Chapitre 12

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-Des questions ?

Les inkling se regardent et attends que quelqu'un parle.

-Ouais.

C'est un des inklings au centre de la foule qui a parler. Un garçon aux tentacules roses. C'est Aloha.

-T'es une espionne de niveau combien toi ?

-Ça te sert à rien de le savoir, répondis-je, et j'ai dis de pas me tutoyer.

-Oui, pardon, fait Aloha, et Ami ?

Je lève les yeux au ciel.

-29 960 est une espionne de niveau 5, fis-je.

-Et pourquoi nous dire son niveau mais pas le vôtre ? Insiste Aloha.

-Tch... Soupirais-je avant de répondre, suis une espionne de niveau 2.

Un brouhaha se forma.

-Oh ! Fermez-là ! M'écriais-je.

Le silence reviens, et je repris mon cours.

Plus tard dans la journée, je croisa Army, tout seul en train de s'occuper de la paperasse.

Je m'assis non loin de lui, et observa les inklings qui travaillent.

Army m'a pas vu, il est donc concentré dans ce qu'il fait. Je suis assise à quelques mètre derrière lui.

Je remarqua qu'une fenêtre est ouverte. Bizarre il y a quand même beaucoup de vent pour vouloir ouvrir la fenêtre.

Une rafale de vent s'engouffra dans la pièce, faisant s'envoler toutes les feuilles de tous les inklings.

Army se retourna, paniqué à l'idée qu'on puisse le punire pour ça.

C'est là qu'il me vit.

-Qui l'a ouvert cette fenêtre ? Demandais-je.

Personne ne répond.

-Vous aller répondre, qui a ouvert cette fenêtre ? Grondais-je.

Il y eu quelques "pas moi" mais aucun nom.

Je ferma moi-même la fenêtre.

-Vous avez cru que vous étiez en pause ou quoi ? Dis-je, ramassez-moi ces feuilles !

Je sorti de la pièce, direction les bureaux de recherches !

-29 042 ! Fait une voix dans mon dos que je connais bien.

Je me retourna, Adèle se trouvait derrière moi.

-Oui madame ?

-J'ai trouver une stagiaire pour demain, explique-t-elle, tu iras évaluer son travail, je passerais aussi rapidement mais toi tu y restera tout le cours.

-D'accord, répondis-je, et en passant, quelqu'un a ouvert une fenêtre dans une des salles où des inklings triait des papiers, tous s'est envolé.

-Il doit avoir un problème, ce n'est pas la première fois que ça arrive, soupire ma cheffe.

-Si vous voulez j'irais jeter un œil quand il y aura leur prochain changement de salle, proposais-je.

-Oui, si tu veux, répond Adèle.

Elle partie.

Je repars pour les bureaux, et arrivée là-bas je croisa un groupe de stagiaires qui ne faisait rien.

-Qu'est-ce que vous faites là concrètement ? Demandais-je.

Elles se regardent rapidement.

-À première vu, repris-je, que dalle. Donc vous aller vous remettre au boulot tout de suite.

Une des stagiaires, un peu plus grande que moi se plaça devant moi, les mains sur ses hanches.

-Et si on a pas envie ? Fait-elle.

-Vous êtes que des stagiaires, donc vous avez pas le choix, répondis-je.

-Et toi t'es personne donc t'as rien à dire, fait-elle en rigolant.

Je me retiens de rire à mon tour.

Une des stagiaires le remarque et dis à la fille devant moi :

-Euh, Kaylie, tu devrais peut-être pas dire ça.

-Kaylie, c'est ça ? Repris-je, c'est quoi ton numéro ?

-8 219 470

-OK, alors 470, commençais-je, tu ne t'es jamais demandé pourquoi personne ne connais ceux qui peuvent virer les stagiaires ou non, qui sont les chefs ?

-Pourquoi tu me dis ça ? Répond-elle méchamment.

-Me tutoie pas, dis-je sur le même ton.

-Je fais ce que je veux ! Réplique-t-elle.

-Non, répondis-je avec un léger sourie, moi je fais ce que je veux ma belle, pas toi, t'es qu'une minable stagiaire qui fait sa rebelle pour impressionner les autres.

-Euh... Mais... J'essaie pas d'impressionner les autres, répond la stagiaire déstabilisée, tu dis vraiment n'importe quoi !

-J'ai dis que tu ne me tutoyais pas, repris-je.

-Je m'en fous, fait-elle avant de regarder vite-fait ses amies, histoire de voir si elle les impressionnant sans doute.

-Et si je te dis que t'es virée, tu t'en fous aussi ? Dis-je.

-Sauf que tu peux pas me virer, fait-elle sur d'elle.

-Bien sûr que si. Fais voir ton poignet droit.

Le poignet droit, c'est là où sont les puces de tout le monde.

-Euh... Non, refuse l'inkling.

-Bah quoi, t'as peur ? La provoquais-je.

-Non, n'importe quoi, fait-elle en me tendant son bras et en regardant rapidement derrière elle pour regarder ses copines en souriant. Je passe mon bras sur le sien, histoire que ma puce et la sienne soit proche.

Je concentre mon esprit quelques secondes sur la puce pour quelle fasse ce que je veux, puis un son sort de sa puce :

"Tu viens d'être viré.e"

-Quoi ?! Mais t'es qui ? Fait-elle, euh... J'veux dire vous êtes qui ?

-Votre cheffe, dis-je.

-Non, c'est Adèle notre chef, fait-elle.

-Oui c'est une de vos chefs, moi c'est ma seule chef, répondis-je.

La fille que je viens de virer à des larmes pleins les yeux.

-Oh, tu vas pleurer, bah fallait pas faire la maligne avec moi, dis-je méchamment.

Je lui sourit.

Les quatre filles qui étaient derrière elle partent travailler, presque en courant.

-Impressionnant !

Je me retrourne, Adèle se tiens non loin de nous.

-Tu as agit de manière nickel ! Me dit-elle, quand à toi...

Elle regarde la fille avec dégoût.

-Toi t'es ridicule ! Fait Adèle avant d'exploser de rire.

Je cherche la guerre. Ou l'amour ? [EN RÉÉCRITURE]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant