Un matin, sur le coup des cinq heures, Mlle Berthe Mastard, paisible retraitée, fut réveillée par une envie d'uriner irrépressible.
Mlle Mastard marcha en zigzaguant jusqu'aux toilettes, et à peine s'était-elle assise sur le siège que de son vagin sortit un bruit de pet monstrueux.
Paralysée par la douleur, Mlle Mastard continua à pousser pendant quelques minutes et elle finit par faire jaillir une marée brûlante de saletés boueuses tandis que, livide, elle s'agrippait aux murs des toilettes.
Elle se mit ensuite à crier si sauvagement que les voisins appelèrent la police qui dès son arrivée sur les lieux appela les médecins. Lorsque les médecins du SAMU arrivèrent, ils trouvèrent Mlle Mastard couchée sur le sol, inconsciente, vêtue uniquement de sa chemise de nuit. Le long de sa jambe dégoulinait encore un genre de sirop vert-maronnasse.Les médecins voulurent la déposer sur une civière, et au moment où ils saisirent les jambes de l'infortunée, l'orifice de son vagin béant laissa apparaître une créature pas plus grande que l'extrémité d'un doigt. Elle s'extrait en rampant de l'endroit et tomba sur le sol en faisant un petit "plop" dégoûtant.
L'équipe médicale stupéfaite regardait la créature qui baignait dans une enveloppe de mucus sur le carrelage. C'était une crevette de vase. Elle se contorsionnait d'avant en arrière, cherchant vraisemblablement à retourner dans le milieu liquide.Un des infirmiers qui sentait la nausée l'envahir alla jusqu'aux toilettes pour y vomir. Lorsqu'il eut la tête au-dessus de la cuvette, ce qu'il vit était tellement horrible qu'il bondit d'un coup en arrière. La cuvette toute entière grouillait de bébés-crevettes !
La mort de Mlle Mastard fut attribuée à la combinaison de son état de choc et de sa chute.Lorsqu'elle se releva des toilettes pour voir ce qu'elle avait fait, elle cria si fortement que ça alerta les voisins, et elle tomba la tête la première sur le carrelage.
Après enquête, le médecin de la police donna ses conclusions :
Deux jours avant l'accident tragique, Mlle Mastard avait acheté un homard vivant chez le poissonnier. Le soir, alors qu'elle prenait son bain, elle inséra la queue du crustacé dans son vagin dans le but d'en tirer du plaisir. à ce stade, elle agita la flamme d'un briquet devant la tête de l'animal, entraînant des mouvements de queue violents.
Les médecins trouvèrent une vidéo X lesbienne dans le magnétoscope et la télé était positionnée à l'autre bout de la baignoire. Le homard fut retrouvé dans la poubelle de la cuisine. On décela des traces d'A.D.N. de Mlle Berthe Mastard et quelques-uns de ses poils pubiens étaient encore coincés dans les jointures de la queue de l'animal.
La tête du crustacé montrait par ailleurs des traces de brûlures. On autopsia le homard. Dans son tube digestif, on retrouva des chapelets d'oeufs de crevettes. Le médecin-légiste dit que le homard les avait ingérés juste avant sa capture et qu'ils n'avaient pas eu le temps d'être tous digérés.Lorsque Berthe Mastard brûla la tête de la bestiole, celle-ci, stressée, libéra prématurément par ses voies naturelles les oeufs de crevettes dans le vagin de la vieille fille. On sait que chez certaines crevettes, les oeufs peuvent éclore en moins de deux jours, particulièrement si le milieu qui les héberge recèle de bonnes conditions. Or une température de 37 degrés et un pH vaginal se révélèrent être ce qu'il y avait de mieux pour incuber les oeufs de crevette. En l'espace d'une nuit, les oeufs ont éclos et les crevettes commencèrent à se développer à vitesse grand V.
On imagine la douleur de la pauvre Mlle Mastard lorsqu'en se réveillant, elle du mettre au monde quelque chose comme 1000 crevettes dans ses toilettes...
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LA PEUR DANS LE SANG
Horror" L'histoire est du vrai qui se déforme, la légende du faux qui s'incarne. " Jean Cocteau Alors prêt pour un rendez-vous avec la peur, l'angoisse et le frisson ?! Vous allez avoir du mal a dormir ;)