Avoir des sentiments dans notre business est le début de la faiblesse, c'est même un arrêt de mort. J'éprouvais de la pitié pour cette jeune fille à qui j'ai ôté la vie. Je l'avais ligotée ensuite pour croire qu'on l'avait kidnappé. Pourquoi ?
Si j'avais laissé la fille aller en justice, son jugement peut être faible car elle peut être influencée ou peut avoir peur. Cependant si je lui ôte la vie, le juge peut lui donner raison et dire que c'est à cause du viol qu'on l'a refroidi pour qu'elle ne compare pas à la barre.
J'avais ensuite garé la voiture au niveau d'un garage.
La matinée avait commencé avec la triste nouvelle: l'assassinat de la fille Jeannette, hier viol et aujourd'hui assassinée. Quel malheur!
Le scandale était crié partout dans le monde, aussi au Nigeria qu'en Afrique. Un riche qui a violé une fille et qui l'a fait tuer par la suite!Les policiers étaient sur le coup questionna tout le quartier.
Les policiers: avez-vous une fille (en la décrivant)? Avez-vous qui l'a kidnappé ?
Les habitants du quartier: nous n'avons vu personne.
Il y a un garçon, un jeune de dix-huit ans à peine, qui avait un androïde.
Lui: bonjour, je ne vais pas m'exposer. J'avais vu deux personnes l'embarquer dans une CAMRY grise avec cette plaque...
Ils avaient lancé un avis de recherche dans l'Etat et avait signalé sur les différentes postes.
Trois jours après, le garagiste fit appel aux policiers;
Lui: la voiture qui est un élément de l'enquête est en effet chez moi depuis trois jours. Une personne l'avait amené de la part de société « Fertilizer »; je ne me rappelle plus trop...
Les éléments et les preuves condamnèrent Monsieur Ogbou Igban. Il sera jugé pour double homicide, avec chef d'accusation: complicité de meurtre et viol. On fermera sa société ou vendre la société à une autre entreprise.
On avait ainsi convoqué une réunion extraordinaire dans la société de Safiath dans trois jours, je devrais faire venir ma liquidité si je veux avoir une place!
Le soir de mon départ sur Niamey, j'avais eu Safiath dans l'une de ses résidences à Abuja. C'était une grande maison, calme, laissant la vue sur l'océan et les belles lumières de la ville.
La lumière projetait sur les cuisses de cette dame plus âgée que moi, le parfum de son corps embaumait mes narines, nez à nez, bouche à bouche, lèvres à lèvres, on se croisa.Ma main vint glisser sur seins un peu tombés mais soignés, je la caressai délicatement et tendrement. Je vins les sucer, je les suçais , toujours. Elle mit sa main sur mon pantalon, ouvra ma fermeture, tint mon « pine » qu'elle caressait des testicules jusqu'au tuyau, je commençais à m'exciter, les couilles molles se gonflaient et devint dure. On était tous excité, on sait tous qu'il nous reste quelque chose à faire c'est de le faire. Tout comme un pompiste, je lui met la pompe dans le réservoir et elle jouit de bonheur.
On avait fini et c'était mis sous la douche, et là également, je l'avais prise contre le mur, je lui mettais le seringue, elle s'était retournée me donnant son dos, dans sa chatte je la chevauchai. C'était trop ouf...
Safiath: c'était trop fort là, je n'avais pas eu envie que cela s'arrête.
Moi: si le récipient est plein, il se déverse le contenu. Je n'avais plus de force pour continuer...
Safiath: j'étais off, à un moment je m'étais demandé quand est-ce que tu vas t'arrêter pour ne pas me cramer les reins pour un rien du tout.
Moi: je n'irai pas jusqu'à là!
Safiath: je t'aime Zilkif!
Moi: quoi je n'ai pas bien saisi! Tu quoi?
Safiath: tu as bien saisi, je t'aime, c'est étrange mais c'est vrai. J'adore cette personne qui ne se donne pas du mal à obtenir tout ce qu'il désire. Pour l'assemblée crois moi je ferai de mon mieux pour que tu obtiennes les actions de cet homme, tu l'as complètement bousillé la vie!
Moi: en effet tel est le prix pour manger dans la cours des grands. Je ne peux rester les mains croisées sachant qu'il y a une opportunité.
Safiath: ce fût un bon travail, parfait! Il m'énervait même depuis lors. Tu as cette flaire de détecter les personnes.
Moi: pourtant je ne suis pas un chien (pour en rire)...
Les trois jours se sont écoulés, les trois jours où l'assemblée devrait décider si Ogbou Igban pouvait continuer les actions ou les arrêter!
La réunion;
Le secrétaire: il est de nos textes de convoquer des réunions ordinaires tous les trois mois, à côté de cela on peut convoquer des réunions extraordinaires pour des questions urgentes et celles là est urgente; le cas de Monsieur Ogbou Igban qui est entre les mains de la justice. La cession de ses parts dans la société et le rachat par un autre bénéficiaire.Un actionnaire: tout le monde a une seconde chance dans la vie, ce n'est pas que nous sommes correctes non plus.
Safiath: on a tous des défauts, on sait tous où provient notre argent, de la cocaïne, des attentas, des braquages et autres. On a été tous prudents, on avait simulé des vies que nous ne vivions pas, par exemple Monsieur Adédjouma a une ferme, mais est-ce que c'est son activité? Non, si cet homme a pu se permettre de violer une jeune fille de quinze cela en est de trop et la justice ne passera pas de gommes sur ça! Si il est relié à nous, le gouvernement dira qu'on approuve et qu'on soutienne tel acte, alors que si on le chasse, on aura plus de bonne image. Pourquoi ne pas faire des panneaux publicitaires: pour lutter contre le viol des enfants.
L'AG approuve cette idée, et les actions de ce monsieur me seront vendus dans un bref délai.
J'avais fait signe à mes hommes de Niamey, au lieu que je décolle, qu'ils viennent avec l'argent.
Safiath m'annonça la nouvelle que je reçus un message: on a fermé le robinet depuis, le colonel est dans nos pattes Monsieur!À suivre!

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Le bar rond
ActionLe bar rond est le tome 2 de trente minutes de confession. Elle est l'histoire d'un baron de drogue. Issue d'un milieu violent sans pitié, un milieu où chaque être ne pense qu'à sa survie, il s'était vite adapté. Dans ce milieu le sexe n'avait aucun...