Le bar rond

Orage

La tempête a commencé, le ciel est nuageux, il allait pleuvoir. Personne à part ne sait ce que je trame, les étendards de la guerre ont commencé à éclairer.

Le boss de l'autre gang: une balance est une balance point de pitié pour un bandit qui traite avec les poulets, il sera cuisiné comme eux.

Moi: sage décision.

J'avais livré mon père sur un plateau et j'avais fait de lui l'ennemi numéro un des gangs. Sa tête est mise à prix.

Je retournais tranquillement chez nous, dans la maison de mon père. J'avais fini avec la fille du colonel que je croisai à cet instant.

Chantal: tu étais où ?

Moi: depuis quand papa m'a cherché une babysitteuse?

Chantal: ce n'est pas du babysitting mais je m'inquiète pour toi, on vient de baiser et je ne te retrouve plus dans la maison.

Moi: tout est en état j'espère. Je ne suis pas un voleur, je suis un bandit mais pas un voleur, tu piges ?

Chantal: pourquoi tu te mets dans tout tes état? Tu as eu ce que tu voulais tu veux me jeter c'est ça ?

Moi: je te rappelle que ma bite n'est pas un aimant auquel ta putain de chatte s'accommode à mon approche. On l'a tous voulu, donc ne me parles pas ainsi.

Chantal: c'est quoi ton problème au juste. À me jeter tout à la figure comme si j'étais une de vos putes à la con.

Moi: c'est toi qui te substitue à elles, si tu pouvais la fermer un peu et te concentrer sur nous cela m'aidera. Chaque fois que tu la ouvres, c'est pour me poser des questions personnelles. On dirait tu m'espionnais.

Elle quitta avec le visage fermé, elle avait cette espèce de paire de fesses qui tapotait l'une sur l'autre comme ses seins quand je les malaxais.
Je ne pouvais pas laissé l'occasion passer. J'étais devenu accro à elle!

Je la rejoignis subitement dans leur maison.

Moi: attends Chantal, tu sais que je ne pense ce que je disais. Je ne veux pas te mêler avec mon business. C'est trop dangereux.

Chantal: je me suis portée garante pour t'aider et te faire écouler tes produits dans notre lycée. Tu deviendras mon fournisseur et c'est strictement professionnel.

Moi: on ne peut rester professionnel avec une fille qu'on saute. Soyons réalistes, on garde notre union, tu me laisses gérer le business.

Chantal: tu sais quoi je veux de la maille pour me tirer d'ici. Tu peux m'en fournir 500.000f en liquidité pour que je quitte ici?

Moi: pourquoi tu veux quitter tes parents ?

Chantal: c'est toi qui me sermonnait sur la vie privée.

Moi: désolé ! Après une tension il faut se mousser non?

Chantal: alors accroupis toi et rampes jusqu'à moi!

Moi: tel un chien à la vue d'un os? C'est ainsi tu vas me pardonner ?

Chantal: non c'est excitant de voir combien de fois tu es prêt à avoir ce que mes jambes renferment.

Je m'étais rampé jusqu'à la chaise sur laquelle elle était assise; jambe écartée, avec slip noir embellie par un dessin en forme de fraise. Frayant un chemin, je mis ma langue au début en haut du clitoris, que je prenais le soin de lécher tel un lion qui s'abreuve. J'avais tellement léché qu'elle avait jouit.

Chantal: ownn, viens plus en bas, fais le comme un peintre, pince un peu.

Moi: ça te va ainsi ?

Chantal: oui prends moi en levrette. Baises comme tu ne m'as jamais baisé. J'ai trop envie de toi Mi Amor

Moi: et voilà qui réclame. Je n'ai pas envi moi.

Chantal: tu n'es qu'un salopard de grand chemin.

Moi: alors à une condition...de ramper également et venir me sucer.

Nous en rions tous, je l'ai prise par derrière, j'avais frayé un espace entre ses fesses et ma queue pour atteindre sa petite chatte; je pilais tellement fort qu'elle s'était écroulée car elle n'arrivait pas à tenir sur ses jambes.

Je pensais que la partie était finie, je m'étais assis sur la chaise; elle vint encore, prend ma queue et l'introduit dans sa chatte; dire que la violence au lit est excitante pour les filles.

Elle m'avait baisé, elle avait cette manière de tourner sa hanche sur ma queue que je n'avais pas eu le temps de me contrôler quand le contrôle de ma queue fît sortir le jus.

Chantal: mais putain c'était trop bon!

Moi: à vos services madame.

Après s'être reposé, je prends l'allée pour venir à la maison. Je pris une douche froide, j'allume la télé. Je défilais sur les chaînes nationales, rien d'interessant.

Dans mon fort intérieur: « je ne comprends pas cette fille qui se livre à moi comme ça, un colonel qui ne vint jamais à la maison, est-ce que tout ceci est normal. Après tout est-ce que je suis important pour me tendre un piège ? »

Je me levai pour aller voir papa;

Moi: on doit aller suivre le chantier en construction sinon ces maçons ne fourniraient aucun effort dans l'avancement.

Lui: tu as vraiment raison, on doit y aller. Tout cet héritage est pour toi. Tant que mon sang coule dans tes veines, c'est à toi les commandes de l'entreprise doit arriver. Tâches bien d'ouvrir les yeux et d'apprendre.

Moi: je sais c'est pourquoi je suis à tes côtés.

On avait pris le pick-up et la route fut moins facile. On avait supervisé les lieux et je lui dis que je partais faire la ronde chez ma mère qu'il finit avec les maçons.

À moins de cinq minutes, le gang l'encercle, il était seul face à une armée de bandit; il allait goûter amèrement.

Je rebroussai le chemin pour aller le sauver; arriverais-je à temps?

À suivre!