Téssawa

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Cela fait plus quatre fois que je tombai sur le messagerie de Chantal. J'avais quitté la prison ça fait quatre heures de cela. Je voulais me rassurer que Chantal était dans mon camps, sans elle ça me serait difficile d'achever ce que j'avais commencé.

À cet instant, je devrais aller à Tessawa, cette ville fut sous ma propriété, là bas je vendais de la cocaïne et du tabac. Heureusement qu'il n'y a ni « p » et « f » dans ce qu'on vend car les habitants de là confondent ces deux lettres dans la prononciation; pharmacie devient dans la prononciation « parmacie », femme par pemme.

Le voyage était long et très fatiguant, en tant normale je devrais me reposer dans ma demeure mais hélas une part de mon entreprise est sous le point de céder à un autre concurrent.

On vint vers les vingt-deux heures, on a prit des chambres dans un hôtel et s'était reposé. Les filles qui animaient ces lieux ne m'intéressaient guère trop grosse, trop de pommade et n'ont que leur fesses pour atout.

Une causette avec le gérant s'avère être nécessaire;

Moi: c'est ce que tu nous offre comme femme dans ce grand hôtel ? On risque de s'ennuyer à mort!

Lui: elles ont quoi ces femmes ?

Moi: tu ne vois pas leur forme confondu on dirait pâte d'hier soir d'un étudiant togolais ?

Lui: tu ne sais pas ce que tu rates Chef, de l'amidon nul besoin de lubrifier, elle mouille à la toucher. Tu sais quoi leur faiblesse est leur seins, montez dans la chambre je vous appelle une la super star. Elle te baisera comme une déesse grecque...

Moi: j'aimerais voir...

Dans la salle traversée par des jeux de lumières bleu-vert-violet, une femme rentra, ronde, grasse. Rire!!! haoussa aussi il y a sa pute.

Moi: c'est quelle bombe ça, elle risque de torturer mon pénis.

Sans parler, elle posa son genou sur moi, me déboutonna la chemise quand je voulais l'embrasser, elle esquiva son cou;

Elle: laisses paire (laisse faire)...

Elle m'embrassa la bouche, puis le cou et les oreilles. Je m'agrippai sur son soutien, elle avait des gros seins gros comme de l'eau de 10f d'autrefois attaché dans sachet. Je suçais sans m'en lasser. C'est tellement bon ownnn

Elle: ownn monsieur, tu vas me faire freiner.

Mon pénis était déjà au gardez-vous, elle ouvrit la fermeture, c'est énorme. Elle mit dans sa bouche, comme une tube, elle suce comme bonbon et se brosse avec elle. Avant même de la pénétrer, le drap est salle façon fille grosse son excitation est facile hum, cela n'a pas empêché que je les baiser trois fois. Elle fut bonne...

La baise d'hier ne m'a pas empêché de me réveiller tôt, on était avec mon contact de Téssawa.

Lui: il semble que la ville vous plaît bien, vous vous êtes bien amusé j'espère!

Moi: j'aime cette diversité, j'aime la chatte fraiche et tout ce que cette ville regorge. Il y a plein d'opportunités sauf que les gens ne sont pas trop ambitieux ici. Ils ne se contactent de ce qu'ils ont sans innovation.

Lui: c'est parce que tu y es pour de passage, sinon ma ville t'aurait dégoûté au point où si tu y penses tu vomiras tes excréments.

Moi: trêve de bavardage, pourquoi tu m'as fait venir ici?

Lui: oui on n'est à sec et la clientèle ne fait que réclamer. J'ai été patient maintenant j'ai trouvé un nouveau fournisseur. On est en contrat nous deux, je voulais t'informer.

Moi: il n'y a aucun souci si tu te sent capable d'endosser le sang qui va couler sur cette territoire. Tu veux t'allier à mon ennemi et tu deviens direct mon ennemi. Dans cette semaine je te ferai parvenir la marchandises, une fois. J'avais eu quelques souci avec les flics.

Lui: ne mêle pas les flics à nos affaires.

Moi: confiance je gère. Sinon j'ai un produit du Nigeria qui peut vous intéresser.

Lui: c'est quoi?

Moi: des comprimés, à la portée de tous...

Lui: non je traite avec la grande classe et les bourgeois je ne veux pas diminuer la valeur de mon business.

Moi: t'es un ouff toi, enfiles cela à un de tes petits pour qu'il gère sous ta supervision. Chaque bénef n'est pas petit et tu verras la demande. Je t'ai apporté quelques échantillons.

On avait réglé le problème et avec les flic qui rôdent il faudra que le colonel puisse leur apporter la poudre

Niamey, nous étions et je reçus un appel, c'était Chantal.

Elle: père m'a changé de numéro et c'est à peine qu'il me laisse sortir sans garde du corps. J'ai trop envie de toi bébé.

Moi: je sais et il a raison. C'est lui ta famille et tu lui dois obéissance.

Je raccrochai, il faut que je me fasse important. Il ne faut pas que je cède facilement mais je sais que j'avais besoin d'elle.

Deux, trois appels sans que je ne décroches, elle me laissait un message;

Elle: ton silence me tue plus que la prison dans laquelle mon père m'a mise. Je regrette même de t'avoir causé cette ennuie et ce qui me réconforte c'est que je ne t'aurai jamais rencontré sans cela...s'il te plaît j'ai envie de baiser.

À suivre!

Le bar rondOù les histoires vivent. Découvrez maintenant