Des pleurs de nourrisson, distincts et terrifiant :
Madame "Dupont" (nous la nommerons ainsi car elle désire garder l'anonymat suite aux problèmes engendrés par cette affaire) habite une maison de cité à Douai (dans le Nord de la France), c'est un ancien coron minier d'une bonne centaine d'années d'existence mais toujours entretenu et en très bon état au moment des faits. Madame Dupont vit seule avec sa fille de 12 ans, sa situation financière est stable (employée de mairie) son état de santé l'est tout autant. Rien ne laisse alors présager à de quelconques troubles pouvant décréditer les faits qui vont suivre. L'affaire se déroulent entre janvier 1985 et septembre 1990 (source "La voix du Nord"). Pendant toute cette période, chaque soir, madame Dupont entend clairement un bébé pleurer dans son grenier. Des pleurs de nourrisson, distincts et terrifiants : "Comme si on égorgeait cet enfant tous les soirs".
4 ans de peur, de questionnement et de craintes.
"Au début je gardais ça pour moi, j'avais peur de choquer ma fille" raconte madame Dupont "mais tout à basculé le jour ou c'est elle même qui m'a avoué entendre également ces cris". C'est à ce moment que madame Dupont pris la décision d'alerter les voisins (m et mme Kopins). "Nous les entendons également" rétorquent les pauvres voisins stupéfaits qui pensaient simplement que madame Dupont avait/gardait un bébé en bas age. Convaincu de la bonne foi de sa voisine, monsieur Kopins décide alors de passer une nuit dans le grenier de madame Dupont. Durant la nuit les cris se font entendre, la charpente craque et monsieur Kopins raconte avoir vu se matérielliser devant lui une femme et son enfant. "Une espèce de voile blanc flottant, je pouvais voir distinctement une dame très jeune avec un regard vide. elle portait un enfant dans ses bras et ce dernier hurlait comme un cochon qu'on égorge." Monsieur Kopins n'est pas resté plus longtemps, on le comprend. Sans vouloir s'enfuir lâchement il invita les Dupont à finir la nuit chez lui. Son témoignage fût pris très au sérieux.
Il fût ensuite décidé d'entrer en contact avec des organismes spécialisés (P.I.M), des médiums "officiels" sont spécialement venus de Belgique, enfin un exorcisme fût réalisé (sans grand résultat). Plus de 10 témoins ont entendu les cris, personne n'a jamais néanmoins revu cette "femme fantôme" et son bébé qui devaient hanter le grenier de cette demeure, même si il subsiste certaines photos troublantes et des enregistrements des cris du bébé. En 2001 madame Dupont et sa fille ont été relogées par la mairie de Douai, elles gardent toutes deux des séquelles de cet épisode de leur vie. Le coron en question a été rasé en 2003, personne n'a heureusement jamais reloué la maison après le départ des Dupont en 2000.
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LA PEUR DANS LE SANG
Terror" L'histoire est du vrai qui se déforme, la légende du faux qui s'incarne. " Jean Cocteau Alors prêt pour un rendez-vous avec la peur, l'angoisse et le frisson ?! Vous allez avoir du mal a dormir ;)