Chapitre 37 : La transformation

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On sort du trou et Sirius et Harry posent Ron par terre. Sirius se relève et va plus loin pour admirer le château.

Harry : Ça va ?

Ron : Il faut que tu y ailles.

Harry : Non. Non non ne t'inquiète pas je reste !

Hermione : Non. Nous on reste. Va !

Harry : Ça va aller ?

Ron : Oui vas-y.

Harry se relève et va voir Sirius.

Hermione : Je comprend que ça te fasse mal...

Ron : Horriblement mal... si ça se trouve, ils vont me couper la jambe.

Hermione : Tu vas voir, madame Pomfresh va t'arranger ça !

Ron : C'est trop tard ! C'est trop grave ! Va falloir la couper !

Moi : Ne dis pas de sottises !

Hermione : Oui elle a raison ! Et toi...

Je lève la tête et elle me regarde avec des yeux plissés, comme un lion qui voudrait manger sa proie.

Hermione : Quand comptais-tu nous dire que tu étais une Animagus ?

Moi : Jamais ?

Hermione : Ok et que tu es enceinte d'Olivier ?

Moi : ÉTAIS !

Hermione : D'accord "étais". Mais quand ?

Moi : D'accord je comptais vous le dire... dans une autre dimension.

Ils rigolent tous les 2 et mon père sort avec Pettigrow.

Papa : Mais tu vas te taire et sortir oui ?!

Pettigrow : Ron ! Je n'ai pas été un bon compagnon ? Un ami fidèle ? Tu les empêcheras de me livrer aux Détraqueurs n'est-ce pas ?! J'étais TON rat !

Ron : Quoi ?!

Pettigrow : Oh ! gentille jeune fille ! Élève brillante ! Tu ne les laisseras pas ?!

Hermione : Mais qu'est-ce que-

Pettigrow : Amélie ! Tu ne me laisseras pas partir vers les Détraqueurs quand même ?! Je suis ton oncle ! Je t'ai porté ! Je suis venu te voir à la maternité ! Je t'ai donné le biberon ! Marlène ne m'aurais pas laissé !

Il dit ça en voulant me prendre dans ses bras mais mon père m'en empêche.

Papa : Ne la touche pas ! Et ne prononce pas le nom de ma femme !

Pettigrow : Lâche-moi Remus je t'en supplie !

Je les vois partir et j'allais y aller mais je reste presse mes amis.

Hermione : Vas-y.

Moi : Non non je vais rester ici.

Ron : Ça va aller vas-y.

Moi : Tu es sûr ?

Ron : Mais oui ! Aller vas-y !

Je leur souris et m'approche de mon père. Il me regarde mais continue de tenir Pettigrow.

Papa : Chérie... je suis désolé...

Moi : Ce n'est pas grave papa. C'est moi qui devrais m'excuser de t'avoir crier dessus...

Weasley, farces pour sorciers amoureux (T1)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant