lui pousse ma puce dans son labyrinthe, je picorais son Jessica.
Son Jessica était en forme, elle était rasée, neutre comme les fesses d'un nouveau-né.

Moi: je ne peux pas!

Chantal: je te le demande s'il te plaît !

Moi: tu ne seras plus la même si tu y goûtes sincèrement...

Chantal: ou bien tu n'as pas une bonne armée pour me combattre. Tu te rends déjà...

Moi: loin de là...

Chantal: alors prouves le moi.

Je prends les terreaux par les cornes, j'avais essayé de me faire un espace. C'était trop serré, j'avais pu mettre avec tant d'effort. Quand je voulais tirer j'avais senti mes nerfs, j'avais senti une douleur intense. C'était comme retirer des brises de verres dans la peau d'une personne.

Après l'acte on s'était essuyé et on avait repris une deuxième fois. Ce fût ma première fois de baiser une fille, ce fût la première fois où la chatte ne m'est plus étrangère.

Chacun gagna sa demeure après avoir causé...

Elle: j'ai trop mal!

Moi: moi également, on dirait ton four a des dents; la tête du zizi me fait mal.

Elle: on se plaint alors que c'était trop génial..

Moi: ah oui. C'était l'aller, on a joué chez moi, le retour sera chez toi.

Elle: avec plaisir, je te battrai.

Moi: on verra bien...

Je rejoignais ma chambre, pour moi le plaisir ne devrait pas me dévier de ma mission. Je me demandai comment cette fille qui était vierge depuis là s'était donnée à moi?

Je rinçais les yeux et j'ai pris l'initiative d'aller de l'avant. Je devrais accélérer et faire tuer mon père.

Une semaine plus tard, je revois Chantal. Elle était encore plus superbe. Ses yeux blancs dont la noirceur était centrée me disait de venir.

Moi: tu es sublime Chantal.

Chantal: je ne dirai pas moins de toi. Tu m'as trop manqué.

Moi: tu sais que je m'étais défoncé pour la première fois, tellement je pensais à toi. J'avais snifer quelque poudre pensant que j'allais te ôter de mon esprit mais rien ne peut t'effacer dans ma tête. Tu es plus qu'une drogue, je suis accro à toi!

Chantal: il me semble que ma place est grandiose dans ton cœur. Il me semble que tu m'enlèves haut plus que ta famille; je ne savais pas qu'un bandit pouvait avoir un coeur.

Moi: Chantal, je t'en conjure que si je n'avais pas de l'amour pour toi, j'allais t'étrangler, personne n'est au dessus de ma famille. Ma mère est l'être suprême d'après Dieu bien sûr. Ce n'est pas ta chatte qui fera de toi la plus importante. Je peux me taper d'autres meufs donc reviens sur terre.

Elle se mit à pleurer, que son cœur et son corps dégageaient de la chaleur.

Moi: excuse-moi Chantal...

Chantal: rien n'est de ta faute. Je t'envie juste pour ce que tu fais pour ta famille. Tu aurais pu poursuivre les études mais tu as sacrifié ton âme pour le bien être de ta famille. Quel est ton plan de secours? Quels sont tes objectifs? Si seulement mon père pouvait être comme toi...

Moi: si tu pouvais contenter de m'ouvrir tes jambes et cesser de me poser des questions ça me fera trop plaisir.

Chantal: apprends à me parler avec respect s'il te plaît. Je ne suis pas ta pute...

Moi: d'accord Chantal aurais-tu l'amabilité de te coucher pour que nous puissions nous faire plaisir.

On était chez elle, c'était le retour de notre baise de la dernière fois.

Je la serrais contre moi, je l'embrassai jusqu'à ce qu'elle s'était étouffée, je mis ma main dans sa bouche et l'autre partie de ma main sur son menton.
Subitement, mon index de l'autre main dans sa minou, je fais des mouvements de vas-et-viens.

Chantal: tu es brutal aujourd'hui!

Moi: je pars à ton rythme, dis moi ce que tu désires.

Chantal: pénètre moi au plus profond de mon être.

Moi: bah c'est une forme de brutalité qui ne dit pas son nom.

On finit par le faire; je l'ai baisé jusqu'à ce que je l'entendais parfois péter. Je l'ai baisé comme une chienne. Oui parfois, certaines filles préfèrent cela. Qu'on les baise jusqu'à ce qu'elle perdre connaissance et revienne parmi les humains. Sa chatte bien rasée, je lui coupais telle une lame. Ses gémissements étaient comme des baffes sonores qui envahissaient leur salon. Elle était couchée, j'ai eu le temps d'aller dans le bureau de son père où j'avais pris quelque photo. Sur le mur également il y avait sa photo accrochée au mur.

Je quittai sa couche sans la prévenir. Avec l'odeur du sperme, du préservatif mélangé avec sa chatte; j'escaladais mon ancien quartier.

Le patron: tu as amené ce que je t'ai demandé où je te fume sans tarder.

Moi: je n'aime qu'on me menace. Tu peux laisser ta peau.

Ses gars sortent les flingues

Le patron à ses gars: baisser vos jouets, il a des sacrés couilles j'adore ça. Il est façonné à mon image.

Moi: j'ai amené la photo du Colonel. Je vous fait venir le chef, vous le fumiez seul sans toucher au colonel sinon votre règne sera fini sur ce territoire.

Le patron: toi tu y gagnes quoi.

Moi: après on en discutera.

Le patron: je n'aime pas ces plan foireux.

Moi: tu marches ou pas?

À suivre!

Le bar rondOù les histoires vivent. Découvrez maintenant