lacking in choice

Chapitre 3

  Dylan

Lorsque j'entre dans sa salle, il était parfaitement l'heure de commencer l'examen, huit heure et demi. Charles me suivit dans la pièce, timidement, il tira sa chaise et finit par s'asseoir. La pièce est d'un blanc ivoire comme neuf. Elle était très spacieuse, dans cette espace demeurait trois rangés de tables individuelles, ayant sur chacune d'elles un paquet de feuilles retourné. Le stress commençait à monter, je m'assis juste devant Charles et pour moi la guerre avait commencé il fallait absolument que je réunisse. La sonnerie retentit et Mr. Groodway, professeur de Physique arriva dans la salle. Mickaël Groodway était un vieux monsieur qui vivait seul. Il portait toujours la même chemise blanc au col noirci par la sueur, son pantalon beige et des chaussures noires brillantes. Lorsqu'il entra dans la pièce, l'air s'emplit d'une odeur d'échec. Il se mit à me fixer puis Charles qui était assis juste derrière lui. L'homme prononça quelques mots d'un ton calme mais terrifiant :

-J'espère que vous réussirez ce test, êtes-vous seul dans cette session ?

-Je ne pense pas.

Charles prononça ces simples mots avec difficultés, on pouvait entendre dans sa voix, le stress qui le gagnait peu à peu.

— Il me semble Mr. Degenetez que vous ne savez jamais grand chose.

Il marque une pause, et regarda sa montre.

— Bien si personne n'est là, alors nous allons commencer sans eux.

L'homme ferma à clé la porte. Mon avenir était sellé. Comment cela se faisait-il qu'il n'y avait personne dans la salle ? Charles me regarda intrigué. Mr. Groodway s'assit sur sa chaise et sortit un livre.Il regarda encore une fois sa montre avant de dire :

-Vous avez 4 heure.

Émilie

J'arrive devant son établissement à huit heure et quart. Je commence la journée avec 3 heures de Mathématiques.

Émilie était une fille très intelligente et cultivée, elle s'intéressait à absolument tous les domaines intellectuelles. Le soir, elle lisait deux à trois livres, dans son lit, la lampe de chevet allumait. Elle regardait parfois à travers la fenêtre. Le jeune homme était toujours entrain de travailler. Émilie le regardait tous les soirs depuis qu'elle habitait ici. Elle ne pouvait s'empêcher de penser à son début de matinée, elle avait eu la chance de voir Dylan. Elle apprit son prénom, un matin où le jeune homme ne s'était pas réveillé à l'heure. Elle avait entendu un vieille dame hurler le prénom de Dylan avant de le menacer de le tuer si il ne se levait pas sur le champs. Elle avait aperçu ce jour-ci, la tête au réveil du garçon. Un peu intimidée, elle s'était cachée derrière ses rideaux pour mieux l'observer. Le jeune homme était en caleçon, il le portait magnifiquement bien et le remplissait bien également. Il mettait en valeur les petits motifs colorés dont il était conçu. Lorsqu'il s'était levé, le jeune femme eut alors une magnifique vue sur son corps d'athlète, elle ne pouvait plus s'empêcher de se mordre la lèvre, succombant à ses fantasmes les plus fous et fougueux. Comme si il l'avait fait exprès, il se mit à retirer son caleçon. Dylan était alors complètement nu. Elle s 'était sentie gênée, et avait tourné la tête. Mais comme hypnotisée, elle se remit à le regarder. Le jeune homme avait des jambes poilues, et sa toison pubienne était garnie de petits poils. De là où elle était, elle pouvait voir les petits mouvements de va et vient que la main du jeune faisait. La jeune femme crut que cela n'aller jamais finir. Elle le désirait et le fantasmait au plus haut point. Elle mordillait de plus en plus fort la lèvre. Le fantasme prit fin lorsque le garçon calma ses pulsions du matin pour aller se doucher. Émilie était forcée d'accepter son prime, et était partie à l'université. C'était ainsi que Émilie avait connu le nom de Dylan. C'était depuis ce jour, qu'elle le regardait tous les matins dans l'espoir d'un jour revoir ce qu'elle avait déjà vu, mais qu'elle convoitait, Dylan Hopeful.