chapitre 37

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Cancùn, Aéroport

Benício s'apprête à monter dans l'avion toujours au bord des nerfs mais son téléphone l'arrête.

- Quoi !? Lâche t'il froidement.
- C'est Gareth, je t'appelle pour te dire que Catalina à été récupéré. Elle est en lieu sûr.
- Parfait. Merci... Dis lui qu'elle ne s'inquiète pas. S'il te plaît.
- Elle n'est pas avec moi Benício. Est-ce que tu as besoin d'autre chose.
- Rien. Je te remercie.

Sans perdre un instant il monte dans l'avion et Tomas vient immédiatement vers lui en posant sa main sur son épaule.

- Tout va bien... Béni ! Je suis sûr qu'elle va bien. Moníca ne se laissera pas faire.
- Tomas... C'est exactement ce qui m'inquiète.

La Havane, Cuba

J'ouvre les yeux en me touchant le front et je grogne doucement.

- Je croyais que ça soeur habitait ici ! Elle est où ?!
- Elle n'est pas là ! Elle a dû partir de Cuba.

Je cherche à savoir d'où viennent ces voix.
Je tente de me lever mais je remarque que mes mains sont liées. Orh... C'est pas vrai !

Je regarde autour de moi et je reconnais immédiatement l'ancien bureau de Benício ! Je me colle contre le mur pour tenter de me lever mais je me stoppe quand j'entends le bruit d'un cran de sûreté.

- À ta place je resterais assise.

Je tourne ma tête pour savoir d'où provient cette voix masculine et je vois de suite quelqu'un se lever d'un des fauteuils présent dans le fond de la pièce.

- Ne fais pas de chose débile. Benício n'est pas encore ici...
- Donne moi le couteau que tu as et tu verras si on a besoin d'attendre Benício...

Il sourit puis il vient s'accroupir devant moi. Il est assez propre sur lui et ne fais pas vraiment peur mais bon qu'il laisse paraître mais je sais à quel point les apparences sont parfois trompeuses.

- Tu me menace ? Tu penses que tu es en mesure de pouvoir le faire ?
- Bien sûr que je suis en mesure hijo de Puta ! Dis-je en serrant les dents. C'est si simple d'ouvrir sa grande gueule quand on est le seul à avoir les mains libre...

Il me sourit tendrement puis avec violence il vient me frapper au visage laissant sa bague m'ouvrir la lèvre !

J'hausse les sourcils surprises par la brutalité de son geste et je rigole rapidement.

- Tu te sens assez puissant ? C'est drôle de frapper une personne sans défense...
- Surtout une femme. Me répond t'il en souriant.
- La prochaine fois, attache les pieds alors !

Il ne comprends pas et je viens lui mettre un violent coup de pied dans les parties intimes ce que le fait se tenir au sol et je lève ma jambe pour lui casser le nez avec mon talon qui érafle brutalement la peau de son nez.

- Putin salope ! Lâche t'il en touchant son nez.

Je me lève immédiatement et je viens me placer au dessus de lui. Je viens placer mes jambes autour de son cou en un mouvement rapide en tombant au sol et je viens rapidement bloquer sa respiration en contractant de toute mes forces mes cuisses.

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