Pour khaled

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Un plan organisé et tourné en boucle dans ma tête était sur le point de se réaliser. Raillant mon père de la compétition humaine, il me faut grimper les échelons. L'ennemi que je combat est puissant, un ennemi qui avait fait tombé mon grand-père et le début de notre calvaire. Ils avaient ignoré que j'étais la mauvaise graine qui allait germer jusqu'à étendre son champs.

J'avais pour acquis tout les gang et bientôt je m'emparerais de sa plus grande zone, notre ancien quartier. Je ne connais pas le visage de l'ennemi mais je vais le contraindre à s'amener vers moi.

Nous avions passer six mois à étudier le business de l'autre gang, à infiltrer leurs hommes et à savoir là où le ravitaillement provenait. J'avais eu contact avec un de leur gars:

Moi: sais-tu que j'avais grandi ici, que ces personnes sont des imposteurs. Ils ont tué mon père et doivent payer au plus fort.

Le gars: je ne suis pas un suceur de bite, ton offre tu peux te la mettre où je pense.

Moi: ce n'est pas un souci, je t'aurai dégommé mais tu n'es pas intéressant. Je voulais faire de toi, le chef des lieux que de mettre ta vie en danger pour des miettes. Je te laisser car tu suces c'est juste tu ne veux pas ma queue.

Le gars: tu me promets la place de dirigeants ?

Moi: tu as ma parole

Le gars: fallait commencer par là espèce de fumier.

Moi: il suffit de présenter mes deux gars comme tes cousins là bas, ils vont trouver une crèche et intégrer le business.

C'était notre moyen d'apprendre comment cela fonctionnait dans le quartier et ne pas faire des pertes. Sinon on pouvait les éliminer et asseoir notre domination. Machiavel l'avait préconisé: il faut toujours avoir un allié dans l'ancien régime.

Six mois se sont écoulés, six mois entre lequel je continue de baiser la seule meuf, sa chatte était toujours resté la même. Elle avait cette espèce de chaleur d'une bourgeoise.
La veille de l'assaut, j'étais dans le club de mon allié du centre; il m'avait présenté deux filles.

Lui: Zilkif tu as ici devant toi, les deux meilleurs expertes, les meilleures « Strip-tisseuse », une nuit gratuite, dans la chambre que tu veux, c'est moi qui régale.

Moi: je suis fidèle à ma copine.

Lui: tu mets les reins et non le coeur. Un bandit fidèle, tu es vraiment spécial ( en me taquinant )

On rentrait dans la chambre avec un grand lit. C'était deux bâtiments, il y a pour les VIP et ceux qui paient des miettes. Ces derniers sont plus nombreux que les VIP (cette technique m'avait donné une idée sur la suite de mon programme)

Les filles avaient porté un grand habits, qu'elles firent descendre à une claque de seconde; elles avaient porté des strings qui prenaient la forme de la chatte, et l'autre partie rentrait dans les fesses.

Sur la barre, avec des chaussure en talon, la teint claire attrapa la barre et remua ses fesses et elle fit rentra sa putain de chatte entre les barres, elle dansait, elle écartait ses jambes de temps à autres devant moi.

L'autre était derrière moi, accroupie, jouait sa langue dans mes oreilles. J'étais perdu et je savais pas qui suivre.

Me caressant le cou, me suçant les tétons jusqu'au verge, j'étais excité tellement excité que j'avais envie de les baiser toutes.
Quand j'avais voulu me lever, elle me poussa sur le lit, celle qui dansait nous avait rejoint.
Elle ouvrît mon pantalon, dans le silence, elle léchait le bout doucement, doucement jusqu'à ce qu'elle mette la langue dans le tube, elle caressait mes couilles, j'étais mort. C'était trop intense.
De l'autre côté de mon visage était la seconde, qui fût couché de manière horizontale penchant sa chatte qu'elle me fait bouffer. Les gémissements débordaient la chambre; elle m'enfilât un préservatif.

Je lui fais glisser ma bite dans le chaufferie dans une position d'ordonnance: invisible comme les écrits d'un médecin. Elle est attrapa le mur, les fesses en l'air, le seringue était rentré et cela soigne. sous nous deux, l'autre était accroché me caressant. Elle se doigtait entre elle.

C'était ainsi j'ai passé la nuit chez mon ami.
Le matin très tôt, on prit nous (mes gars) en otage le convoi, le gang du centre prit à l'envers le quartier et comme un ciseau, on les avait pincés.

Moi: tu as mis fin à la vie de mon père. Tu seras décapité et justice sera faite.

On avait combattu avec des haches et des machettes. Je l'ai condamné pour la mort de Khaled.

Je lui ai fait accrocher au toit, les deux mains attaché. J'ai pris une lame rouillée, je le découpais la chaire, les oreilles, les mains, les parties intimes. Je coupais ses oreilles, plantais un écrou dans ses narines. Une mort spéciale proportionnellement à sa vie.

Après cette guerre, je m'installai dans le quartier, fit venir ma mère et mettre tout à l'ordre. Le partage sera fait dans la suite!

À suivre!

Le bar rondOù les histoires vivent. Découvrez maintenant