Cour des grands

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Mes trois heures au Nigeria m'ont émerveillé, avec ce beau paysage, j'avais décidé de rester mais pour cela, je dois jouer dans les jambes de cette dame. Le récit de Kassoum l'ami de Issouf refait surface; mais dans des contextes différents.

Cette femme était riche et n'avait aucun homme avec qui partager l'argent, n'avait personne qui allait la réchauffer tard la nuit, je savais que l'envie bouillonnait en elle, je devrais le refroidir.

Elle se leva sur sa chaise après avoir viré ses enfants, vint avec son verre qu'elle prit le soin de déposer sur la table;

Safiath: soulèves pour voir la cuisse!

Moi: non!

Safiath: tu désistes déjà ?

Moi: je veux voir plus que ça, je veux écraser ma bite sur ta chaire que ma queue te poursuit jusqu'à ta bouche, j'aimerais me délecter dans ton trou, voilà.

Safiath: tu es trop direct, et tu ne sais pas passer par mille chemins.

Moi: c'est aussi simple que ça ! Je n'aime pas trop me donner du mal pour une chatte que je peux m'offrir sur le bon ou mauvais marché.

Safiath: ce côté bandit et romantique m'excite plus. Allons dans ma couche...

Nous nous étions allés, je m'étais déshabillé et couché avec ma bite en l'air comme une droite perpendiculaire, avec ses longs cheveux, elle souleva sa robe noir, et posa sa chatte sur moi. Elle m'avait baisé cette dame, elle était une dame de fer, afférent sexe et travail.

Nous l'avions fait une fois, puis une deuxième fois ce jour là. Nous avions repris le lendemain encore et encore.

Une semaine plus tard, on était parti dans l'usine de fabrication des comprimés, la femme avait sa propre usine et il y avait des actionnaires car c'était une grande entreprise(ce n'est qu'une société écran, elle cachait bien son jeu, elle faisait des trafics de toute sorte, il y a un qui m'intéressait réellement). Ils étaient sous la protection du gouvernement; j'étais émerveillé et ma commande était prête dans des camions qui allaient transporter sur le territoire nigérien.

Moi: Madame vous avez fait un excellent travail. Je vous en suit gré.

Safiath: les camions étaient prêt trois jours après ton arrivée. Je ne voulais pas que tu me quittes!

Moi: tu peux également venir avec moi ou me faire appel je serai toujours disponible pour tes services commerciaux et tes services sexuel.

Safiath: tu te dis peut-être que je suis une pétasse qui prend la queue du premier venu, peut-être c'est pourquoi tu me traites de cette manière. J'ai été fidèle à mon mari ce, depuis qu'on était jeune. J'ai été convoitée par pas mal de gens (des gens riches), mais j'étais rattachée à lui, par amour, et cet amour exige qu'on fasse des sacrifices. J'avais une vie bien soignée, j'étais une petite princesse gâtée par les siens, j'étais une fille plein d'avenir qui, avec un peu d'effort je pourrai avoir un travail légal dans le gouvernement ou dans le privé. L'amour et son sacrifice m'a fait quitter mes parents pour me relier à Adamo et sa bande. Je faisais toute les livraisons car j'étais jugée fragile, une fille non dangereuse pour la société. On vivait dans des ghetto, obligés de fuir à tout moment quand les policiers font des descentes. Cette vie je l'avais choisi par amour et il n'a pas hésité à me tromper. Tu te demandes pour quoi toi? Oui j'ai également de l'admiration pour ce que tu as accompli, partir de rien, suivre son chemin. Ne laissant pas le sexe féminin te dévier de ton objectif c'est remarquable, c'est beau. En plus tu as cette espèce de force quand tu me soulèves quand tu me niques, je perd mes moyens, je me demande; est-ce que tu sais que tu niques la chatte d'une « milliardaire » (pour rire)

Moi: je ne sais pas être triste sincèrement; je ne saurai te consoler mais je te promets d'effacer ces années de souffrance en année salvatrice, je ne sais pas jouer au nounou mais je nouerai mon coeur au tien...

Nous avions consolidé notre union; d'une relation de travail, nous baisons. Sans compter les jours, je vins de faire un mois à Kano et mes aller et retour, de Kano à Lagos sont innombrables.

Deux heures du matin, je me glissais dans le drap de cette jeune fille, lui enleva le slipe avec la chatte aigre, je mis un glaçon aux alentours pour qu'elle soit plus fraîche, elle se leva subitement avec ma langue qui était de la sucer.

Moi: tu t'es réveillée?

Safiath: ne t'arrêtes surtout pas, ownnn tu es trop bon! Je n'ai jamais vécu ça...

Moi: je ne comptes pas arrêter! Tu sais tu peux me trouver une place parmi les actionnaires?

Safiath: il n'y a plus d'action possible. Et comment tu comptes être distributeur et actionnaires.

Moi: oui c'est possible, je prendrai juste ma part d'action mise à part notre contrat, ma dividende restera intact dans la société.

Safiath: tu me baises dans ma maison et tu comptes me baiser dans ma société également ?

Je me levai et je quittai sur son lit!

Safiath: tu pars où comme ça en me laissant en chaleur.

Moi: je pensais avoir quelqu'une à qui me fier. Une femme qui pourrait m'aider et me conseiller. Je l'ai dit ainsi pour voir les directives que tu allais me donner mais hélas vous ne pensez que tous les hommes sont avec vous que par intérêt. Je m'interroge sur notre avenir, tu allais penser à chaque fois que je suis avec toi pour ton argent. Et cela me donne subitement une idée d'approuver mes actions; si je suis aussi un peu riche, tu vois que tu auras confiance en moi. Je ne quémande pas, je veux investir.

Safiath: tu as raison et excuses-moi; je t'ai mal jugé. On va procéder comment alors.

Moi. Tu es celle qui a plus d'action; soit tu crée autre action en vente, soit tu me laisses créer une action car je ne veux pas que tu me cèdes les tiennes.

Safiath: on dirait tu as tout calculé!

À suivre!

Le bar rondOù les histoires vivent. Découvrez maintenant